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Protection des données personnels

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Londres : des poubelles connectées récoltaient des données à l'insu des passants. NSA : la justice américaine renouvelle le droit de collecte des métadonnées. Le gouvernement américain a obtenu le renouvellement de la permission de collecte des métadonnées, alors qu'elle expirait vendredi. Une information confirmée par le bureau du chef du renseignement américain. Il semblerait que les services de renseignement américain souhaitent faire preuve de plus de transparence concernant leurs pratiques de surveillance, depuis les révélations de The Guardian du 7 juin dernier.

Le FISC (Foreign Intelligence Surveillance Court), autorité compétente en matière de renseignement, vient d'accorder au gouvernement américain le renouvellement de la permission de collecter en vrac les métadonnées, relate ComputerWorld. Celle-ci expirait vendredi 26 juillet. Si l'information a été rendue publique, c'est parce que le sujet fait l'objet « d'un intérêt continu et significatif du public », explique-t-il. La collecte des métadonnées portant sur les appels téléphoniques avait été révélée peu avant l'éclatement du scandale Prism.

Données personnelles : 6,5% des californiens exposés à des failles en 2012. Les députés américains refusent de limiter l'espionnage de la NSA. Un amendement républicain visant à interdire la collecte de métadonnées téléphoniques par la NSA a profondément divisé les élus américains de la Chambre des représentants. D'une courte majorité, le texte a été rejeté. Pour la première fois depuis les révélations d'Edward Snowden concernant les pratiques de la NSA, un texte visant à encadrer les attributions de l'autorité de surveillance américaine a été discuté et soumis au vote à la Chambre des Représentants.

Il s'agit de la chambre basse du Congrès américain, l'équivalent de notre Assemblée nationale. L'amendement (.pdf) a été déposé par Justin Amash, un jeune élu républicain du Michigan. Le sujet, très polémique, a profondément divisé le camp démocrate comme les républicains. La proposition a finalement été rejetée d'une courte majorité, à 217 voix contre 205 (détail des votes ici). L'administration Obama, qui appelait à voter contre le texte, a obtenu gain de cause dans la douleur. XKeyscore, le plus vaste programme de surveillance de la NSA (màj) La NSA a violé la loi pour collecter des données personnelles.

En à peine un an, la NSA a outrepassé ses droits plusieurs milliers de fois, surveillant des citoyens américains et étrangers sans l'aval des autorités. Pour couronner le tout, ces incidents ne sont par la suite pas détaillés aux organes chargés de superviser l'action de l'agence. Depuis plus de deux mois, la NSA, l'agence américaine de renseignement, martèle à tout va que ses programmes de surveillance protègent les citoyens américains de menaces terroristes. Et de rappeler que ces derniers ne sont pas visés. Pourtant, selon les dernières révélations publiées par le Washington Post, ce ne serait pas exactement le cas. Au total, le rapport fait état de 2 776 cas entre mai 2011 et mai 2012. Il reste cependant difficile d'évaluer le nombre de citoyens concernés par ces incidents. Parmi les incidents marquants, le Washington Post mentionne notamment le placement sous surveillance téléphonique de milliers de citoyens américains en 2008.

À lire également : Données personnelles : un site Web sur cinq n'informe pas les internautes. La « protection des données » pour tuer le commerce. Dans le cadre de l’inépuisable série d’initiatives de l’UE « On trouvera toujours quelque chose pour vous pourrir la vie, casser l’économie et détruire des emplois », voici les projets de règlement et de directive dits « de protection des données », visant à imposer aux entreprises un système uniforme dans toute l’UE. Les deux projets sont en discussion au Parlement européen, au niveau des commissions. Pas moins de 3.999 amendements ont été déposés, ce qui est historique et montre qu’il y a comme un problème. Ou plutôt de nombreux problèmes. Et comme s’il n’y en avait pas assez, on en rajoute. Ainsi, le rapporteur du projet de règlement a-t-il modifié du tout au tout une disposition initiale.

La Commission proposait que soient dispensés du (très lourd et coûteux) dispositif les entreprises de moins de 250 salariés. Il est de plus en plus urgent de sortir de cette Europe-là. Données collectées : la Cnil lance un audit sur la transparence de 250 "grands sites" Confidentialité : la Cnil et 5 autres autorités lancent une action répressive contre Google. Google : vers un programme de protection des données personnelles ? Les Cnil d’Europe pourraient vouloir sanctionner lourdement Google.

La menace émanant des organismes de protection de la vie privée se fait plus précise. Réunies au sein du G29, ces autorités menaceraient Google de lui infliger une lourde amende, calculée sur le nombre d'utilisateurs. Elles souhaiteraient ainsi obliger le groupe à modifier les paramètres de confidentialité de l'ensemble de ses services. Le G29, le groupement rassemblant les Cnil d'Europe menacerait Google de lui infliger une lourde sanction. Ce collectif d'autorités reproche au groupe son manque de transparence dans l'utilisation des données personnelles de ses utilisateurs. Depuis la fusion des services de la firme, le G29 considère en effet qu'elle ne définit pas clairement la destination de ces informations, ne donne pas de précisions quant à leur durée de conservation, combine de manière illimitée au croisement des données...

Si elles peuvent effectivement sanctionner, ces autorités n'ont qu'un pouvoir restreint. Données personnelles : le Parlement européen veut de lourdes sanctions. Le Parlement européen a voté lundi soir a une large majorité le règlement sur les données personnelles. Un texte qui entend renforcer les droits des citoyens, mais qui se heurte à un intense lobbying des entreprises et qui n'a pas fini d'être discuté. Lundi soir, le Parlement européen, par le biais de la Commission des libertés civiles, justice et affaires intérieures, a voté le projet de règlement sur les données personnelles.

Les enjeux sont d'importance : moderniser la législation européenne en la matière, qui ne repose pour le moment que sur la directive de 1995, qui n'a été que légèrement modifiée depuis. Mais surtout, ce vote intervenait en plein scandale PRISM, le jour même des révélations du Monde concernant l'espionnage massif de la France par la NSA. Le texte a été adopté par la Commission à la quasi-unanimité (49 voix pour, une voix contre). Le projet soumis au vote des élus communautaires vise à mieux protéger les citoyens européens en matière de données personnelles.

Confidentialité : l'Europe au stade des sanctions contre Google. Protection des données: l'Europe s'engage dans la répression face à Google. PARIS (AFP) - Les 27 autorités européennes de protection des données ont annoncé lundi engager une "action répressive" à l'encontre du géant Google, qui n'a "pas répondu" à leur injonction de modifier ses règles de confidentialité, jugées peu claires et incomplètes pour l'utilisateur.

Google a immédiatement répliqué en réaffirmant que ses règles en vigueur "respectaient la loi européenne". Depuis mars 2012, le groupe applique une nouvelle politique de confidentialité qui fusionne une soixantaine de règles d'utilisation en une seule, regroupant les informations de plusieurs services autrefois séparés, comme la messagerie Gmail ou le réseau communautaire Google+. En octobre, après de longs mois d'analyses et d'échanges avec Google, les 27 autorités européennes de protection des données lui avaient demandé "une information plus claire et plus complète sur les données collectées", et surtout leur "finalité", arguant de "la non-maîtrise de l'utilisateur" en la matière. Sanctions pécuniaires. Protection de la vie privée : Google utilise-t-il vos données personnelles ? - High tech / Sciences. Entre Google et la Cnil (Commission nationale informatique et libertés), la guerre est déclarée. Le géant américain a finalement lancé hier sa nouvelle politique de confidentialité malgré les mises en garde de la Cnil qui exigeait un report.

Concrètement, il s'agit du regroupement de 60 règles déjà existantes pour simplifier les conditions d'utilisation. Officiellement, l'objectif de Google est de faciliter la tâche à ses utilisateurs en clarifiant les interminables pages des conditions d'utilisation. Dans les faits, ce regroupement d'informations permet à Google d'avoir une vision plus globale de ses utilisateurs et d'en savoir davantage sur eux. Ainsi, des informations comme des coordonnées de géolocalisation, l'historique des recherches ou des discussions en ligne, constitueront la base de donnée.

Le système européen de protection des données arrivera en 2016. La taxation de la collecte des données personnelles sera étudiée. Synerway jette un pavé dans la mare de la protection des données pour TPE/PME | Sécurité. L’éditeur français, spécialiste de la protection des données des entreprises, ouvre une brèche dans le marché naissant du Plan de Reprise d’Activité pour les petits sites. Après un incident majeur, il est vital pour toute entreprise de redémarrer son activité informatique le plus rapidement possible.

Or, si les grandes entreprises ont des plans de reprise d’activité bien formatés et souvent onéreux, ce n’est pas le cas des petites structures. Fort de son expérience auprès des grands comptes, Synerway attaque désormais ce segment de marché avec sa Baby Appliance et sa fonctionnalité de « PRA en 1 clic ». « C’est une solution que nous avons déjà déployée par milliers d’exemplaires chez nos clients grands comptes et que nous intégrons maintenant dans une Appliance d’un format nouveau, appelée Baby Appliance et qui constitue la nouvelle entrée de gamme des Appliances Synerway. Pour ce marché, Synerway a développé une interface simplifiée pour l’utilisateur final. Internet: La protection de l'e-réputation, un marché en pleine expansion - News High-Tech: Web.

Internet Être calomnié ou insulté sur la Toile est de plus en plus courant. Ces attaques virtuelles laissent souvent les victimes démunies, mais la défense s'organise. Des sociétés spécialisées dans la protection de l'e-réputation fleurissent en Suisse. La diffamation sur les réseaux sociaux est de plus en plus courante.Image: Keystone Liens Partager & Commenter Votre email a été envoyé. Taper son nom dans un moteur de recherches et se retrouver associé aux mots «escroc» ou «pute» est une mésaventure qui arrive régulièrement à des internautes ou même à des sociétés. Même s'il est toujours compliqué de protéger sa réputation sur la Toile, il existe en Suisse un arsenal juridique en la matière qui, lui, n'a rien de virtuel.

«Les grandes plateformes ont une politique claire en la matière. Les lacunes du droit suisse Là où les choses se compliquent, c'est lorsque le serveur est à l'étranger. La mémoire perpétuelle d'internet pose un troisième problème. Un nouveau marché L'envers de la médaille. Le salarié ne peut s'accaparer un disque dur à titre personnel.

Au travail, le nom donné au disque dur de l'ordinateur professionnel ne peut conférer un caractère personnel à l'intégralité des fichiers qu'il contient. Selon un Arrêt de rejet de la Chambre sociale de la Cour de cassation rendu le 04/07/2012, en principe, les fichiers créés par le salarié à l'aide de l'outil informatique mis à sa disposition par l'employeur pour les besoins de son travail sont présumés avoir un caractère professionnel, de sorte que l'employeur est en droit de les ouvrir à tout moment et en dehors de la présence du salarié, sauf s'ils sont identifiés comme étant des fichiers personnels. La Cour de cassation considère que la dénomination donnée au disque dur lui-même "données personnelles", ne peut pas conférer un caractère personnel à l'intégralité des données qu'il contient.

L'employeur est donc fondé à consulter le contenu de tout disque dur de l'ordinateur professionnel, quel que soit sa dénomination. Analyse de la décision disponible sur abonnement M. . © 2012 Net-iris. Les données personnelles et la protection de la vie privée à l'heure des nouvelles technologies | Net-iris. Introduction Si la notion de données personnelles d'un individu englobe une quantité non-négligeable et importante d'informations plus ou moins nominatives (nom, prénom, âge, sexe, lieu de résidence, loisirs préférés, pseudo, n°client, etc.), force est de constater que bon nombre de personnes ignorent précisément de quoi il s'agit, mais aussi par qui et dans quel but des fichiers sont créés.

S'il est aisé d'imaginer que nous sommes tous fichés par l'Etat et les organismes qui lui sont rattachés (sécurité sociale, fisc, police à travers la carte nationale d'identité, la préfecture lors de l'établissement de la carte grise, le Pôle emploi, le médecin, etc.), par son employeur, par des associations indépendantes (club de sport, association à laquelle on fait un don, forum de discussion ou chat, etc.) ou encore par des sociétés commerciales (banque, assureurs, téléphonie, fichiers clients des commerces, etc.), on imagine moins être fichés par des sociétés que l'on ne connaît pas.

Dataprotcompil_fr. UE : une loi pour encadrer la collecte de données personnelles. Lors d’une conférence de presse donnée à Munich, en Allemagne, la commissaire européenne à la Justice Viviane Reding a présenté ses propositions pour une loi visant à protéger les données des membres de l’Union européenne sur Internet. Mme Reding souhaite présenter, dans les jours à venir, « une loi qui s’appliquera à tous les États de l’Union Européenne, à toutes les entreprises [...] même si leurs serveurs sont basés en dehors de l’UE ». Un consentement « clair » des utilisateurs Ainsi, cette loi obligerait les entreprises à obtenir le consentement en des termes « clairs » des utilisateurs pour recueillir leurs données.

Il s’agira également de préciser comment elles seront stockées, combien de temps et dans quel but. Des responsables du respect des données personnelles devront être engagés par les entreprises éditant des sites Internet. Il est également question d’un droit à l’oubli, qui permettrait de « retirer le consentement donné » concernant ces données personnelles.