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Coopérations

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Technologies et coopération. Internet ne nous rend pas seul, soulignions-nous dernièrement.

Technologies et coopération

Mais en quoi nous aide-t-il à coopérer entre nous ? Dans son nouveau livre, Ensemble : les plaisirs rituels et la politique de la coopération (Amazon, extraits), le sociologue Richard Sennett, enseignant à la l’école d’économie de Londres et à l’université de New York, s’est intéressé à la coopération.

Pour comprendre pourquoi elle se produit – et parfois, pourquoi elle ne se produit pas. Après Craftman (L’artisan, traduit en français sous le titre Ce que sait la main : La culture de l’artisanat), qui s’intéressait à l’impulsion innée que nous avons à bien faire les choses, ce livre est le second d’une trilogie (baptisée homo faber) sur les compétences dont les humains ont besoin pour une coexistence heureuse (le suivant, annoncé, portera sur les villes).

La valeur de la coopération réside dans l’informel. CCA Actions Exhibition. La petite révolution de l’intelligence collective. Plus ludique que l'intelligence artificielle, l'intelligence collective, soit la mise en relation via le net d'une grande quantité de cerveaux humains, vient de réaliser quelques prouesses.

La petite révolution de l’intelligence collective

Telle l'identification de centaines de cratères lunaires pour la NASA ou la mise en évidence d'une enzyme du VIH. À l'origine de ces nouveaux modes de recherche : le nombre d'heures hebdomadaires que nous passons, sur Terre, à jouer en ligne. Trois milliards d'heures par semaine. Le jeu est un élément important de notre société et nombreux sont ceux qui voient l’évolution vers l’homo ludens (homme qui joue) comme sa caractéristique majeure.