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DENTISTERIE

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D'où provient la peur du dentiste ? Pourquoi a-t-on peur du dentiste ?

D'où provient la peur du dentiste ?

C’est à cette question que les scientifiques japonais ont tenté de répondre en scannant les cerveaux des volontaires.Il semblerait que les bruits qu’on entend chez les dentistes soient responsables de l’affolement de nos battements de cœur. Le bruit de la fraise est la plus terrorisante 21 femmes et 13 hommes âgés de 19 à 49 ans ont été séparés en deux groupes : les anxieux et ceux qui se rendent chez le dentiste sans craindre ce moment outre mesure. Les chercheurs ont scanné leur cerveau tandis qu’ils leur diffusaient des sons proches du crissement de la fraise dentaire ou du bruit de l’aspiration de la salive. Chez ceux qui n’avait pas peur du dentiste, la partie des aires auditives primaires du cerveau réagissait aux sons diffusés.Chez ceux qui arrivaient effrayés, le noyau caudé du cerveau, qui joue un rôle important dans l’apprentissage et la création des souvenirs, réagissait fortement. Et plus on a peur, plus on ressent la douleur. Source. Des scientifiques chinois créent une dent humaine à partir de cellules souches issues d'urine.

La nouvelle a de quoi surprendre, mais elle pourrait avoir une portée considérable.

Des scientifiques chinois créent une dent humaine à partir de cellules souches issues d'urine

Des scientifiques chinois affirment avoir développé une dent humaine en utilisant des cellules souches prélevées à partir d'urine, rapporte The Telegraph. Selon ces chercheurs de l'Institut de biomédecine et de santé de Canton, dans le sud de la Chine, cette technique, moins controversée que celle basée sur l'embryon humain, pourrait un jour être utilisée afin de remplacer une dent perdue, pour des raisons de santé ou à cause d'une mauvaise hygiène dentaire par exemple. Concrètement, explique le Telegraph, l'équipe, composée d'une quinzaine de scientifiques, a extrait des cellules contenues dans de l'urine et a réussi à les reprogrammer en cellules souches.

Ces cellules ont ensuite été implantées sur des souris et les scientifiques ont pu observer le développement chez les rongeurs de pulpe dentaire, de dentine et d'émail. Des résultats prometteurs mais à relativiser. La santé parodontale : le contexte microbiologique. J’aimerais exprimer les bénéfices importants pour le clinicien et le client que sont la visualisation du contexte microbien grâce au microscope à contraste de phase.

La santé parodontale : le contexte microbiologique

L’étude scrupuleuse de la flore microbienne chez la majorité de mes clients durant les douze dernières années, m’a permis de confirmer les travaux importants du Docteur Trevor Lyon sur les maladies parodontales. J’ai été à même de constater une flore variée selon les nombreuses circonstances de la pathologie de mes clients, qu’il s’agisse de caries, parodontopathies, débalancement de la flore buccale, ou de maladies systémiques. La santé parodontale : le contexte microbiologique. Ce dont je voudrais vous entretenir est la précise extrapolation que l’on peut tirer de la microscopie à contraste de phase, à l’inverse de tout ce qui se publie à l’heure actuelle.

Plaque dentaire normale : coccis, filaments, cellule épithéliale, peu de motilité. MALOCLUSION DENTAIRE. Le tri jumeau est responsable de la sensibilité de la face,de la fonction masticatoire et sécrétoire salivaire.

MALOCLUSION DENTAIRE

Le nerf facial passe par l’oreille moyenne, il innerve les muscles de l’étrier, produit des glandes lacrymales et est impliqué dans la gustation. Le nerf facial pénètre dans la glande parotide qu’il divise en 2 lobes. Les branches de nerf facial se distribuent au niveau des muscles peauciers du crâne, de la face et du cou. C’est le nerf de l’expression ! Un dysfonctionnement de l’ATM peut provoquer une irritation, une inflammation jusque dans l’oreille. Le syndrôme G. Cette petite articulation qu’est l’ ATM a des répercutions sur la valve iléo-cæcaleles ostéopathes le savent bien. Les glandes salivaires : linguales, parotidiennes et maxillaires secrètent un « suc » la ptyaline.

Maladie Parodontale = STRESS+ DESEQUILIBRE MICROBIEN. Maladie parodontale Cette rupture d’équilibre engendre une maladie parodontale dont le premier signe est le saignement de gencive.

Maladie Parodontale = STRESS+ DESEQUILIBRE MICROBIEN

Notre protocole thérapeutique, est basé sur la notion de maladie de terrain, donc traitement homéopathique de fond avec des moyens de diagnostics très modernes, traitement loco-régional et local, par une reéquilibration de la flore buccale au moyen de régulateur de l’acidité et par la réoxygénation des cellules. La notion dominante du traitement est la prise en main du patient par lui-même. La fréquente vérification de l’équilibre bactérien, permet un suivi de l’évolution de la maladie. Puis l’intervention se résume à la lithotricie ( détartrage profond sous anesthésie locale)et au traitement laser, quasi indolore, avec des suites opératoire très peu douloureuses.Ce traitement, non chirugical, se déroule en général en 4 séances espacées de 15jours, puis d’une séance de contrôle à 1 mois, une autre à 3mois et enfin à 6mois.

Qu’est-ce que la MALADIE PARODONTALE ? Meilleure mémoire pour ceux qui gardent leurs dents naturelles ! Les personnes qui n’ont plus leurs dents ont une moins bonne mémoire que ceux qui les ont conservées.

Meilleure mémoire pour ceux qui gardent leurs dents naturelles !

Telle est la conclusion pour le moins inusitée d’une toute récente étude suédoise qui n’est pas encore publiée. Meilleure mémoire pour ceux qui gardent leurs dents naturelles ! Pour les fins de cette étude, qui fait partie d’un plus vaste travail de recherche sur la mémoire, des chercheurs ont suivi 1 962 personnes âgées de 35 à 90 ans pendant 15 ans. Ils ont comparé la mémoire de ceux qui avaient gardé leurs dents à celle des personnes dont les dents ont été extraites pour être remplacées par un dentier. Le dentiste et chercheur suédois Jan Berghal a découvert que les personnes ayant perdu leurs dents présentaient un déclin de la mémoire plus prononcé que celles qui les avaient encore à la fin de l’étude. Des tests sur les animaux ont démontré que l’extraction d’une dent sectionne des nerfs reliés au cerveau, souligne le chercheur suédois. D’aprés "Marie france Coutu - Réseau Proteus"

DENTISTERIE HOLISTIQUE.