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Laura75011

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Éco-gestes pour lutter contre le gaspillage. Le gaspillage et la surconsommation sont des causes majeures de la détérioration de notre environnement et de l'épuisement des ressources naturelles. Nous sommes confrontés à toutes les formes de gaspillage dans notre quotidien : gaspillage alimentaire, gaspillages des objets de consommation courante, qui terminent à la poubelle au lieu d'être réparés, gaspillage des vêtements qui sont jetés au lieu d'être donnés...

Consommer de manière responsable et lutter contre le gaspillage est un acte éco-citoyen. Découvrez une multitude d'idées, d'astuces et d'éco-gestes pour lutter contre le gaspillage dans la vie de tous les jours. Eco-gestes à découvrir Je recycle les briques alimentaires Jetez vos briques alimentaires dans la poubelle de déchets recyclables. Je recycle l'aluminium L'aluminium est reconnaissable sur les emballages grâce au label Alu Recyclable.

J'amène ma tasse réutilisable au travail Je choisis des produits en vrac J'achète du matériel adapté à mes besoins Je recycle l'acier. Comment développer un sentiment d’appartenance dans l’entreprise ? Les conditions de travail : le stress dans les organisations. Relation avec le programme de Terminale CGRH : 3. Les conditions de travail 3.1. Enjeux Les conditions de travail influencent fortement la santé et la motivation des hommes au travail ainsi que leurs performances professionnelles et leur qualité de vie. Leur amélioration constitue un avantage social mais également économique. Conditions de travail : physiques et environnementales organisationnelles sociales psychologiques 1°) Définition et notions voisines D’après l’Agence Européenne pour la Sécurité et la Santé au travail , le stress "survient lorsqu’il y a déséquilibre entre la perception qu’une personne a des contraintes que lui impose son environnement et la perception qu’elle a de ses propres ressources pour y faire face.

Le terme de stress a été introduit pour la première fois par Hans Selye (1907-1982), médecin-endocrinologue autrichien. Face à un stimulus stressant, l’organisme réagit en trois phases : c’est ce que l’on nomme le Syndrome Général d’Adaptation ou S.G.A. Annexe 1 : Améliorer les conditions de travail - Guide et ressourcespour les saisonniers. Stress au travail, mal-être, risques psychosociaux ... 7 principes pour améliorer le bien-être au travail.

"Le bien être en entreprise, c'est possible. Mais il passe par l'application et l'assimilation de principes forts. " Tel est le message que le club patronal Entreprise et Progrès (lire l'encadré) veut faire passer. S'inspirant de la grille d'analyse de l'Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (Anact), il rappelle que le bien-être repose sur 5 piliers : sens qu'on donne au travail, charge de travail, support social, possibilité de développement personnel et reconnaissance des pairs.

Il en ajoute un 6è : une "juste rémunération".Entreprise et Progrès fait également remonter de son propre exérience terrain 5 bonnes pratiques à cultiver et 2 sources de tensions négatives qu'il s'agit d'affaiblir. Les voici. 1. Chaque salarié doit sentir que son rôle au sein de l'entreprise et de la chaîne de travail est important. 2. Chaque salarié doit pouvoir bénéficier à la fois d'autonomie mais aussi d'une aide effective de sa hiérarchie quand il en a besoin pour sa mission. 3. Management : comment développer le sentiment d’appartenance ? Pour développer un sentiment d’appartenance (Sense of Belonging), un collaborateur doit pouvoir s’identifier à l’équipe, à l’entreprise, ou à la marque pour laquelle il travaille. Cette adhésion, mélange de sentiment d’utilité à un groupe et de solidarité à une équipe, est un indicateur puissant du sentiment d’appartenance.

Ainsi, le collaborateur aura plus facilement tendance à adopter les valeurs de l’entreprise, ses codes et son éthique. Il trouvera un sens à son action et sera probablement plus performant. La communication ne constitue pas la démarche, elle l’accompagne Le sentiment d’appartenance suppose toutefois une conviction de base et une implication au plus haut niveau de l’entreprise. Enfin, aucun travail ne pourra s’engager sans avoir préalablement identifié les forces et faiblesses de l’organisation pour définir un plan d’action, mettre en place une politique RH adaptée et former les managers qui seront les premiers relais de la culture d’entreprise.