background preloader

Travail

Facebook Twitter

Accord sécurisation emploi janvier 2013

Les ouvrages du comité d'Histoire. 1906 : Clemenceau versus Jaurès. « Briseur de grève », « sinistre de l’intérieur », « bête rouge » ‑ l’historiographie socialiste est parvenue à accréditer l’idée que le Clemenceau des années 1906-1909 s’est révélé un affreux réactionnaire. L’ancien médecin des pauvres, qui avait fait de la question sociale un article clef de tous ses programmes, le chef des radicaux les plus à gauche aurait ainsi fait volte-face, il y a un siècle, face aux grandes grèves ouvrières. Or, pour Maurice Agulhon, la clef de l’énigme Clemenceau est à trouver dans cette année 19061 On connaît la petite histoire.

Début mars 1906, chargé par le Président Fallières de constituer le nouveau Gouvernement, le radical Sarrien réunit les hommes pressentis. Au même moment, un coup de grisou provoque la mort de plus d’un millier de mineurs à Courrières. Mais les ouvriers, à bout, n’entendent pas le ministre de l’intérieur. Garant de l’ordre public, Clemenceau revendique le statut de « premier flic de France ». Que souhaite la classe ouvrière ? Cahier9. « Les misères du patronat » de Jean Jaurès. [Extrait] « Les misères du patronat » font partie des nombreux articles que Jean Jaurès publie à partir de 1888 dans la Dépêche de Toulouse. Pour l’homme qui n’a pas retrouvé son siège de député en septembre 1889, ces articles sont le moyen d’exposer sa vision du socialisme mais aussi l’occasion d’apprendre la politique de « terrain ». « Les misères du patronat » a été publié à la Une de la Dépêche le 28 mai 1890. En juillet, Jaurès sera élu conseiller municipal de Toulouse.

C’est une erreur grave de croire que le socialisme ne s’intéresse qu’à une classe, la classe des ouvriers, des producteurs manuels. S’il en était ainsi, il remplacerait simplement une tyrannie par une tyrannie, une oppression par une oppression. . « C’est une erreur grave de croire que le socialisme ne s’intéresse qu’à la classe des ouvriers. Tout d’abord, les tout petits patrons sont, d’année en année, après bien des efforts et des souffrances, emportés par la grande industrie. Photos : © Coll. Le Figaro Magazine : Clemen ceau, Jaurès : le duel. En 1900, l'un est radical, l'autre socialiste. En 1906, l'un défend l'ordre, l'autre, la grève. En 1914, l'un est patriote, l'autre, pacifiste. Clemenceau et Jaurès : deux idées de la République.

On l'appelle le «Tigre» ou le «Tombeur de ministères» : c'est Georges Clemenceau. Le 14 mars 1906, à 65 ans, il entre pour la première fois dans un gouvernement. Les dirigeants syndicalistes locaux sont proches des anarchistes. Clemenceau fait face. C'est que les puits de mine sont devenus des tombes. Le 30 mars, hagards, 13 mineurs survivants après plus de vingt jours d'errance dans la mine surgissent comme des spectres. Clemenceau n'est pas homme à céder. Clemenceau sait qu'en choisissant d'être ministre de l'Intérieur il est la cible de tous les partis. Il affiche son programme : il ne veut pas laisser le désordre s'installer.

Clemenceau joue sur la peur. Clemenceau l'emporte. Durant ce printemps difficile, il a trouvé un adversaire à sa mesure : Jean Jaurès. Clemenceau réfute cette vision. DEVOTIC « La déconnexion volontaire aux TIC. Pour en finir avec les risques psychosociaux. Les ouvrages d’Yves CLOT sont autant de jalons qui permettent d’appréhender les tensions du travail salarié autrement qu’en termes d’aliénation ou de malheur. Son dernier livre, Le travail à cœur (éditions La Découverte – 2010) réinterroge l’aggravation des conditions de travail et l’explosion des pathologies professionnelles. Son diagnostic est lapidaire et salutaire et interpelle les acteurs du dialogue social et de l’entreprise et, plus largement, les politiques du travail dont on se demande si elles ont encore pignon sur rue.

Mais cette exploration des dégradations de la santé au travail par Yves CLOT concerne aussi les acteurs de la formation professionnelle dans un pays où l’interaction formation/travail a particulièrement été dévitalisée. L’ouvrage d’Yves CLOT est d’abord une critique étayée des logiques d’infantilisation des salariés héritée des décennies d’un taylorisme à la française particulièrement obtus. Paul Santelmann, Responsable de la Prospective à l’AFPA. Risques psychosociaux : le coût de la non-prévention - Risques psychosociaux - Ressources humaines. 108 519 euros : c'est ce qu'a du verser ce groupe du CAC 40 à une salariée qui avait tenté de se suicider.

C'était en 2008. A l'époque, Jacqueline, ingénieure, 55 ans, 12 ans d'ancienneté dans la maison, se sent harcelée. Elle craque. Coup de canif dans les veines, suicide manqué. 200 000 euros d'indemnités D'ailleurs, pour son divorce consécutif à sa dépression, Jacqueline obtient 15 000 euros supplémentaires au titre du « préjudice d'établissement ». La note va s'alourdir pour les employeurs Pour les entreprises qui attendaient l'accident pour agir, la stratégie de la « réparation » risque de coûter de plus en plus cher.

La prévention, une source d'économies Alors que la réparation va coûter de plus en plus cher, « la prévention devient un sujet d'actionnaires », assure Jean-Renaud Delissagaray, fondateur de Bien@work, spécialiste de la prévention santé dans les entreprises. Francoise Lignier perspectives syndicales - Le blog perso de l'info CGT. Intervention de Françoise Lignier sur les perspectives syndicales Pour le déroulement de cette intervention, je partirai de 3 constats : Dans les sondages annuels sollicités par la CGT, les salariés placent les conditions de travail en première position, bien avant les salaires. Sarkozy a été le seul candidat, aux présidentielles, à mettre médiatiquement sur la table la question du travail. Mais il a traduit travail par performance, rentabilité. L’actualité est riche de la question du travail, et en particulier de celle de son mal vivre, des souffrances qu’il engendre, quand certains en meurent. Hier comme aujourd’hui, les éclairages et discussions sur le travail attestent de la place qu’il occupe dans nos sociétés.

Parallèlement, il y a difficulté, à tous niveaux, à analyser le travail, à le percevoir tel qu’il est, ce dont il est ou non porteur, dans un contexte de profondes mutations touchant à sa représentation, à son sens, à son statut et à ses corollaires. 1. 2.

Sécurité travail

L'évaluation du travail en question. L'évaluation du travail fait débat. Simple corollaire de l'autonomie des travailleurs pour les uns, mécanisme de domination pour d'autres, ses fondements sont rarement interrogés. L'évaluation du travail ne date pas d'hier. Elle existait au temps des compagnons, avant d'être mise en oeuvre de manière systématique à l'âge industriel, sous la forme de la notation ou de l'entretien annuel d'évaluation. Cette pratique semble plutôt routinière. L'intérêt pour la question a été relancé ces dernières années avec l'engouement pour la « logique compétence ». Les systèmes d'appréciation (ou d'évaluation) du personnel. Caco. Pour Christophe Dejours, la qualité totale et l’évaluation sont une calamité pour le monde du travail - ACQUALIN,le blog de la Qualité.

1 : Christophe Dejours, L’évaluation du travail à l’épreuve du réel. Critique des fondements de l’évaluation. Collectif Biatoss P7 - Christophe Dejours, l'évaluation individuelle est dangereuse. - Les réflexions du professeur Christophe Dejours sur l’impact du travail sur la santé mentale « Le mal-être au travail. Psychologie du travail. Cet article présente des problèmes à corriger. Vous pouvez aider à l'améliorer ou bien discuter des problèmes sur sa page de discussion.

Certaines informations devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans la bibliographie ou les liens externes. Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références. (Marqué depuis novembre 2015) Psychologie du travail et des organisations La psychologie du travail et des organisations est une branche de la psychologie qui s'intéresse aux phénomènes psychiques et aux comportements des individus au travail.

Histoire[modifier | modifier le code] L'histoire de la psychologie du travail peut être divisée en plusieurs grandes périodes : de 1910 jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale, de 1950 aux années 1970 et depuis la fin des années 1970 à nos jours[2],[3]. 1910—1945[modifier | modifier le code] Débuts de la psychologie industrielle[modifier | modifier le code] Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code] Nous[Qui ?] On[Qui ?] Le management : de la théorie à la pratique n°081 Juin 2009. L'actualité du management et de la gestion sommaire Les rouages de l'entreprise, édition 2011 L'entreprise Le monde de l'entreprise évolue, et les pratiques de management avec lui. Nouvelles organisations et formes de travail, besoin d'innovation, diversité croissante, le rôle toujours plus accru du capital humain, nouveaux équilibres entre travail et loisir... autant de facteurs de changement que les entreprises doivent prendre en compte pour réussir.

Il existe nombre de théories qui posent les principes de la « bonne » gestion du travail et des employés, mais le management reste surtout une pratique quotidienne : ce dossier présente ses évolutions et ses adaptations aux changements qui l'affectent, ses échecs et ses réussites. Acheter l'ensemble du dossier pour 5,00 € Mode d'emploi pour accéder aux articles de ce dossier Ce dossier est constitué d'articles tirés de nos archives et certaines informations peuvent renvoyer à un contexte dépassé. Théories du management Les démarches qualité. Accueil. Management : Les 4 Temps du Management.

Revue Travailler. Évaluations et santé mentale : diptyque pour poser la question du travail. Du sens de l'évaluation dans le travail social. L’exigence d’évaluation s’est étendue à tous les champs des politiques publiques, dont celui de l’action sociale. Mesurer l’utilité des interventions structure sans doute la démarche. Mais comment évaluer concrètement le travail social ? Qu’il s’agisse de la relation avec l’usager, des méthodes utilisées ou des résultats attendus et observés, l’approche se doit d’être éthique.

L’enjeu est bien de se saisir de l’évaluation comme d’une occasion offerte de renforcer la légitimité du travail social. L’évaluation des politiques publiques, tout comme des pratiques des acteurs, est aujourd’hui incontournable et a envahi tous les secteurs de l’activité humaine. Cependant, si la mise en œuvre de l’évaluation devient un souci légitime dans les organisations complexes modernes, et notamment dans l’action sociale, elle ne saurait se réduire à une question technique ou de politique institutionnelle et publique, mais nécessite d’intégrer la question symbolique, du sens et des valeurs. La clinique du travail, espace de rencontre entre le syndicaliste et le psychologue. Dès lors, de nombreux problèmes posés dans le champ syndical sont similaires à ceux rencontrés par la psychodynamique du travail.

Le travail syndical entretient une proximité avec elle, en tant que « théorie » et en tant que pratique. Le syndicaliste et le psychologue du travail se débattent avec les mêmes questions : l’écart entre le travail réel et le travail prescrit, la grève du zèle, l’écoute de la plainte des salariés, les stratégies collectives et-ou individuelles, les rapports sociaux (le lien de subordination), etc. Comment rendre visible le travail avec ses enjeux de rapports sociaux ? Est-il toujours recommandé de rendre visible le travail réel ? Comment redonner une dimension collective aux problèmes issus de l’organisation du travail qui ont été psychologisés ? Comment susciter la confiance des salariés ? Si l’expérience d’une situation à l’interface de deux activités de travail est riche, elle est aussi source de souffrances.