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Le choc des cultures - 2 articles, 2 visions du monde qui vient. Alors que Paris Tech Review publie un échange avec M.Satinet, Ancien Directeur Général de Citroën, portant sur l'avenir de l'automobile, le Time s'interroge sur l'impact du peer to peer sur notre façon de nous déplacer. Deux visions du monde (qui n'engagent sans doute pas Citroën). "L'industrie automobile a plus d'un siècle et pourtant elle n'est pas totalement mûre.

Elle connaît aujourd'hui de profondes évolutions, tant sur le plan technologique que dans les dynamiques commerciales. Qui seront les gagnants, qui seront les perdants? ". Et c'est bien là le problème, les nouveaux entrants, ceux qui vont modifier les usages, les pratiques de mobilités pourraient ne pas être les constructeurs automobile eux-mêmes. L'objet automobile n'est pas ici sacralisé, sa technologie est remise à sa place, au second plan. Le français Sigfox révolutionne l'Internet des objets. Japon: un "exosquelette" pour aider les travailleurs nucléaires de Fukushima. En bref : au salon Innorobo, la robotique s’expose. Birobot fasciné par une orange. © BVS En bref : au salon Innorobo, la robotique s’expose - 1 Photo La robotique mondiale s’est de nouveau réunie à Lyon, au Centre des congrès, le long du Rhône pour la deuxième édition du salon Innorobo. En 2011, de nombreux exposants avaient pu montrer leurs créations et démontrer que la robotique est une technologie en devenir qui s’apprête à éclore bruyamment.

L’un des instigateurs de ce salon est Bruno Bonnell, président du syndicat Syrobo et de la société Robopolis, qui distribue des robots, ludiques, comme Pleo le dinosaure ou utiles comme l’aspirateur Roomba. L’an dernier, il expliquait à Futura-Sciences que la robotique en était là où se trouvait la « micro-informatique », puisque telle était alors son nom, dans les années 1980. Plus vaste, la deuxième édition d'Innorobo rassemble des exposants venus du monde entier. A voir aussi sur Internet Sur le même sujet. Le futur des villes passe par le micro-bénévolat  Cradle to cradle, utopie ou prochaine révolution industrielle ? Dorénavant, à l'image de la nature qui ne produit pas de déchets mais les consomme comme nutriments, tout produit sera biodégradable ou recyclable à l'infini.

C'est ce que prédisent, dès 1987, Bill Mc Donough et Mickael Braungart. Ils préconisent pour cela de calquer le circuit de l'industrie - du berceau à la tombe - sur celui de la nature - du berceau au berceau. En 2002, Mc Donough et Braungart, respectivement architecte et chimiste, créent la certification internationale "Cradle to Cradle - C2C", dont le sens est d'encourager la conception de produits non plus pensés pour avoir un impact minimal mais bénéfique pour l'environnement. « Jusqu'à présent, notre travail a mis en place une méthode de design holistique, humaniste et environnementale, tout en concevant des bâtiments séduisants et innovants. Nous avons construit des bâtiments énergétiquement efficaces, neutres en termes de CO2 et autonomes. C2C va au-delà de tout cela. Des matières circulaires Une certification coûteuse. Que ferons-nous des humains quand les robots feront le travail ? | Rue89 Eco.

Je vous présente notre futur proche. Il s’agit de mademoiselle Ucroa HRP-4C, elle mesure 1,58 m. Elle est la première série de robots humanoïdes avec interface IA (intelligence artificielle). Elle est de nationalité « made in Japan ». Présentation de la « robotte » HRP-4C La commercialisation des premiers robots humanoïdes de grande série est prévue pour 2015. Au-delà de la crise, une nouvelle révolution industrielle Lorsque nous essayons de regarder un peu plus loin que les difficultés économiques actuelles, ce que nous voyons poindre, c’est l’ultime révolution industrielle : celle de la révolution de la robotique, qui est la dernière étape de l’évolution humaine.

En Chine, la société Foxconn a décidé de remplacer 500 000 ouvriers – pourtant des peu chers – par des robots. Au Japon, la société Panasonic vient de créer une usine flambant neuve de 15 hectares, produisant 40% des dalles d’écrans plats fabriquées dans le monde (pour une valeur de deux milliards de dollars par mois) ! Comment vivrons-nous dans cent ans, en 2112? La voyance reste un art contesté sur le plan scientifique. C’est le moins que l’on puisse dire.

Et pourtant, au-delà des croyances dans les prévisions de Nostradamus ou du calendrier Maya, certains esprits sont doués pour percevoir les germes du futur et les faire croître mentalement. L’un des champions, dans ce domaine, est probablement John Elfreth Watkins. Cet illustre inconnu n’a pas hésité à publier, en décembre 1900, un article intitulé «What May Happen in the Next Hundred Years» (Ce qui pourrait arriver dans les prochaines cent années) dans la revue The Ladies’ Home Journal. Ce qu’il n’avait sans doute pas prévu, c’est que ce journal existerait toujours plus de 100 ans plus tard. Ce qui est le cas. Il a même fêté ses 125 ans en 2008. Contrairement aux voyants de tous poils, John Elfreth Watkins (1852–1903) n’avait pas de boule cristal et il ne prétendait pas à un quelconque don surnaturel. «Ces prophéties paraîtront étranges, presque impossibles. Prédiction 10: Télévision. Les lunettes Google traduisent une évolution millénaire, présentent de nombreux intérêts dans la mobilité et la consommation, et posent de nombreuses questions … philosophiques.

La rumeur se confirme (déjà abordé dans 2 précédents articles: ici et là). Google devrait commercialiser fin 2012 des lunettes intégrant les principales fonctionnalités d’un smartphone : téléphone, connexion web, GPS, mémoire, appareil photo, avec une projection des informations sur les verres. Cet objet arrivera d’ici quelques mois, il concentre et cristallise de nombreuses évolutions à venir dans nos rapports au contexte, à l’environnement, aux autres. Il crée également de nouveaux risques qu’il faudra comprendre, débattre et limiter pour profiter des avantages dans de nombreux domaines, ceux des mobilités et des chaînes logistiques. Ces lunettes rendent visible, à double titre, la façon dont des entreprises comme Google, Facebook ou Amazon, voient le monde qui vient. Futur Smartphone ? En pratique, les lunettes apporteront plusieurs niveaux d’informations, de liens en temps réel : Puis de nouvelles connaissances seront proposées : le futur, le temps d’après.

Metropolis : peut-on échapper au scénario du pire ? - Union europeenne travail emploi europe. En 2050, neuf Européens sur dix vivront en ville. Ils étaient sept en 2010. Développement économique, attractivité, saturation, paupérisation ou encore vieillissement. Une carte vaut parfois mieux qu'un long discours pour imaginer l'Europe de demain. Des géographes et économistes européens proposent une prospective étonnante sur les phénomènes métropolitains en Europe dans le cadre du programme européen ESPON. En attendant la mouture complète « sur l'avenir territorial de l'Europe en 2050 » d'ici 2014, cela vaut la peine de s'attarder sur le rapport d'étape d'ET2050, publié le 19 novembre dernier et surtout de revenir sur le tout premier rapport ESPON 3.2 scenario pour 2030, publié en mai 2007.

Après la grande récession, dans une Europe vieillissante, l'ossature urbaine se transforme. « Les structures spatiales et les évolutions économiques et sociales sont intimement liées » expliquent Andreu Ulied et Oriol Biosca de l'équipe de coordination ESPON. Polis Coûts sociaux élevés Lire aussi. Minority Report, c’est pour demain.

La peur du terrorisme a poussé l'Union Européenne à miser à fond sur les nouvelles technologies. Depuis quelques années, les chercheurs financés par Bruxelles essaient de détecter les "comportements suspects" des individus via les réseaux de caméras de surveillance. Depuis quatre ans, les projets européens de recherche en matière de reconnaissance des comportements “suspects“ se multiplient. Parmi la centaine de projets du volet sécurité du FP7, le programme de recherche et développement de la Commission européenne, une demi-douzaine sortis tout droit d’un bouquin de science-fiction sont destinés à développer des technologies permettant de repérer un “comportement anormal“.

Tout ceci se chiffre en dizaines de millions d’euros. Ce concept de vidéosurveillance intelligente (VSI), qui rencontre un certain succès en France, a un seul objectif : prévenir les crimes et les attentats. Plan le plus connu, le projet INDECT. Un « répertoire » de comportements suspects “L’effet Big Brother” 03/09 > BE Etats-Unis 281 > Villes du futur : on réfléchit maintenant pour construire demain. Vers la révolution coopérative - Gouvernance. « L’énergie va devenir gratuite, comme l’est déjà l’information » XEnvoyer cet article par e-mail « L’énergie va devenir gratuite, comme l’est déjà l’information » Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ?

Classez le dans vos favoris en cliquant sur l’étoile. Fermer Jeremy Rifkin Le prospectiviste américain explore la probabilité d’une troisième révolution industrielle Heureux comme un poisson dans l’air ! Car, ce que décrit le prospectiviste américain repose sur une vraie dynamique économique, de la puissance de celles qui ont alimenté les deux précédentes révolutions, celle de la vapeur, puis du moteur à explosion. “Tout changement d’ère économique est marqué par l’apparition d’un nouveau régime énergétique. Il n’y a aucune perspective, dans ces conditions, de vrai retour de la croissance. Les symptômes du déclin inéluctable Juillet 2008 représente une balise historique pour comprendre ce qui est en train de se produire. Mais le pic pétrolier par tête remonte à 1979. Les générations actuelles ne voient déjà plus la réalité de cette manière. Le projet OPEN SOURCE ENERGY : l’énergie ouverte et collaborative | trackofthepast.

English version : « D’un geste machinal, il jette un coup d’œil au module de contrôle. La charge est bonne et les voyants sont au vert, parfait pour passer une bonne nuit en sachant que demain matin, il y aura du courant pour faire chauffer la cafetière, griller les toasts et surtout pour la grande fiesta du soir. Il est vrai que ce vent d’ouest bien établi et la quantité d’eau qui est tombé hier soir ont permis de regonfler la réserve d’énergie. » Nous ne sommes pas dans un roman de science fiction mais face à ce qui pourrait devenir dans un avenir proche le quotidien de monsieur tout le monde.

Notre personnage aurait pu se laisser séduire par une solution clé en main amortissable sur des décennies sans garantie de rentrer un jour dans ses frais ; le tout assorti d’un contrat de maintenance exclusif. L’énergie ouverte qu’est ce que c’est ? L’idée est simple. Nourri par les idées développées par Jeremy Rifkin (Jeremy Rifkin. L'ouvrier du futur, ce superhéros. Etre doté d'une force surhumaine, résister à de très fortes radiations, s'autoréparer et... voler à la vitesse du son. Qui n'a pas pâli de jalousie devant l'armure d'Iron Man ? Si la carapace du superhéros de la maison d'édition Marvel reste du domaine de la science-fiction, des chercheurs réfléchissent actuellement à des technologies inspirées de ce personnage.

But du jeu : équiper les ouvriers de ces équipements futuristes dans les vingt prochaines années. Les laboratoires de recherche et les industriels, qui planchent sur ces armures de demain, espèrent améliorer la sécurité des opérateurs, leurs conditions de travail et réduire leur exposition aux maladies professionnelles. Et si une combinaison protégeait à la fois du bruit, de la chaleur, de l'eau, des produits chimiques, des radiations... tout en étant aussi légère et confortable qu'une tenue en coton ?

Mon bras est un robot ! Les sonorités RB3D vous rappellent vaguement quelque chose ? Ce n'est pas tout. Son principe ? Quand savoir coder devient tendance. Cette rentrée scolaire 2012-2013 a vu l’arrivée d’une nouvelle matière dans les lycées français : l’informatique. Il n’est plus question ici d’apprendre à faire un copier-coller ou à ouvrir un navigateur, mais plutôt d’apprendre aux élèves le langage informatique. Compétence de plus en plus recherchée, la maîtrise de l’informatique « pure et dure » revient sur le devant la scène. Souvenez-vous, nous vous parlions en janvier dernier du maire de New York qui avait décidé d’apprendre à « coder ».

Dans le même esprit, la France a décidé d’instaurer dès le début du mois de septembre une nouvelle matière dans les programmes scolaires des Terminales S : « Informatique et Sciences du Numérique » (ISN). Cette volonté d’enseigner l’informatique dans des cursus généraux reste embryonnaire dans l’Hexagone, comparée à l’Estonie où les écoliers ne goûtent pas aux joies du code au lycée mais dès l’âge de 6 ans, et ce jusqu’à la fin de leur scolarité, comme le rapporte VentureBeat.

Images : Le peer-to-peer, clé de voûte pour les économies futures ? « Ce ne sera pas une conférence sur comment devenir riche avec des startup ? , » souriait Michel Bauwens au début du séminaire W2S à la Cantine de vendredi 16 décembre. Les deux heures et demi de présentation et de discussion qui ont suivi, ayant pour thème « From Collaborative Prosumer Capitalism to a Commons-based P2P Economy », ont pourtant mis en avant la possibilité d’un véritable modèle économique alternatif basé sur le peer-to-peer (P2P).

Loin d’être une utopie pour un futur lointain, il s’infiltre toujours plus dans nos pratiques quotidiennes et pourrait constituer la clé de la durabilité à moyen et long terme de nos économies et de nos sociétés. Les évolutions de la coopération Pour Michel Bauwens, le Peer-to-Peer est loin d’être exclusivement ancré dans l’immatériel et le virtuel. On compte aujourd’hui des milliers d’exemples de plateformes P2P, basées sur l’échange de connaissances, de code et de design. Pour un dépassement du « capitalisme netarchique » Conclusions.

La ré-industrialisation ou le retour de l’âge du « faire » Par Sarah Guillou et Lionel Nesta « Faire ou faire faire ? » pourrait bien être la nouvelle question existentielle des anciennes puissances industrielles. De David Cameron à François Hollande, les appels à la ré-industrialisation expriment l’inquiétude causée par les pertes d’emplois industriels, comme chez PSA, mais également l’angoisse de la disparition de nos savoir-faire dans la fabrication elle-même. Les Etats-Unis ne sont pas en reste et s’inquiètent également de leur devenir industriel devant la désolation que manifestent certains territoires, comme par exemple l’Etat du Michigan ( New York Times, August 24 2011, Does America need Manufacturing ? Les experts alimentent le désarroi, tels Patrick Artus et Marie-Paule Virard qui questionnent ce que serait « La France sans ses usines » (Edition Fayard, 2011), ou Dani Rodrick qui vante les mérites de l’industrie manufacturière (The Manufacturing Imperative – Dani Rodrik – Project Syndicate ).

L’avenir de l’industrie est-il dans l’open source. Les signaux s’accumulent. L’industrie « traditionnelle » serait de plus en plus tentée par l’open source. C’était déjà le cas dans l’électronique, avec notamment la carte Arduino. La santé et l’automobile y trouveraient aussi aujourd’hui un relais d’innovation crédible, voir incontournable. Un article de The Economist intitulé « When code can kill or cure » (dans le cahier spécial technologie du N° du 2 juin 2012) explique qu’utiliser un modèle « open source » à la conception des équipements médicaux promet d’accroître la sécurité et l’innovation.

Basés aujourd’hui sur des systèmes ultra-propriétaires, les équipements médicaux, défibrillateurs, pompes à insulines sont parfois soumis à des défaillances bien plus graves qu’un simple plantage d’ordinateur. Les fabricants n’ont pas accès aux meilleures des techniques pour les sécuriser, avance l’article. L’automobile aussi s’y met. Les secondes vies des objets : les pratiques d'acquisition et de délaissement des produits de... « Bientôt on écrira la loi sur internet »