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Les principes d'un enseignement efficace. Comment procède-t-on pour enseigner une nouvelle notion de manière efficace? Les recherches en psychologie cognitive sur le cerveau et l’apprentissage ainsi que celles sur les pratiques d’enseignement et d’apprentissage ont permis de dégager les principes d’un enseignement dit « efficace ». Cette infographie présente une adaptation du document « The Principles of Instruction », d’après les propos de Barak Rosenshine, professeur de l’University of Illinois. Pour consultation sur mobile, cliquez ici. Pour imprimer ce document, cliquez ici. Les « unschoolers », ces enfants qui ne vont pas à l'école | ICI Radio-Canada.ca.

Un reportage de Laurence Martin et Valérie Ouellet Vendredi pluvieux chez la famille Dubien, quelque part à la campagne près de North Bay, en Ontario. Assise à la table de la cuisine, Zoéanne, 5 ans, dessine des formes qui ressemblent à des lettres, dans un petit carnet. Son frère Justin, 10 ans, vient s’asseoir près d’elle et se met à fredonner des lettres de l’alphabet pour l’aider : « A-B-C….» Au sous-sol, Mathieu, 15 ans, interprète au piano la trame sonore d’un film japonais, pendant que son grand frère Alexandre s’adonne à sa passion : la peinture. Concentré devant un jeu de société, Zavier passe presque inaperçu tellement il est silencieux. Dans la cuisine, Lynn prépare le repas, pendant que ses cinq enfants apprennent ce qu’ils veulent, quand ils le veulent. Bienvenue dans le monde du unschooling ou de la non-scolarisation, une façon d’apprendre centrée sur les désirs de l’enfant. Lynn aide son fils Justin à trouver de l’information sur les Jeux olympiques.

Le parent comme guide. Une dépendance à PowerPoint (màj) | Chronique d'une vie amorcée. « Laissez-moi vous vanter les mérites de la pédagogie active tout en vous infligeant la plus passive des présentations PowerPoint. » C’était le sous-texte de l’un de mes cours de la semaine dernière. Dénotez-vous la légère antithèse ici ? En fait, la formation à l’enseignement est une formation à la contradiction. Extraits des textes (et des sous-textes) entendus çà et là depuis deux ans: On dirait que PowerPoint a remplacé la pédagogie. J’en suis venu à un point de ma formation où j’ai envie de ne plus être l’esclave de Microsoft Office. Les cours magistraux sont-ils au service de l’apprentissage ou de l’enseignement ? Poser la question, c’est y répondre. La véritable réforme de l’enseignement s’actualisera quand « l’approche pédagogique centrée sur l’enseignement [cédera] sa place à une véritable pédagogie centrée sur l’apprentissage » (Caouette, 1997, p. 51).

J’ai envie d’être un spécialiste de l’apprentissage. Référence Caouette, C. J'aime : J'aime chargement… Une école de Sherbrooke fait un pied de nez à l'iPad avec ses petits tableaux blancs effaçables. Les tableaux blancs effaçables sont utilisés dans toutes les classes de l'école des Quatre-Vents de Sherbrooke. Photo : ICI Estrie/Geneviève Proulx Toutes les classes de l'école des Quatre-Vents de Sherbrooke utilisent, depuis le début de l'année scolaire, des tableaux blancs effaçables individuels. Elle est la première école à implanter cet outil d'apprentissage au Québec. Un texte de Geneviève Proulx Après quelques semaines d'utilisation, tous les enseignants de cette école, située dans le quartier ouest de la ville, sont unanimes : ces tableaux aident grandement non seulement à l'apprentissage, mais également à la motivation des élèves. « Le papier, c'est beaucoup de manipulation, de photocopies, ça se perd, Il se retrouve dans le recyclage, dans un duo-tang qu'on n'ouvre pas.

Alaa Salah, une élève de 3e année, apprend, grâce à son tableau blanc, à faire la différence entre le son « sssss » et le son « zzzz » . « Ils sont super motivés! Idée française. Enseignant : un métier extrême. Sa première année de travail, elle s’est fait mordre. Par une petite créature attachante comme tout, mais qui avait quelques troubles de comportement. On l’a aussi insultée.

Souvent. C’est comme ça, apparemment. Je vous parle évidemment d’une enseignante, qui me parlait elle-même récemment de son boulot. La deuxième année, elle a vite appris. Ce qui me sauve, m’a-t-elle dit, c’est mon air de bœuf. Erreur. Ce n’est pas que l’enseignante à qui je parlais n’aime pas ses élèves. Je lui demandais si elle se sentait soutenue par sa direction.

Je ne livre pas ici un rapport scientifique. On demande tout à l’école d’aujourd’hui. Je tire de mon échange avec cette enseignante une leçon. La voix de la profession enseignante sur l’équilibre travail-vie - Fédération canadienne des enseignantes et des enseignants. D'autres écoles sont curieuses | Les Actualités. ASBESTOS - Pour une troisième année, les enseignants de l’école de la Passerelle poursuivent le virage entrepris en lien avec les devoirs et leçons, c’est-à-dire que les élèves n’en ont pas ou en ont très peu. Par contre, les élèves doivent lire tous les soirs, et ils le font avec de plus en plus de plaisir et de spontanéité. L’article publié par votre journal Les Actualités à l’automne 2012 a beaucoup fait jaser dans le monde de l’éducation. « À la Passerelle, on garde le cap. D'autres écoles nous ont demandé des infos et semblent intéressées. Elles constatent que c’est possible de changer de cap en matière de devoirs et leçons.

En ce qui nous concerne, nos objectifs de l'année sont d'améliorer la communication école-maison et de documenter la réussite de nos élèves lorsqu'ils passent au secondaire », indique Chantal Landry, directrice. Mélanie Leroux, enseignante en 3e année est la responsable du volet Travaux à la maison. Évoluer au même rythme Saviez-vous que? Anglais intensif au primaire : Accueil. L'enfant en tant que bol Tupperware | Patrick Lagacé | Patrick Lagacé. Sérieusement, avez-vous lu les articles de Katia, dimanche dernier? Elle y décrit l'univers de ces enfants encore en âge de fréquenter la garderie, qui ont la «chance» d'avoir des parents qui n'attendent pas le nombre des années avant de faire comprendre à leurs rejetons que, dans la vie, il faut «performer».

>>> Consultez le blogue de Patrick Lagacé Des parents qui parquent Julien ou Juliette dans des CPE où les enfants ne perdent pas de temps à niaiser. Niaiser? Enfin, je veux dire qu'ils ne perdent pas de temps à jouer, à courir, à ne rien faire. À être un enfant, quoi. Quelques perles tirées des papiers consternants de Katia: Des parents qui paient plus de 8000$ par année pour envoyer leurs enfants dans un établissement préscolaire où les petits génies savent compter jusqu'à 100. Des parents qui demandent à la directrice d'un CPE pourquoi on n'y offre pas de cours de violon ou d'informatique. Bref, un véritable délire parental. Tiens, fiston, prends un peu de violon. C'est sidérant.

Parents mous, enfants fous, profs à bout. On dit souvent qu’il n’y a pas de job plus difficile au monde que celui de parent. Je suis d’accord. Mais il y a un boulot encore moins valorisant que celui-là : se tenir debout devant une classe de 24 enfants qui ne sont pas les vôtres. Je me prosterne devant ce mur d’enseignantes (notez le féminin) qui s’aligne dans la cour d’école à chaque rentrée. Je suis béate d’admiration devant leurs 25 tentacules indépendants (notez le masculin). Devant ces hommes aussi, mais on n’en rencontre que 12 % au primaire. Jamais vu un mec enseigner à mon B. Et c’est grand dommage, mais c’est un autre sujet. Le sujet, c’est le décrochage de tous ces enseignants, hommes ou femmes, 25 % au primaire dans les cinq années qui suivent leur arrivée devant un tableau noir ou blanc, selon les derniers chiffres disponibles au ministère de l’Éducation (2011). Pourquoi décrochent-ils ? Allô bitch! « L’enseignant est perçu comme un “ ami ” dans la cour d’école.

On est-tu obligé, madame? Cherejoblo@ledevoir.com. «Oui, je connais Justin Bieber et j'ai un iPod !» Photo : Joannie Lafrenière J’enseigne au secondaire depuis 1978. J’ai enseigné à peu près toutes les matières : français, anglais, musique, écologie, morale, mathématiques, dans une douzaine d’écoles, dans des centres pour décrocheurs et pour délinquants, dans des classes enrichies, en formation professionnelle, en récupération scolaire et en orthopédagogie. J’ai côtoyé des adolescents brillants, mais aussi de grands écorchés, des enfants battus, victimes d’inceste, affamés, déprimés, révoltés ou réduits au silence par des souffrances insoutenables. J’ai été responsable du conseil des élèves, du groupe Amnistie internationale, du journal des élèves et d’autres publications. J’ai fait des études en littérature, en psychologie, en anthropologie, j’ai rédigé un programme de français pour le secondaire, etc. Tous les enseignants que je connais ont été victimes de critiques injustifiées de la part de leurs élèves et des parents de ceux-ci.

Et puis, il y a le fameux bilan de fin d’année ! Finies, les vacances d’été…. Pour toujours? Par Peter Chaban Au début août, un article est paru dans un journal local au sujet d’une école où les élèves étaient de retour en classe après un mois de vacances estivales. Leur école est ouverte toute l’année. Le directeur de cette école a cité des recherches qui illustrent qu’un calendrier scolaire annuel empêche les enfants d’oublier, pendant l’été, la matière apprise. Cette déclaration sous-entend que les enfants qui fréquentent une école traditionnelle qui ferme deux mois pendant l’été ont tendance à oublier une grande partie de ce qu’ils ont appris l’année précédente. Si cela est vrai, il serait sensé de dire que toutes les écoles devraient adopter le calendrier annuel.

Cependant, avant que les parents s’adressent à la commission scolaire pour effectuer ce changement, il serait peut-être avisé d’examiner de plus près l’historique du calendrier scolaire annuel et la recherche connexe. Au départ, les calendriers scolaires étaient conçus pour répondre aux besoins des communautés. La maternelle à quatre ans dès l'automne | Daphnée Dion-Viens. La ministre de l'Éducation, Marie Malavoy, en a fait l'annonce officielle jeudi. La mise sur pied des classes de maternelle à quatre ans se fera de façon progressive pour qu'éventuellement, 8000 enfants de quatre ans venant de familles démunies prennent le chemin de l'école plutôt que de rester à la maison.

«Ce qui nous guide, c'est la lutte contre le décrochage», a affirmé Mme Malavoy jeudi, tout en insistant sur l'importance de travailler «en amont», dès la petite enfance. À Montréal, 35 % des enfants qui entrent en maternelle éprouvent déjà des difficultés qui risquent de se transformer en échecs scolaires, une donnée «très troublante», selon la ministre. Pour corriger la situation, Québec veut «ouvrir une nouvelle porte» en offrant des classes de maternelle aux enfants de quatre ans qui ne fréquentent pas les services de garde. Selon le Conseil supérieur de l'éducation, 27 % des petits Québécois passent directement de la maison à l'école à l'âge de cinq ans. «Scandaleux» 10 choses que les profs ne disent pas… | Joyeuses catastrophes.

Certains les redoutent ou se défilent. D’autres les provoquent et les espèrent… Quelque soit notre approche, les rencontres parents-enseignants sont absolument indispensables au bien-être des enfants. Bien que plusieurs parents s’y présentent avec un beau désir de collaboration, bon nombre d’entre eux mettent les pieds dans la classe armés d’un bouclier, d’un casque et, à la limite, d’un boulet de canon! Fins prêts pour la guerre! Bien sûr, nous comprenons, il est question de ce que vous avez de plus précieux. Et oui, peut-être, nos constats vous forceront à vous remettre en question, ce qui est immanquablement inconfortable….

Mais ce que vous ne savez pas, c’est que bien souvent, nous vous épargnons. Nous nous taisons parce que nous savons bien que vos intentions sont nobles, que vous aimez vos enfants, que vous pensez faire pour le mieux. Les voici donc ces choses que nous ne disons pas… Et si ça peut faire une différence pour UN enfant, ça aura valut la peine d’en parler! 1. 2. 3. 4. Des études confirment l'opinion des profs: la réforme a échoué | Daphnée Dion-Viens. Voilà ce qu'affirme Simon Larose, professeur-chercheur à l'Université Laval, qui dirige une équipe ayant reçu le mandat d'évaluer les retombées de la réforme scolaire. Cette enquête baptisée projet ERES - pour Évaluation du renouveau à l'enseignement secondaire - représente l'évaluation de la réforme la plus importante menée à ce jour par une équipe de chercheurs, qui y travaillent depuis cinq ans.

M. Larose réagissait aux résultats d'une autre recherche publiés dans Le Soleil de mardi, où des enseignants interrogés par Jean-François Cardin et Érick Falardeau, aussi professeurs à l'Université Laval, considèrent que la réforme scolaire amorcée depuis les années 2000 n'a pas donné les résultats espérés. Ce constat ne repose pas seulement sur des perceptions mais aussi sur les résultats des élèves aux examens ministériels, ajoute M. Peu d'améliorations Avec des données qui seront publiées sous peu, l'équipe de M. Programme de 1995 M. Résultat en français: l'exception. Réforme scolaire: échec collectif | Brigitte Breton | Éditoriaux. Toutes les conditions sont réunies pour aboutir à un bilan mitigé de la réforme devenue en chemin le «renouveau pédagogique».

Est-ce irréaliste de souhaiter que la suite des choses se déroule avec plus de rigueur, plus de leadership, plus de clarté, plus de concertation entre les différents acteurs et dans le souci de mieux servir les intérêts des élèves plutôt que celui de gagner une guerre de chapelles? Des leçons doivent être tirées pour ne pas répéter les mêmes erreurs tous les 20 ans et accoler injustement l'étiquette de cobayes et de «pas bons» à une génération. Sept ministres ont pris la barre du ministère de l'Éducation depuis le lancement de la réforme, y apportant des modifications non pas à partir d'un suivi rigoureux et de données probantes, mais bien au gré de l'opinion publique et d'intérêts partisans. Incroyable, mais tristement vrai, le Ministère n'a confié qu'en 2007 à un groupe de recherche le mandat de dresser un bilan.

Le syndrome de la maman de Caillou | Dimension éducative. Un bon matin, les parents de Caillou se réveillent en retard. Le réveil n’a pas sonné! Sans proférer le moindre gros mot, la maman de Caillou se lève en vitesse, réveille tout le monde et demande gentiment à chacun de se dépêcher. Caillou, lui, n’est pas pressé du tout… Pendant que ses parents se préparent, il en profite pour subtiliser le maquillage de sa mère et barbouiller le visage de sa petite sœur qui, par un drôle de hasard, ne hurle pas. Lorsque maman découvre sa fille maquillée jusqu’aux oreilles, elle garde toujours son calme et dit gentiment à son fils : « Voyons, Caillou, tu sais bien que tu n’as pas le droit de prendre le maquillage de maman!

Viens, nous allons nettoyer ta sœur… » …. la suite sur Ce billet a été publié dans la catégorie Articles. Les parents-rois s'installent à l'école. Infobourg.com – TIC, actualité, grands dossiers et ressources en éducation. Carrefour éducation. Déséducation. Éducaloi.