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Entreprenariat social

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"On n’a pas trouvé mieux que l’humanisme pour faire du fric" Prenez une grosse PME d’environ 600 salariés dans un secteur extrêmement concurrentiel et sous pression – la sous-traitance de pièces automobiles – dans un tissu socio-économique sinistré par les plans sociaux et traumatisé par le chômage qui depuis 18 ans se situe à 2 points environ au-dessus de la moyenne nationale – la région picarde. Mettez-lui la pression : celle de ses clients, tous gros constructeurs automobiles qui répercutent directement sur leurs sous-traitants – dont la FAVI fait partie – leurs mauvais chiffres de vente en vidant du jour au lendemain leur carnet de commandes.

Résultat ? Le stéréotype en vogue nous laisserait à penser : plans sociaux, grève, chômage, misère sociale. Eh bien non, ça ne se passe pas comme ça à la FAVI, loin s’en faut. Pour tous ceux qui ont rêvé le poing dressé de voir un jour les ouvriers prendre le pouvoir dans les chaînes de production en chantant l’Internationale, le patron de la FAVI a concrétisé leur rêve. D’abord la dimension communiste. De-l-ES-à-l-ESS-1.pdf (Objet application/pdf) Quant l'Economie solidaire se construisait contre l'Economie sociale. Pour ceux que l’histoire (et même la petite histoire, celles des hommes et des femmes) de l’ESS intéresse, on ne peut que conseiller la lecture d’un texte de Jean-Pierre Hardy, mis en ligne par l’Association pour l’Autogestion “De l’économie sociale à l’économie sociale et solidaire en passant par l’économie alternative et solidaire : modeste contribution à une histoire…” On y trouve en particulier de précieuses informations, venant de quelqu’un qui les a vécus de près, sur l’émergence de l’Economie solidaire dans les années 80, le lien avec le politique, et le rôle dans cette démarche du REAS, Réseau de l’Économie Alternative et solidaire, de la MAAFORM (Maison des associations, des alternatives et de la formation) de Pantin et de Jacques et Aline Archimbaud On mesure, à la lecture de cet article, le chemin qui a du être parcouru, de part et d’autre, pour qu’aujourd’hui le concept d’ESS ait un caractère opératoire.

Impact socio-économique des coopératives et des mutuelles: IRECUS. Dans le cadre du Sommet international des coopératives 2012, qui s'est déroulé à Québec entre le 8 et 11 octobre 2012, l'IRECUS dévoilait les résultats d'une étude inédite sur l'impact socio-économique des coopératives et des mutuelles dans le monde. Des constats étonnants sont posés en réponse aux questions de cette étude inédite. Comment les coopératives et les mutuelles contribuent-elles à construire un monde meilleur? Quel est leur impact socio-économique dans notre monde? Héritières de près de trois siècles de réflexion et de pratique, ces entreprises demeurent aujourd’hui l'une des grandes innovations organisationnelles et éducatives qui constitueraient, si elles formaient un pays, la 9e économie mondiale et la plus grande démocratie au monde.

Pour voir le rapport complet (français ou anglais), cliquez sur l'image correspondante à gauche du texte. Pour consulter les résumés, voir ci-dessous : Résumé de la recherche - version françaiseRésumé de la recherche - version anglaise. IRECUS_Fiche_Impact Coops_ Sommetintercoop.pdf (Objet application/pdf)