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Venise

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Carte de Venise en l'an 1500. Cette carte est en mode États souverains, cliquez sur la carte principale pour afficher les dépendances République de Venise (Venise) , Serenissima Repubblica di Venezia. Musées art contemporain de Venise - Douane de Mer, Venise | Palazzo Grassi. François Pinault : ELOGE DU DOUTE au Punta della Dogana - Expos - EKTV. « Eloge du doute » est une exposition de la Fondation François Pinaut présentée à la Punta della Dogana (la « Pointe de la douane »), Venise, et ce jusqu’au 31 décembre 2012. Dirigée par Caroline Bourgeois, l’exposition Éloge du Doute propose un parcours thématique sur la force et la fragilité de l’humain et de sa condition, en célébrant le doute dans sa force à défier les préjugés, les conventions, et les certitudes. Réunissant une vingtaine d’artistes*, elle se compose de pièces emblématiques de la création contemporaine telle l’installation « Roxys » d’Edward Kienholz ou des oeuvres de Jeff Koons, mais aussi de productions nouvelles, certains projets ayant spécialement été conçus à cette occasion.

Lien direct : Venezia Palazzo Ducale sito ufficiale. Venise et ses lagunes :: L'Arsenal de Venise. Recherche | carte Le développement commercial retour | home contactez-nous | copyright Thèmes connexes Galerie vidéo No video Galerie des Photos L'Arsenal de Venise. L'Ancien Arsenal de Jacopo de Barbari,1500, détail, Musée Municipal Correr. Le Doge Ordelafo Falier. Domaines de la République de Venise après la quatrième croisade Expansions du complexe de l'Arsenal - Perspective de la plante du XVIIIe siècle Les darses de l'Arsenal. Édifices et Ateliers. Édifices et Ateliers . Murs d'enceinte. Mappe Maffioletti, 1797. La 'Galeazza' vénitienne du XVIe siècle. Galère subtile vénitienne, modèle du Musée Historique Naval, Venise.

Fondaco des Turcs en 1870, après restauration. Plan du Fondaco des Turcs en 1870, après restauration. Le Fondaco de l'Allemand. Fresque du Fondaco des Allemands. L'Ecusson du Doge Ranieri Zeno. Porte Magna vue des Maffioletti, 1790. Le Doge Andrea Gritti à genoux face au lion de Saint Marc. Le 'squero' du Bucintoro. Musée d'Histoire navale et Campo San Biagio. L'Arsenal de Venise. Marina Militare. Persée. Bataille de Lepante. Le bassin méditerranéen au XVIe siècle Deux grandes puissances se parta­gent la domination du bassin méditerra­néen au xvie siècle. D’un côté, l’Es­pagne et ses possessions insulaires et italiennes - Baléares, Sardaigne, Sicile, royaume de Naples, duché de Milan. De l’autre, l’Empire ottoman. Depuis le début du xvie siècle, l’Empire ottoman s’étend. À cette division politique s’ajoute naturellement la division religieuse entre chrétiens et musulmans, qui augmente les antagonismes et res­suscite périodiquement l’idée de « guerre sainte ».

En revanche, les activités écono­miques - le commerce - mettent en relation ces deux pôles du bassin mé­diterranéen. Depuis le début du XVIe siècle, les Turcs ne cessent de lancer leurs galères en Méditerra­née occidentale. Une coalition contre les Turcs Cette insécurité touche aussi les États. La prise de Nicosie oblige les chrétiens à réagir.

Le 7 octobre 1571 Une journée complète de combats, un déluge de fureur et de feu. Déroulement Bilan Anecdotes. Le Port de Lépante. Cette peinture de grand format représente la ville de Lépante, un port du golfe de Corinthe (Grèce) conquis par les Ottomans en 1499 sous le règne de Bayazid II (1481-1512). L’environnement naturel montagneux est figuré par de nombreux rochers ponctués de fines plantes à fleurs rouges. La ville entourée par des murailles est protégée par des douves et s’ouvre sur la mer par l’intermédiaire du port, fortifié lui aussi. Différents quartiers sont représentés, renseignés par des inscriptions détaillant leur nom. On peut ainsi observer le quartier Eksfoli avec ses maisons rouges à gauche de la muraille, ou encore des « maisons de sufi mystiques » à droite de la ville.

Les forteresses figurées de part et d’autre du golfe ont été érigées par Qâsim Bey, vizir de Soliman et gouverneur de Morée jusqu’en 1541. A droite du relevé on peut observer un système de canaux, de barrages et de moulins servant à l’irrigation de cette zone agricole (vignes) et artisanale (tanneries). Art in Renaissance Venice, 1400–1515. This exhibition of Renaissance Venetian art in the Metropolitan Museum's collections features approximately fifty paintings and drawings by preeminent artists active in Venice from the late fourteenth to the early sixteenth century. The selection, drawn from the Robert Lehman Collection, the Department of European Paintings, and the Department of Drawings and Prints, unites works by masters such as Giovanni Bellini, the Vivarini, Marco Zoppo, and Vittore Carpaccio. Paintings and drawings, mostly sacred in subject, illustrate the transition from the Venetian Gothic style of the early fifteenth century to mid-century, when artists began to respond to the Renaissance vocabulary of Florence and Padua.

The exhibition presents a comparison of the two primary artistic dynasties, the Bellini and the Vivarini, and explores their workshop practices and specializations in the context of the Venetian art market. Left: Giovanni Bellini (Italian, Venetian, active by 1459–died 1516). Venise, les débuts de la Renaissance. Les “scuole” à Venise Les “scuole”, confréries religieuses ainsi nommées par les Vénitiens, étaient particulièrement remarquables. À côté de leurs activités de dévotion, les “scuole” remplissaient un certain nombre de fonctions sociales et étaient engagées dans un ensemble d’œuvres charitables.

Elles fournissaient aussi la majorité des effectifs dans les processions, qui étaient la pierre angulaire du rituel civique vénitien. Théoriquement, toutes les “scuole” acceptaient les nobles comme les roturiers et formaient ainsi un lieu de cohésion où les Vénitiens de toutes conditions pouvaient se retrouver dans un contexte de solidarité sociale et d’assistance mutuelle. À la fin du XVe siècle, ces corporations ou confréries laïques se comptaient par centaines. La catégorie la plus importante comprenait les “scuole comuni”, communautés qui, curieusement, acceptaient les hommes et les femmes. Procession place Saint-Marc, détail, Gentile Bellini, (Venise, Accademia). Les dynasties artistiques. La Renaissance italienne : la Venise des Doges.

L’Appartamento del Doge.