Leçons d'une insurrection civique annoncée. La réaction émouvante de Jean-Luc Mélenchon après le séisme FN aux élections ... Martin Schulz réunit 150 personnes à Forbach. À une semaine des européennes qui s'annoncent compliquées pour la majorité, le président du Parlement européen, Martin Schulz, était en meeting hier soir à Forbach (Moselle) pour soutenir le candidat PS dans l'Est, Edouard Martin, face au vice-président du FN Florian Pilippot, aussi tête de liste dans cette région. Mais Martin Schulz, également candidat de la gauche à la présidence de la Commission européenne, n'a pas réussi à mobiliser ses troupes, malgré la présence de plusieurs figures socialistes, dont Catherine Trautmann, numéro deux sur la liste PS. 150 personnes tout au plus avaient fait le déplacement, selon RTL.
Rectificatif : Vérification faite, la salle des fêtes de Forbach, qui accueillait le meeting de Martin Schulz, n'a qu'une capacité limitée de 150 places. Les écolos parlent d'une seule voix. L’Euro-Cauchemard. Le « roman de l’Euro » présenté le jeudi 15 mai au soir a été l’occasion d’une scandaleuse soirée de propagande sur France-2 ! Non que l’on ne puisse parler ni même défendre l’Euro sur cette chaîne, comme sur les autres d’ailleurs. Mais le déséquilibre de l’émission, réalisée à grands frais par le service public et la malhonnêteté de l’argumentation ont passé les bornes. On a bien été en présence d’un exercice de « Funkpropaganda ». L’histoire de l’Euro nous a donc été présentée comme un « roman ». Mais pour la majorité des Français, mais aussi des Italiens, des Espagnols, des Portugais et des Grecs, il s’agit d’un véritable cauchemar.
L’Euro et ce que l’on en attendait L’Euro existe depuis 1999 pour ce qui concerne l’Euro bancaire (ou Euro scriptural) et depuis 2002 pour la monnaie courante, ce que l’on appelle l’Euro fiduciaire. Jusqu’en 2008, soit jusqu’à la crise des subprimes, il a provoqué un fort ralentissement de la croissance sur les pays qui l’ont utilisé. Tableau 1 Tableau 2. Le traité transatlantique, un typhon qui menace les Européens, par Lori M. Wa... Imagine-t-on des multinationales traîner en justice les gouvernements dont l’orientation politique aurait pour effet d’amoindrir leurs profits ?
Se conçoit-il qu’elles puissent réclamer — et obtenir ! — une généreuse compensation pour le manque à gagner induit par un droit du travail trop contraignant ou par une législation environnementale trop spoliatrice ? Si invraisemblable qu’il paraisse, ce scénario ne date pas d’hier. Il figurait déjà en toutes lettres dans le projet d’accord multilatéral sur l’investissement (AMI) négocié secrètement entre 1995 et 1997 par les vingt-neuf Etats membres de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) (1). Divulguée in extremis, notamment par Le Monde diplomatique, la copie souleva une vague de protestations sans précédent, contraignant ses promoteurs à la remiser. Quinze ans plus tard, la voilà qui fait son grand retour sous un nouvel habillage. Tribunaux spécialement créés Procès pour hausse du salaire minimum. Européennes : le Front national fait la course en tête. Européennes : Nicolas Dupont-Aignan prévoit un "tremblement de terre"
Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout La République, a prédit vendredi un "tremblement de terre dans tous les pays" aux européennes. L'UE "a trahi l'idéal européen et asphyxie les peuples", a accusé sur RTL le député de l'Essonne, qui a lancé le 28 avril, sous l'étiquette Debout la France, la campagne de ses huit têtes de liste. "On devrait accepter une Europe sans frontières avec des mouvements de population sans précédent ? L'appauvrissement général ? Le chômage de masse ? La dépossession démocratique ? " a martelé l'ex-candidat à l'Élysée. "Je peux vous assurer qu'il y aura un tremblement de terre aux européennes dans tous les pays", a-t-il dit.