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Traduction poésie americaine

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Keith Barnes / Jacqueline Starer. Jacqueline Starer. Poésie / Essais.

Jacqueline Starer

Les traductions et autotraductions de Saint-John Perse en Amérique latine et aux États-Unis. 1 Antonin Artaud, Suppôts et Suppliciations, in Œuvres complètes, vol.

Les traductions et autotraductions de Saint-John Perse en Amérique latine et aux États-Unis

XIV, Paris, Gallimard, 1978, p (...) Il y a l’hermétisme où l’on n’entre pas parce qu’il est fermé, celui où l’on entre et qui vous enferme, celui qui vous invite à entrer pour ouvrir ce qui est fermé1. Antonin Artaud. Les joies et les contrariétés du métier de traducteur. Son immense talent littéraire a permis de faire connaître la littérature latino-américaine à des millions de lecteurs.

Les joies et les contrariétés du métier de traducteur

Or son nom ne figure pas sur la couverture des livres, et il reste pratiquement inconnu. Traducteur, essayiste et éditeur de renom, Eliot Weinberger se trouvait au siège de la BID à Washington en novembre pour une causerie portant un titre fort révélateur : " Sources anonymes — Traducteurs et traduction ". Weinberger est certes très primé, ayant reçu le prix PEN/Kovolakos pour avoir favorisé le rayonnement de la littérature hispanique aux États-Unis et l’Ordre de l’Aigle aztèque du gouvernement mexicain, pour ne nommer que ceux-là. Laboratoire Passages XX-XXI - Colloque "Traduire la Poésie Française et Américaine des/aux XX° et XXI° Siècles". 12-13 mai 2011. Traduire, journal de Jacques Roubaud par Tristan Hordé, les parutions, l'actualité poétique sur Sitaudis.fr. En 1980, paraissait sous la direction de Michel Deguy et Jacques Roubaud un volume imposant de traductions, Vingt poètes américains ; une partie d’entre eux était alors inconnue en France, notamment les poètes objectivistes dont Roubaud avait quelques années auparavant proposé un choix dans Europe (juin-juillet 1977).

Traduire, journal de Jacques Roubaud par Tristan Hordé, les parutions, l'actualité poétique sur Sitaudis.fr

La Négritude dans la poésie révolutionnaire hispano-américaine (traductions) C’est quelque peu à contre-cœur que j’emploie le terme « négritude » dans le titre de cette présente série de traductions, car la famille de pensée révolutionnaire s’accorde généralement sur le fait que le concept a servi la politique conservatrice du parlementarisme bourgeois.

La Négritude dans la poésie révolutionnaire hispano-américaine (traductions)

Ainsi, la poétesse espagnole (longtemps exilée à Porto Rico) Aurora de Albornoz, coauteur avec Julio Rodriguez-Luis de l’anthologie dont les poèmes suivants sont tirés, rappelle en introduction (je traduis de l’espagnol) : Le lecteur aura noté le trait décoché en passant à Léopold Sédar Senghor, parlementaire français de 1945 à 1958, ministre du général de Gaulle et enfin Président du Sénégal pendant vingt ans aux jours bénis de la « Françafrique » prétendument décolonisée. J’ai cependant choisi de garder « négritude », faute de mieux. Maison internationale des littératures à Bruxelles. Rencontre autour de l’oeuvre du poète américain William S. Merwin.

William S.

Rencontre autour de l’oeuvre du poète américain William S. Merwin

Merwin est l'un des plus grands poètes de notre temps. En compagnie de son ami l'essayiste et traducteur Michael Taylor, des éditions Fanlac qui ont édité son oeuvre en français depuis Périgueux, et avec la complicité de l'acteur Robert Birou, la médiathèque propose de redécouvrir cet auteur essentiel de la littérature poétique américaine, à l'occasion de l'édition 2017 du Printemps des poètes. Une programmation proposée en partenariat avec les Editions Fanlac (Périgueux) et la librairie La Baignoire d’Archimède, dans le cadre du Printemps des poètes 2017. Merwin Poet Laureate, 2010William Stanley Merwin, né à New York en 1927, est l'un des chefs de file du renouveau de la poésie américaine. . « Je pense que le propos de la poésie c’est ce qui ne peut pas être dit. La Chambre du traducteur. Dans les pages qui vont suivre, outre un préfacier érudit et fin analyste, c’est un puissant essayiste, un habile portraitiste et, en filigrane, un tempérament que l’on va (re)découvrir.

La Chambre du traducteur

Les textes réunis ici forment surtout le faisceau dense d’une sensibilité à fleur de plume. Archives, pour un monde menacé. Archives, pour un monde menacé est le premier livre de la grande poète, écrivain et artiste Anne Waldman publié en France.

Archives, pour un monde menacé

Venant compléter les quelques titres édités par le collectif Maelstrom en Belgique, le livre, préparé et traduit par Vincent Broqua, traducteur et spécialiste de poésie américaine, est un choix de textes couvrant les treize dernières années de l’œuvre d’Anne Waldman. Archives, pour un monde menacé donne donc à lire l’évolution d’une pensée et d’une pratique poétique, mais aussi philosophique et politique, au début du 21ème siècle.

Ce choix éditorial de textes récents est d’autant plus significatif qu’il s’appuie aussi sur les leçons tirées du passé, qu’il tienne de la mémoire collective ou bien, plus précisément, de la mémoire littéraire. . « L’écriture d’Anne Waldman est singulière dans la poésie américaine contemporaine. Vincent Broqua. Jacques Darras - Poète, Essayiste, Traducteur. Traduire la poésie. Entretien avec Stéphane Bouquet Textes de Paul Blackburn dits par Jean-Pierre Petit & Textes de Vanessa Place dit par Astrid Bas Paul Blackburn est né dans le Vermont (États-Unis) en 1926 et mort en 1971.

Traduire la poésie

Le souffle long… The Long Breath… De largo aliento… (poésie américaine contemporaine) Université de Toulouse II Le Mirail et Bibliothèque d'Études Méridionales de Toulouse.

Le souffle long… The Long Breath… De largo aliento… (poésie américaine contemporaine)

> A l'international. Quelques sites de référence pour la poésie à l'échelle internationale — www.festrad.com Festival franco-anglais de poésie, initié par le poète québécois Jacques Rancourt, réunissant les textes et les œuvres d’artistes d’horizon et d’origine très diverses. Www.europe-revue.net Site de présentation des diverses thématiques abordées dans la revue de référence sur la poésie étrangère www.royaumont.com Site de la Fondation Royaumont qui consacre régulièrement des séminaires à la poésie étrangère via son centre de poésie et traduction.

Ouvrages traduits par Martin Richet. Nantes : Ron Padgett poète américain présenté par ses traducteurs – le 10 Mai. Ron Padgett poète américain présenté par ses traducteurs Olivier Brossard et Claire Guillot Lecture bilingue en partenariat avec Double Change Jeudi 10 mai / 19h30 Ron Padgett est né à Tulsa dans l’état d’Oklahoma en 1942. Aujourd’hui, il partage son temps entre New York et Calais (Vermont). Sans titre. Lecture de poésie anglophone : David Herd, Jane Augustine, Michael Heller - Université Toulouse-Jean Jaurès (Toulouse II-le Mirail) Lecture de poésie anglophone : David Herd, Jane Augustine, Michael Heller Lecture de poésie anglophone : David Herd, Jane Augustine, Michael Heller. In Journée d'étude "Tailor-Made Traditions : The Poetics of US Experimental Verse" organisée par Clément Oudart (Cultures Anglo-Saxonnes, axe de recherche "Poéthiques") de l'Université Toulouse II-Le Mirail.

Toulouse : Dickinson College, 25 janvier 2013. 1. Lecture par David HERD de quelques uns de ses poèmes extraits du recueil All Just (Carcanet, 2012), traduits et lus consécutivement par Olivier Brossard. 2. Anthologie permanente : Emily Dickinson (un poème, cinq traductions) (Poezibao) Cinq traductions du poème 465 (écrit en 1862 ; Cahier 26) d’Emily Dickinson. J’entendis une Mouche bourdonner – quand je mourus– Le Calme dans la Chambre Était comme le Calme dans l’Air – Entre les Soubresauts de l’Orage – Les Yeux alentour – essorés, secs – Et les souffles retenus Pour le dernier Assaut – lorsque le Roi Apparaîtrait – dans la Chambre – Je léguais mes Menus Objets – et Donnais Cette part de moi Qui se peut donner – et c’est lors Qu’une Mouche s’interposa –

Hirshman, la poésie américaine au combat. Voir aussi NY, NY (1) Janvier 1999, un grand ours blanc débarque de San Francisco : Jack Hirshman, poète, né en 1933, vient lire, déclamer, protester à Paris, à la Maison de la poésie, cadre inhabituel pour cet homme dont le terrain d’action demeure plutôt celui de la rue. Rencontre. Héritier de la beat-generation qu’il a bien connue, Jack Hirshman s’affilie lui-même à la street generation qui met la poésie au service du combat politique, en défendant les exclus de la société américaine : sans-abris, chômeurs, exclus...

La parution d’un livre de poèmes choisis, sous le titre J’ai su que j’avais un frère, nous parle d’une autre Amérique, autre que celle que projette l’écran médiatico-idyllique d’un pays en pleine reprise économique ; autre que la lecture médiatico-caricaturale d’un président mis en procès pour quelque leçon de fellation démocratique. L’"american way of life" de Jack Hirshman concerne cette "nouvelle classe" délaissée, à l’image de Jesse, une femme de son quartier qui :