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Nucléaire

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De Little Boy à Fukushima. J’ai rencontré Seiko Takano à Tokyo en février. J’étais en reportage, elle était mon interprète et me racontait les histoires de sa famille originaire d’Hiroshima lorsque nous ne travaillions pas. Seiko est née à Hiroshima en 1961. Le 6 août 1945, son grand-père maternel vaque à ses occupations, chez lui, quand l’explosion le souffle violemment à travers la maison. Il en sort indemne. publicité Depuis le 14 mars, Seiko et son mari ont quitté Tokyo. Elle raconte à qui veut l’entendre l’histoire d’une de ses tantes, brûlée vive par la bombe américaine et qui avait réussi à marcher deux kilomètres pour rentrer chez elle avant de mourir d’une lente agonie. «Elle a mis six jours à partir. Les récits de sa famille, Seiko les connaît par cœur et les déroule presque avec distance. «Pour la première fois, je suis au cœur de cette menace, une menace à l’image des radiations, insidieuses, sans odeur, sans bruit. La mère de Seiko n’a jamais quitté Hiroshima. «Plus que ça à faire.»

Lucie Barbarin. Japon : mourir, pour Repco, mais de mort lente - CREON sur LePost.fr. Accueil - IRSN - Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire. Forte réplique près de la centrale d'Onagawa (7.1 Mw) suite au séisme du 11 mars 2011 Jeudi 7 avril 2011 à 23h32 heure locale (14h32 TU), un séisme de magnitude 7,1 s’est produit à quelques kilomètres de la côte Est de l’île d’Honshu au Japon, à environ 20 km de la centrale nucléaire d’Onagawa, et à 70 km à l’est de la ville de Sendaï.

L’IRSN publie une note d’information sur les caractéristiques de ce séisme. L’Alliance Européenne en Radioécologie : une initiative pour une meilleure intégration des recherches menées en radioécologie en Europe Lors de la Conférence Internationale de Radioécologie et de Radioactivité Environnementale qui ouvre le 20 juin 2011 à Hamilton (Canada), huit organismes de recherche européens présentent une initiative pour intégrer les travaux de recherche en radioécologie conduits en Europe. Position de l’IRSN sur les critiques de la CRIIRAD relatives à la surveillance environnementale en France après l’accident de Fukushima.

Tepco, une entreprise trop sûre d'elle-même. Rousseau et le débat sur le nucléaire. Le 1er novembre 1755, Lisbonne est détruite dans sa quasi-totalité par le tremblement de terre le plus violent jamais ressenti en Europe. Le séisme, suivi d’un tsunami, provoque la mort de 50.000 personnes et relance, ipso facto, la querelle de l’Optimisme –Voltaire s’indignant, comme on sait et avec le talent que l’on sait, de l’idée, défendue un peu plus tôt par Leibniz puis Wolff, que le monde dans lequel un tel phénomène s’était produit pût être considéré comme le meilleur possible. Devant l’ampleur et l’horreur de l’événement, toutes les théodicées apparaissaient alors tout à la fois dérisoires et indécentes. Rousseau cependant, enclin comme à son habitude à disculper la nature pour mieux incriminer la société, estima que de tous les maux qui frappaient alors les Lisboètes, «il n’y en avait pas un seul dont la Providence ne fût disculpée, et qui n’eût sa source dans l’abus que l’homme a fait de ses facultés».

Publicité L'atome et les «apprentis sorciers» Ils nous auront prévenus.