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18 - Et demain ?

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L’université de Cambridge ouvre un centre pour étudier la menace des robots. Plusieurs universitaires ont ouvert à l’université de Cambridge en Grande-Bretagne, un centre spécialisé dans l’étude d’un « risque existentiel ». Ils devront réfléchir à l’éventualité qu’un jour les machines puissent se révolter contre leurs créateurs. À la vitesse à laquelle vont nos avancées en matière de technologie, il est normal de se demander quand la limite entre réalité et science-fiction aura été franchie. C’est pourquoi un collectif d’universitaires a décidé d’ouvrir un centre scientifique à l’université de Cambridge afin d’étudier la menace d’une révolution des intelligences artificielles. Le CSER, centre d’étude du risque existentiel, a été fondé par l’astrophysicien Lord Martin Rees, le philosophe Bertrand Russel ainsi que l’ingénieur Jaan Tallinn, qui a notamment participé au développement de Skype et Kazaa.

Ce centre d’étude des « Terminators » comme il a été surnommé, compte forcément évoquer la possibilité que l’homme soit un jour dominé par ses créations. Envisioning Technology 2012. What is the visualization? Understanding where technology is heading is more than guesswork. Looking at emerging trends and research, one can predict and draw conclusions about how the technological sphere is developing, and which technologies should become mainstream in the coming years.

Envisioning technology is meant to facilitate these observations by taking a step back and seeing the wider context. By speculating about what lies beyond the horizon we can make better decisions of what to create today. Who made this? Envisioning Technology is a technological trend forecasting firm headed by emerging technology strategist Michell Zappa. If you have any ideas, questions, complaints or suggestions, feel free to email us: mz@envisioningtech.com Technologies mentioned Follow the project This is the first in a series of projects related to the future of technology. License & credits. MétaNote TdF 10 : Le téléphone ou assistant personnel de mobilité. De nombreux articles ont été rédigés sur le sujet du téléphone portable dans les transports et la mobilité (voir ici pour ce blog). Des applications dédiées sont disponibles, d'autres se développent, réalisant progressivement un puissant assistant personnel de mobilité.

Quel rôle va jouer ce nouvel objet ? Quelles capacités ce nouvel assistant personnel de mobilité va nous permettre de développer ? Est ce vraiment indispensable ? Depuis la première peau, le premier lanceur, ou le premier silex, la recherche et la création d’outils est une activité structurante des sociétés humaines. Aujourd’hui, l’automobile peut être considérée, pour certains, comme notre prolongement, pouvant conduire aux pires des comportements. Mais la complexité de nos vies va continuer de s’accroître. Notre robot personnel nomade, le téléphone portable, véritable concentrateur de solutions, gèrera cette complexité.

Les lunettes Google traduisent une évolution millénaire, présentent de nombreux intérêts dans la mobilité et la consommation, et posent de nombreuses questions … philosophiques. La rumeur se confirme (déjà abordé dans 2 précédents articles: ici et là). Google devrait commercialiser fin 2012 des lunettes intégrant les principales fonctionnalités d’un smartphone : téléphone, connexion web, GPS, mémoire, appareil photo, avec une projection des informations sur les verres. Cet objet arrivera d’ici quelques mois, il concentre et cristallise de nombreuses évolutions à venir dans nos rapports au contexte, à l’environnement, aux autres. Il crée également de nouveaux risques qu’il faudra comprendre, débattre et limiter pour profiter des avantages dans de nombreux domaines, ceux des mobilités et des chaînes logistiques. Ces lunettes rendent visible, à double titre, la façon dont des entreprises comme Google, Facebook ou Amazon, voient le monde qui vient.

Futur Smartphone ? En pratique, les lunettes apporteront plusieurs niveaux d’informations, de liens en temps réel : Puis de nouvelles connaissances seront proposées : le futur, le temps d’après. INTERNET • La démocratie liquide, ça vous dit ? La plupart des partis Pirates européens l’ont adopté, le mouvement populaire du comique italien Beppe Grillo songe à s’y mettre : le logiciel libre LiquidFeedback permet aux organisations de prendre toutes les décisions par référendum ou par vote. Démocratie directe ? Mieux : «démocratie liquide». Explications. Beppe Grillo [leader du nouveau parti politique Mouvement 5 étoiles] face à la démocratie liquide. Que ce soit via les forums, commentaires, blogs, tweets et autres messages, le débat sur les processus de sélection des candidats au sein du Mouvement 5 étoiles (M5S) agite les fidèles de Beppe Grillo depuis un certain temps.

Le mouvement a faim de démocratie directe et tous les sympathisants veulent faire entendre leur voix. L’instrument idéal pourrait être LiquidFeedback, un logiciel libre disponible sur Internet qui permet aux membres d’une association de prendre part aux processus décisionnels. Mais comment fonctionne LiquidFeedback ? La dictature des actifs Marta Serafini. Faire la loi, ensemble. A TED Global en juin 2012 (vidéo), Clay Shirky (@cshirky), faisait une stimulante présentation sur ce que la programmation open source pouvait enseigner à la démocratie. Clay Shirky y rappelle d'abord la valeur de la contribution, comme il l'a fait dans ses deux livres.

Il prend pour exemple le blog de la jeune Écossaise Martha Payne qui documentait chaque jour d'une photo et de quelques commentaires ce qu'elle mangeait à l'école... Jusqu'à ce que son professeur lui demande d'arrêter... et que le tollé de cette censure fit reculer l'école et la municipalité. Si la mise en circulation d'une foultitude d'idées par les technologies de diffusion transforme la société, estime Shirky, plus il y a de débats, de passions... plus elles ont tendance à générer des tensions qu'autre chose, comme ce fut le cas entre Martha et son école.

La promesse de la coopération sans coordination Image : Le graphe de la communauté Ruby à travers le monde par Franck Cuny. Comment ? Ouvrir la fabrique des lois ? Microsoft vous permettra de parler japonais sans effort. Vidéo : Microsoft vous permettra de parler japonais sans effort Voilà qui devrait faciliter encore la mondialisation, tout en respectant les langues de chacun. Microsoft travaille sur une solution qui permet de traduire vocalement ce que dit une personne, en utilisant sa propre voix plutôt que celle d'une synthèse vocale traditionnelle.

Il arrive encore que la technologie nous épate. L’an dernier, nous avions déjà été impressionnés par le Conversation Mode de l’application de traduction de Google sous Android, qui permet à l’utilisateur de parler dans sa langue et de faire écouter une traduction à son interlocuteur étranger. Mais Microsoft a placé la barre encore plus haut, dans un projet de recherche dévoilé lors du TechFest 2012 la semaine dernière.

Pour ce faire, des algorithmes découpent la synthèse vocale en de très nombreux morceaux de 5 millisecondes chacun, et les fait correspondre au modèle type d’une voix dans la langue cible.