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Vichy et "la France"

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Vel d’Hiv : tous vichystes, tous collabos ? « Mes biens chers Frères, Des scènes douloureuses et parfois horribles se déroulent en France, sans que la France en soit responsable.

Vel d’Hiv : tous vichystes, tous collabos ?

A Paris, par dizaines de milliers, des Juifs ont été traités avec la plus barbare sauvagerie. Et voici que dans nos régions on assiste à un spectacle navrant ; des familles sont disloquées ; des hommes et des femmes sont traités comme un vil troupeau, et envoyés vers une destination inconnue, avec la perspective des plus graves dangers. Je fais entendre la protestation indignée de la conscience chrétienne et je proclame que tous les hommes, aryens ou non aryens, sont frères parce que créés par le même Dieu ; que les hommes, quelle que soit leur race ou leur religion, ont droit au respect des individus et des Etats. Réaction de Jean Charbonnel aux propos de François Hollande : Convention des gaullistes sociaux pour la Ve République. "J'ai pris connaissance avec indignation des déclarations de M.

Réaction de Jean Charbonnel aux propos de François Hollande : Convention des gaullistes sociaux pour la Ve République

Hollande, président de la République, relatives à la rafle des Juifs de Paris et de la banlieue, les 16 et 17 juillet 1942, suivie par leur enfermement au Vel'd'Hiv'. Dangereuse légalisation du régime de Vichy. A la suite des déclarations récentes du chef de l’État François Hollande et des réactions qu’elles ont entrainées, il nous a paru utile de republier ci dessous l’article de Anne-Cécile Robert, Vice-Présidente de l’Association et paru le lundi 25 septembre 2006 sur le site www.le-groupe-republique.fr .

Dangereuse légalisation du régime de Vichy

Cette continuité mérite analyse. L'affaire Papon, la République et l'État. Notes En réalité, la Cour de cassation a déchu Monsieur Papon de son pourvoi en cassation, faute, pour lui, de s’être conformé à la procédure de mise en l’état. Cette somme se décompose en frais exposés par les victimes et les associations qui se sont engagées contre M. Papon, et en dommages et intérêts. Elle correspond à 4 720 000 F. Elles ont été publiées à la Revue française de droit administratif, 2002, p. 582 et aux Petites affiches, n° 106 de 2002. La France a besoin d’une conscience claire de son Histoire si elle veut la poursuivre. Rafle du Vel d’Hiv : la France coupable, forcément coupable ! En déclarant que la rafle dite du Vel d’Hiv du 17 juillet 1942 était « un crime commis en France par la France », François Hollande a choisi la continuité avec la position formulée à ce sujet par Jacques Chirac en 1995, et la rupture avec celle de François Mitterrand et Charles De Gaulle.

Ces derniers considéraient en effet que le régime de Vichy constituait une parenthèse tragique de l’Histoire de France, et qu’en aucun cas la Nation, et a fortiori la République, ne pouvaient être tenus pour responsables des crimes commis contre les Juifs par ses dirigeants et ses fonctionnaires. Pour donner encore plus de poids à cette prise de position, François Hollande a rendu une visite, largement médiatisée, à Jacques Chirac en son château de Bity, en Corrèze, la veille de ce discours très attendu. Cette petite différence, peu remarquée dans les comptes-rendus des cérémonies du 22 juillet 2012, est pourtant problématique. Article en accès libre.

Pour lire tous nos articles, abonnez-vous ! Vél d’Hiv : François Hollande se démarque de François Mitterrand et rend hommage à Jacques Chirac. DISCOURS - Lors d’une cérémonie organisée à Paris dimanche 22 juillet pour le 70e anniversaire de la rafle, François Hollande a reconnu à nouveau le rôle de l’État Français dans la rafle du Vél d’Hiv.

Vél d’Hiv : François Hollande se démarque de François Mitterrand et rend hommage à Jacques Chirac

"Un crime commis en France par la France", a-t-il dit. Le président se démarque donc de François Mitterrand qui avait, lui, refusé toute "repentance" et rend ainsi hommage à Jacques Chirac, premier à avoir reconnu la responsabilité de la France dans la rafle du Vélodrome d’Hiver. Nicolas Sarkozy s'était rendu au mémorial de la Shoah lors du 65ème anniversaire mais n'avait pas fait de discours. Le Lab vous propose de lire et d’entendre les propos exacts des quatre derniers présidents. Choisis ta France, camarade ! Au Vel d'Hiv, François Hollande révise l'Histoire. Depuis 1995, chaque président de la République s’évertue, à peine élu, à défaire ce que nos institutions ont reçu de leur fondateur. 1995 n’est pas une année anodine : c’est celle de l’accession de Jacques Chirac à l’Elysée.

Par un étrange paradoxe, ce fut l’ancien chef du parti « gaulliste » qui porta très certainement les coups les plus rudes à l’héritage du général de Gaulle. [pullquote_left]Chirac porta les coups les plus rudes à l’héritage du Général de Gaulle[/pullquote_left]Du discours du Vel d’Hiv en juillet 1995 jusqu’à l’adoption du quinquennat en 2000, Chirac fit tout son possible pour en finir avec la conception gaullienne de l’Etat et de la France. Il le fit au-delà de toute espérance, puisqu’il se paya le luxe de même abolir ce qu’il restait de morale publique dans le pays… La France est une idée Nous pétons plus haut que notre cul ? C’est l’intuition fondamentale du gaullisme : la France n’est pas un pays, elle est une idée. Hollande se contredit sur la rafle du Vél'd'Hiv. ...et semble mettre à égalité la France Libre et une « France » confondue avec le régime de Vichy ! Il semblerait pourtant normal de parler avec exactitude, sur un sujet aussi grave : Rééditant à sa manière – confuse – la phrase de Jacques Chirac en 1995, François Hollande a commémoré ce matin la rafle du Vél d'Hiv (16 juillet 1942) en déclarant ceci : « La vérité, c'est que la police française s'est chargée d'arrêter des milliers d'enfants et de familles. […] La gendarmerie les a escortées jusqu'aux camps d'internement.

Régime de Vichy. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le nom de régime de Vichy désigne le régime politique dirigé par le maréchal Philippe Pétain, qui assure le gouvernement de la France au cours de la Seconde Guerre mondiale, du au durant l’occupation du pays par l’Allemagne nazie[3], et dont le siège se situe à Vichy[5], situé en zone libre jusqu'en novembre 1942. Au cours de la guerre, cette collaboration prendra plusieurs formes : coopération économique, arrestations de résistants, de francs-maçons, et d'opposants politiques ainsi que de rafles de Juifs sur le territoire métropolitain. Sur le plan militaire, le régime n’est pas un allié officiel pour le Troisième Reich mais le gouvernement Laval reconnaît la Légion des volontaires français (LVF) comme une association d’utilité publique[9] et contribue aussi à l’effort de guerre allemand via la collaboration de son industrie militaire — comme défini dans les conditions d’armistice[10].

Les circonstances[modifier | modifier le code] Lois constitutionnelles de 1875 révisées. Lois constitutionnelles de la IIIe République modifiées suivant les trois révisions constitutionnelles 1879, 1884 et 1926 Loi du 24 février 1875 relative à l'organisation du Sénat[modifier] L'Assemblée nationale a adopté la loi dont la teneur suit : Article premier [déconstitutionnalisé en 1884][modifier] Le Sénat se compose de trois cents membres : deux cent vingt-cinq élus par les départements et les colonies, et soixante-quinze élus par l'Assemblée nationale.

Article 2 [déconstitutionnalisé en 1884][modifier] Compte-rendu intégral des séances du 4 septembre 1870 (Corps législatif) Assemblée nationale Séance du Mercredi 10 juillet 1940 1. - Constitution de l'Assemblée nationale. 2. - Excuses. 3. - Incidents : M. Edouard Herriot, le président, Pierre Laval, vice-président du conseil. 4. - Communication du Gouvernement : M. 5. - Tirage au sort des bureaux. 6. - Dépôt par M.

Wikiwix's cache. Discours du Président de la République pour le 70ème anniversaire de la rafle du Vel d’Hiv. Et la Résistance, bordel ! A quelques jours d'intervalle, nous avons assisté à l'abandon du gaullisme comme référence politique, à travers la dissolution du RPR au sein de l'UMP, et surtout à sa négation historique et juridique par le tribunal administratif de Paris, qui a condamné l'Etat français pour sa responsabilité dans les crimes de Maurice Papon.

Et la Résistance, bordel !