A l'Association, le monde de la BD déchiré. L’Association, la maison d’édition de bande dessinée françaises la plus innovante de ces vingt dernières années, traverse la plus grave crise de son histoire, à tel point qu’elle pourrait ne pas s’en relever. Le patron actuel, Jean-Christophe Menu, s’oppose aux fondateurs historiques comme Lewis Trondheim. En cause, grève des salariés, conflits de personnes et ligne éditoriale à réinventer. Une vraie «bouillabaisse».
«–Tu es illégitime. –Non c’est toi qui es illégitime! –Tu es un prête-nom! –Vous êtes tous des cons. –Du spectacle! –Je ne suis pas humain.» Pendant plusieurs heures, les invectives et les noms d’oiseaux volent entre certains des auteurs et des éditeurs les plus connus du petit monde de la BD française.
Il est 11 heures passées, l’Assemblée générale de la maison d’édition l’Association commence à peine. Patricia Perdrizet, la présidente de l’Association, est sur l’estrade. Il monte sur l’estrade. Aucune réponse dans la salle. (Dessin Mathieu Sapin) L’incriminé prend le micro. Avec les gitans du Rajasthan - A la recherche des sons perdus - Blog LeMonde.fr. Pour commencer la semaine et oublier le bureau pour ceux qui y sont, un clip qui te fait voyager.
Raphaël Treza, producteur français, est parti en Inde dans le but de rencontrer des gitans et d'apprendre à jouer des kartals, des castagnettes indiennes supersoniques. "Ces quatre planchettes de bois jouées par les gitans du Rajasthan sont les percussions les plus rapides que j'ai entendu. Au point que ça peut ressembler au bruits des grillons", raconte-t-il. Pour embellir l'affaire, il décide de filmer sa quête en continu. Le résultat est de très haute qualité, envoûtant et beau. Treza - Night Ghat Soundcloud – myspace Le contrat de confiance, façon Darty : parler de tous les styles de musiques – passés, présents et même futurs – qui existent plus ou moins discrètement en ligne. Cette entrée a été publiée dans musiques du monde, treza. Magazine féminin - Causette - Le mag. Ah ça, pour picoler, y a du monde ! À la mi-mars, j’apprenais à la télé 1 et avec effroi qu’il y aurait, en France, pas moins de 600 000 femmes ayant un problème avec l’alcool.
Et que ça ne serait pas en train de s’arranger, vu que la consommation des femmes de moins de 25 ans a augmenté de 20 % ces cinq dernières années. Les hommes, qui se traînent une sacrée réputation d’alcooliques, auraient eux tendance à lever le pied sur la bibine. Que se passe-t-il ? Il y a toutes sortes de raisons qui peuvent nous pousser à lever le coude de plus en plus tôt et de plus en plus haut, et je ne suis pas sûre que le goût pour la fête arrive en tête de liste… C’est vrai que l’air du temps donne plutôt envie d’oublier, et de s’oublier un peu au passage. Se détendre et rigoler bêtement, ça soulage, non ? Causette. Voir les articles du numéro. L'actu culturelle en continu.