background preloader

Spain

Facebook Twitter

Will Podemos rescue Spain's unemployed youths? Earlier this year, the electoral victory of Syriza in Greece marked the first government elected within the troubled eurozone to finally say no to European officials who for years have been pressing for less government spending and for sweeping economic reforms to remake Europe. While many thought it was impossible for a small country that made up just 2% of the 19-nation eurozone’s economy to meaningfully change Europe’s economic trajectory, it is already happening. Last month, Greece received a four-month extension on its loan from international lenders.

While some have viewed this as another example of Athens prolonging its debt troubles and ‘kicking the can down the road,’ it is a significant victory for Syriza. After all, this marked the first time Greece has been able to renegotiate the terms of its bailout. And on Monday, officials are expected to present its proposals to eurozone finance ministers. Podemos’ platform is sure to speak to Spain’s unemployed youth. Magdalakoff : #22Mars #Madrid Ambiance ! Anonymous_Prodi : Informan de MAS de 2 MILLONES... Magdalakoff : #22Mars La dignité, dans... Red Ciudadana. Partido X. Spain’s public debt already exceeds target for full year | In English. Spain’s public debt exceeded the government’s target for the full year in the first half as the country struggled to make inroads into the public deficit amid a prolonged recession and as the Treasury took advantage of favorable market conditions to frontload debt emissions.

According to figures released Friday by the Bank of Spain, the total outstanding debt of all of the country’s public administrations amounted to 942.758 billion euros at the end of June, equivalent to 92.2 percent of GDP. The government’s target for the whole of 2013 was for a debt-to-GDP ratio of 91.6 percent. Debt levels in the first half were up 17.2 percent on the same period a year earlier. The increase is largely due to the central administration, which saw its debt rise 20.3 percent in the period January-June from a year earlier to 818.375 billion euros, equivalent to 80.1 percent of GDP. Espagne : la rage des expulsés contre le terrorisme financier des banques. Pendant des mois, des centaines, des milliers de personnes se sont mobilisés contre les expulsions tout en dénonçant le rôle des banques. Mais une violente colère a explosé durant la nuit à Barakaldo. Samedi matin (10 novembre, NDLR), des dizaines de succursales bancaires dans la zone industrielle de la ville de Bilbao et plus largement dans le reste du Pays basque ont été couvertes d’inscriptions sans équivoque rédigées en langue basque et en espagnol : « hiltzaleak« , « asesinos » : « assassins » La vague d’indignation a été déclenchée par la mort d’Amaia Egana.

Cette femme de 53 ans s’est défenestrée après qu’un huissier accompagné d’officiers de police ont pénétré dans son appartement situé au quatrième étage pour procéder à son expulsion. À Barakaldo, il y a avait près de 10.000 personnes à défiler, la rage au ventre et le cœur brisé par l’émotion, en signe de protestation contre le chômage, les expulsions et les coupes dans les budgets sociaux. Capitaine Martin. Les trois jours noirs des Indignés espagnols. M.guardian.co.uk. Riot police struggle with protesters during demonstrations in Madrid against austerity cutbacks. Photograph: Chema Moya/EPA The middle-aged man sitting on a railway station bench protects a younger man by wrapping his arms around him as he shouts desperately at the helmeted, baton-wielding police officers running up and down the platforms at Madrid's Atocha station.

"Shame on you! Shame on you! Shame on you! " On the other side of the ticket barrier a younger man is whacked with truncheons by two policemen. On Friday, police told a judge they had needed to chase a group of violent protesters across the railway tracks and had later arrested some in a nearby bar. While police and the conservative government of prime minister Mariano Rajoy were accused of authoritarian behaviour, radical protesters from both the far left and the far right were putting a hard, street-fighting edge on to the once peaceful protests of the civilised but ineffectual indignados.

« Ni chocolat, ni desserts » : les Andalous se servent au supermarché. En Andalousie, 200 travailleurs agricoles ont choisi mardi la vieille méthode de « l’autoréduction » pour protester contre la vie chère et les inégalités sociales, en période de chômage massif (33% de la population régionale). Dans les rayons d’un supermarché, ils ont rempli des chariots de nourriture avant de passer la porte sans payer. Actions militantes dans deux supermarchés andalous Le journal El Pais raconte l’épisode : « Le premier groupe, d’une trentaine de personnes, a choisi un supermarché Mercadona à Ecija : il a rempli dix chariots de légumes, de sucre, de lait, d’huile.

A visage découvert Traduction pour l’AFP : un « commando » « joue les Robin des Bois » et « crée le scandale » en Espagne par « ses actions coup de poing » . « Le moment est arrivé de mener des actions qui frisent l’illégalité, parce qu’il y a des gens pour qui tout va mal, et nous ne pouvons pas rester les bras croisés », a commenté un syndicaliste présent.

La droite et la gauche s’indignent Une méthode éprouvée. Tout tourne autour de la crise. Que se passe-t-il en Espagne ? Cette question, toute l’Europe se la pose, Allemagne en tête. Le Spiegel a envoyé l’un de ses reporters, fils d’un Espagnol venu chercher du travail en Allemagne, dans la patrie de ses parents – à la recherche des causes de la crise qui frappe son pays. Voici quelques mois, j’ai été interviewé par un petit homme rondouillard. Un animateur espagnol que je n’avais encore jamais vu mais que tous les petits Espagnols connaissent, Jordi Évole. C’est l’ancien acolyte d’un célèbre animateur de talk-show, l’Espagnol Manuel Andrack. Par un samedi après-midi froid et humide, nous nous sommes retrouvés devant la Porte de Brandebourg. Jordi Évole m’a demandé de lui parler de l’Allemagne – de ma vision de fils d’immigré espagnol, mais surtout de ma vision d’Allemand.

Qu’une économie ne peut pas être prise au sérieux quand elle repose sur le soleil, les oranges et le bétonnage du littoral méditerranéen ? “Un pays qui me rend fou” La terreur En 2012, les choses ont changé. A Barcelone, les banques sont prises d’assaut. Que se passe-t-il en Espagne ? Dans la deuxième partie de son voyage dans le pays de ses parents, Juan Moreno, reporter au Spiegel, découvre le ressentiment des Espagnols ruinés à l’endroit des banques. Barcelone grouille de touristes. Le nombre de nuitées a augmenté l’année dernière. Les cafés bordant la place de Catalogne continuent de servir leurs cafés hors de prix. La police donne la chasse aux mendiants. La crise, c’est quelques rues plus loin qu’il faut aller la chercher. A un carrefour de l’avenue Diagonal, je rencontre Pedro Panlador, un homme au physique fluet qui s’est planté devant une agence Bankia.

La banque madrilène Bankia [née de la fusion de sept banques régionales en 2010] a mis Pedro Panlador à la porte de chez lui parce qu’il n’était plus en mesure de rembourser son crédit. Pedro Panlador est né en Colombie et vit depuis douze ans à Barcelone. Identifier clairement l'ennemi En 2011, Bankia a enregistré trois milliards d’euros de pertes. Pedro Panlador sonne. Espagne: la colère monte dans le pays étranglé par la rigueur et la crise. Hausse de la TVA, réduction des revenus des fonctionnaires, la colère est montée d’un cran avec une cure d’austérité touchant désormais l’ensemble des Espagnols, étranglés par les plans de rigueur depuis 2010 et une crise dont ils ne voient pas le bout.

D’autant que chaque jour apporte son lot de mauvaises surprises: le plan d’une rigueur historique approuvé vendredi par le gouvernement va rapporter 56,44 milliards d’euros sur les 65 milliards d’économies d’ici à fin 2014 annoncés mercredi par le chef du gouvernement Mariano Rajoy. Résultat: d’autres mesures vont suivre sous peu pour trouver les 8,5 milliards qui manquent, dont certainement une forte hausse du prix de l’électricité, à la charge des entreprises du secteur et des consommateurs. De quoi soulever la colère des Espagnols qui sont de plus en plus nombreux à descendre dans la rue, même si ce n’est pas dans la culture d’un pays revenu à la démocratie en 1978 après une guerre civile et la dictature de Francisco Franco. Espagne : la répression pour imposer un ordre nouveau.

Un avenir sombre pour les mineurs. En grève depuis fin mai, des mineurs espagnols entament le 22 juin une marche pour le maintien des aides à l'industrie du charbon. Mais en pleine crise, ce mouvement pour sauver une profession ancienne parait désespéré. Il y a tout juste 50 ans, le 21 juillet 1962, le dictateur Francisco Franco confiait à son cousin et secrétaire militaire, le général Francisco Franco Salgado-Araujo, que si l’Espagne décrochait son entrée dans ce qui était alors la Communauté économique européenne (CEE), ce serait un coup fatal porté aux mines de charbon espagnoles. Comme en ce jour de 1962, les mines de houille et d’anthracite sont aujourd’hui le théâtre d’un conflit virulent, émaillé d’affrontements violents entre les mineurs et la police, et d’arrêts de travail dans la région des Asturies et du León.

Ce qui se joue, c’est l’ultime bataille pour la survie d’un secteur économique qui existe depuis 1801 et qui, plus qu’un simple artisanat, constitue une exploitation industrielle à grande échelle. Euro : pan t’es mort ? L’immense, l’essentielle actualité sur le tweet de Mme Trierweiler a occulté une toute petite information : la zone euro est venue au secours du secteur bancaire espagnol. Faute de quoi… Ahem… voilà que l’on reparle de l’effondrement de la zone euro.

Ce qui, il faut l’avouer ne lasse d’étonner les auteurs de Reflets, nous qui savons que Nicolas Sarkozy a sauvé la zone euro entre quatre et six fois. Et partant, le monde, voire l’univers. Oui, oui, nous lisons aussi les déclarations de Nicolas Sarkozy et nous savons donc qu’à grand coups de moulinets avec ses petits bras, il a sauvé l’Europe à de nombreuses reprises. Alors du coup, c’est quoi encore cette histoire espagnole ? L’Espagne, à part le chorizo, ses plages, ses boites de nuits d’Ibiza (il faut bien ajouter ça dans les clichés…), c’est accessoirement l’une des premières économies en Europe. Et même dans le monde. Alors comment faire ? Bien entendu, cette confiance est artificielle. A chaque fois, l’Europe a répondu présente. La banque espgnole Bankia inquiète l'Europe. Une première enveloppe de 4,5 milliards d’euros le 9 mai n’aura pas suffi. Depuis vendredi soir, l’État espagnol va devoir ajouter 19 milliards pour sauver du naufrage Bankia, la quatrième banque du pays.

Une facture de 23,5 milliards d’euros qui prend de court le gouvernement de Mariano Rajoy, persuadé jusqu’à vendredi d’avoir endigué la crise de ses banques. Ce fardeau, il entend pourtant toujours l’assumer seul, malgré les appels du pied répétés de l’Europe, qui veut éviter à tout prix un nouveau scénario à la grecque. Il y a deux ans, l’idée de réunir sept caisses régionales pour en faire une structure financière solide avait semblé pertinente.

Son président, ancien ministre de l’Économie et directeur général du FMI, Rodrigo Rato, avait convaincu les autorités espagnoles, les marchés et Bruxelles… Avant d’être poussé à la démission. En attendant, l’Europe retient son souffle. Jusqu’à vendredi, la Commission en prenait son parti. Sylvie Andreau - Le Journal du Dimanche. En Espagne, le changement risque de provenir des gens… La rue contre l'austérité (presse espagnole) Vite Dit Les "vite dit" sont tous les contenus des médias français et étrangers qui nous semblent dignes d’être signalés. Si nécessaire, ils feront l'objet d'un traitement approfondi dans nos articles payants. La page des "vite dit" a pour fonction de donner aux non-abonnés une impression des centres d’intérêt du site.

La page des "vite dit" est très fréquemment actualisée au cours de la journée. 13h15luLa rue contre l'austérité (presse espagnole)ParGilles Kleinle 30/04/2012 Des dizaines de milliers d'Espagnols ont manifesté dimanche dans tout le pays contre les dernières mesures d'austérité adoptées le 20 avril par le gouvernement dans l'éducation et la santé (baisse du taux de remboursement des médicaments pour les actifs et les retraités etc...) Abonnez-vous ! L’Espagne, double victime de l’euro. Acte 1 : l’euro pousse-au-crime Nicolas Sarkozy cite parfois l’Espagne comme l’exemple d’un pays mal géré, pour sous-entendre que les politiques socialistes ne pourraient mener qu’à la catastrophe. Mais cette présentation des choses est totalement malhonnête.

En 2007, l’Espagne était souvent présentée comme le pays modèle de la zone euro, qui avait su concilier forte croissance (plus de 3% par an) et gestion rigoureuse (dette inférieure à 40% du PIB, excédent budgétaire de 2005 à 2007). En fait, on le sait aujourd’hui, l’économie espagnole vivait sous la perfusion d’une gigantesque bulle immobilière, dont l’explosion explique la crise d’aujourd’hui. Mais le problème de l’Espagne est qu’elle avait renoncé à mener une politique monétaire indépendante et adaptée à son économie. Acte 2 : l’euro camisole Dans un premier temps, la gestion budgétaire rigoureuse des gouvernements précédents a permis à Madrid d’amortir la crise en laissant filer les déficits.

Spain enters new recession with worse to come, says central bank | In English. The Bank of Spain on Monday confirmed the Spanish economy slipped back into recession for the second time in two years as first-quarter GDP shrank for the second three-month period in a row. The contraction was due to a slump in domestic demand caused by the austerity drive and high unemployment, which depressed consumer spending. In its latest monthly report on the economy, the central bank estimates that GDP fell 0.4 percent from the last quarter of 2011 when it shrank 0.3 percent. On an annual basis GDP dropped 0.5 percent after growth of 0.3 percent in the period October-December. That was the first annual fall in eight quarters. As has been the case over the past four years, domestic demand continued to shrink, falling 0.9 percent.

Growth in net trade – exports minus imports -- remained positive but slowed to 0.6 percent. The report indicated the slowdown is likely to become more accentuated. Greve geral. À NOUVEAU LES ALARMES RETENTISSENT ! par François Leclerc. Conjoncture : L'Espagne n'apprécie pas qu'on la compare à la Grèce. Investors dump euro and risky bonds as fears about Spain intensify | Business. Chahutée sur les marchés, l'Espagne inquiète | Élodie Cuzin | La crise européenne. Ce n'est pas la peur qui guide les peuples dans la rue, c'est la colère. YouTube. La protesta crece, el Gobierno resiste. Une marée humaine défile dans l'Espagne en grève. Photos du mur. AUX SUIVANTS ! par François Leclerc. Moody's abaisse de deux crans la note espagnole. A bout, les Espagnols prennent le pavé et la parole, Actualités. L’Espagne à l’heure de la révolte. Un printemps social né sur Internet gagne l'Espagne. L'Espagne va mal. Moody's retire sa note maximale "Aaa" à l'Espagne, la baisse d'un cran.

L'Espagne : de la crise économique à la crise politique. La note de la dette de l'Espagne abaissée par Fitch - Economie - Bourse : Wall Street attendue en vert clair avant le. Espagne : les fonctionnaires en grève ce mardi contre le plan d'