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Chiffrement des données: Google et Apple vont trop loin s'insurge le FBI. Big data : quels enjeux et opportunités pour l’entreprise. Big Data : gros volumes... gros risques aussi ! Plus le volume de données qu'elle traite est important pour une entreprise, plus le risque de perdre des informations plus ou moins sensibles s'accroît. Un phénomène qui affecte surtout les entreprises de taille intermédiaire, moins bien équipées que les grands comptes en systèmes de data management, de technologies d'analyse et de sécurisation des données. C'est ce que met en évidence l'indice 2013 d'une étude annuelle signée Iron Montain (1). Selon cette dernière, les entreprises européennes, submergées par les énormes volumes d'information qui ne cessent de croître (les fameuses Big Data), s'exposent à des niveaux de risque sans précédent. Ainsi, selon les promoteurs de cette étude, le nombre moyen des cas de violation de données aurait progressé de 50% par rapport à l'année précédente.

Que les risques sécuritaires augmentent avec le volume de données, c'est mathématique : une question de proportion. Big data. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une visualisation des données créée par IBM[1] montre que les big data que Wikipedia modifie à l'aide du robot Pearle ont plus de signification lorsqu'elles sont mises en valeur par des couleurs et des localisations[2]. Croissance et Numérisation de la Capacité de Stockage Mondiale de L'information[3].

Dans ces nouveaux ordres de grandeur, la capture, le stockage, la recherche, le partage, l'analyse et la visualisation des données doivent être redéfinis. Certains supposent qu'ils pourraient aider les entreprises à réduire les risques et faciliter la prise de décision, ou créer la différence grâce à l'analyse prédictive et une « expérience client » plus personnalisée et contextualisée. Dimensions des big data[modifier | modifier le code] Le Big Data s'accompagne du développement d'applications à visée analytique, qui traitent les données pour en tirer du sens[15]. Volume[modifier | modifier le code] Variété[modifier | modifier le code] Big Data : comparatif des technos, actualités, conseils... Pour faire face à l'explosion du volume des données, un nouveau domaine technologique a vu le jour : le Big Data.

Inventées par les géants du web, ces solutions sont dessinées pour offrir un accès en temps réel à des bases de données géantes. Comment définir le Big Data, et quelle est sa promesse ? Face à l'explosion du volume d'informations, le Big Data vise à proposer une alternative aux solutions traditionnelles de bases de données et d'analyse (serveur SQL, plateforme de Business Intelligence...). Confrontés très tôt à des problématiques de très gros volumes, les géants du web, au premier rang desquels Yahoo (mais aussi Google et Facebook), ont été les premiers à déployer ce type de technologies. Quelles sont les principales technologies de Big Data ? Elles sont nombreuses. Pour optimiser les temps de traitement sur des bases de données géantes, plusieurs solutions peuvent entrer en jeu : 1. Que faire du Big Data ? Autour de la question 2. Que faire du Big Data ? Nos invités du jour, Serge Abiteboul (Inria), Pierre-Michel Menger (Collège de France) et Bernard Harcourt (Université de Columbia / EHESS), s'interrogeront autour de la question suivante : «Que faire du Big Data ?»

La production en masse de données numériques a rapidement ouvert la possibilité d’exploiter des informations en quantités inédites. Avec : - Pierre-Michel Menger, professeur au Collège de France. . - Serge Abiteboul, informaticien, directeur de recherche à l'Inria - Bernard E. RFI dernières éditions. Big data, la fourmilière ou les Lumières. Edge vient de publier une conversation avec Alex Pentland qui a fondé au MIT un centre de recherche transversal intitulé : Center for Connection Science and Engineering. J'en reproduis de larges extraits traduits ci-dessous, mais l'ensemble mérite lecture. « Reinventing Society In The Wake Of Big Data ». Edge, août 30, 2012. . Je crois que le pouvoir des Bib Data c'est qu'elles renseignent sur les gens plutôt que sur leurs croyance. Il s'agit du comportement des consommateurs, des employés et des prospects pour vos nouvelles affaires. Contrairement à ce que la plupart des gens croient, il ne s'agit pas des choses que vous postez sur Facebook, il ne s'agit pas de vos recherches sur Google, et ce ne sont pas non plus les données tirées du fonctionnement interne de l'entreprise et des RFID.

Ce que ces miettes racontent, c'est l'histoire de votre vie. Cela veut dire que vous pouvez construire des villes plus efficaces, beaucoup plus humaines et qui dépensent énormément moins d'énergie. Le Big Data, un océan de données insécurisées ? Les données qu’une entreprise envoie dans le Cloud ne sont qu’une partie des informations pour à sécuriser. Oui, pour qu’une stratégie de sécurité soit complète, ce n’est pas un seul type de données qu’il faut considérer mais trois. Parmi les trois types de données, il y a les « Derived Data » ou « données dérivées » qui sont l’un des enjeux majeurs pour un nombre croissant d’acteurs. Ces données dérivées font les choux gras d’acteurs comme Google, Facebook, Pinterest ou encore Apple. Elles sont au centre de la tendance du Big Data. Pour un dirigeant, ne pas maîtriser ces données dérivées, c’est faire courir un risque à plus ou moins courte échéance pour son entreprise mais aussi pour ses employés.

Données du client ou « Cloud Service Customer Data » Le premier groupe de données, celui qui est le plus évident et immédiat, c’est celui des données du client (« Cloud Service Customer Data »). Ces données appartiennent au client. Données dérivées ou « Derived Data » BYOD et sécurité des mobiles : les usages au coeur des cyber-risques. La NSA récupère près de 200 millions de textos par jour | Sous surveillance. Ces informations, révélées dans le cadre d'une enquête menée conjointement par le journal et la chaîne Channel 4 News, se basent sur des documents transmis par l'ancien consultant informatique Edward Snowden, réfugié en Russie. Elles sont publiées à la veille d'un discours du président américain Barack Obama qui doit annoncer vendredi une série de réformes des méthodes de surveillance, en réponse à la controverse sur les programmes américains d'espionnage déclenchée par Snowden.

Le programme de la NSA sur les textos, qui a pour nom de code «Dishfire», récupère «à peu près tout ce qu'il peut», selon des documents du GCHQ, le pendant britannique de la NSA, cités par le Guardian, plutôt que de se cantonner aux communications de personnes faisant l'objet d'une surveillance. Le programme consiste à recueillir et à analyser des messages automatiques tels que ceux signalant les appels en absence ou les frais de «roaming» à l'étranger, ainsi que les textos envoyés par les banques. Google devra verser une amende salée pour atteinte à la vie privée. L'agence espagnole de protection des données accuse Google «d'usage illégal de données personnelles», obtenues à partir d'utilisateurs de différents services. - Photo Walter Bieri, AP L'organisme espagnol de surveillance d'internet a ordonné jeudi au géant américain Google de payer une amende de 900 000 euros (1,23 million de dollars) pour des «violations graves» de la vie privée.

L'agence espagnole de protection des données accuse Google «d'usage illégal de données personnelles» obtenues à partir d'utilisateurs de différents services, dont des comptes de messagerie électronique. «Google a illégalement collecté et traité des informations personnelles» d'utilisateurs, a affirmé l'agence dans un communiqué. Elle estime que Google «a gravement violé le droit à la protection des données personnelles». Google devra payer 300 000 euros pour chacune des trois infractions retenues contre elle et s'est vu ordonner de mettre ses pratiques en règle avec les normes légales. Espionnage: des géants des technologies réclament une réforme. «Nous comprenons que les gouvernements ont le devoir de protéger leurs citoyens. Mais les révélations de cet été ont mis en lumière le besoin urgent de réformer les pratiques gouvernementales de surveillance dans le monde», écrivent ces grands groupes américains dans une lettre ouverte au président américain et aux membres du Congrès.

Depuis cet été, les révélations fracassantes de l'ancien consultant de l'Agence américaine de sécurité (NSA) ont mis au jour l'ampleur de Prism, programme secret de surveillance américain visant des millions de communications électroniques dans le monde. Edward Snowden a aussi apporté la preuve que la NSA pouvait décoder certains systèmes de chiffrement, un procédé sur lequel sont basées de nombreuses solutions de sécurité informatique.

Il a aussi affirmé que des entreprises américaines auraient «coopéré» avec la NSA en lui fournissant des «points d'entrée» dans leurs logiciels, ou en livrant des informations sur leurs utilisateurs. Restaurer la confiance. Big Data : Les entreprises sous-estiment le risque juridique. Big data : enjeux & risques juridiques. L’impression 3D, solution à la modélisation du Big Data. Avec toutes les données produites chaque jour par les réseaux sociaux notamment, la modélisation des tendances devient un enjeu essentiel, et l’impression 3-D pourrait être une des pistes à exploiter. Le fil d’actualité twitter génère aujourd’hui 500 millions de tweets par jour, et même si des initiatives sont en cours pour isoler les tendances et extraire des informations utiles de cet énorme amas de données, la modélisation reste encore compliquée.

L’une des solutions les plus courantes pour la modélisation de telles données sont les cartes interactives. C’est en tout cas ce modèle qu’ont employé des chercheurs de l’université du Colorado Boulder travaillant sur l’utilisation de Twitter pour constater les dégâts d’une catastrophe naturelle via la géolocalisation des photos des dégâts prises par les sinistrés. Plus abouti encore, l’exemple de l’action menée par l’entreprise Palantir durant l’ouragan Sandy. Les RSSI ne s'intéressent pas assez au big data.

Le 02/10/2014, par Didier Barathon, Sécurité, 619 mots Les Assises de la sécurité ont montré pourquoi les RSSI devaient élargir leur périmètre de responsabilité. La digitalisation des entreprises commence à les concerner, même si leur positionnement dans l'entreprise ne les entraîne pas naturellement sur ces nouveaux sujets. 90% des données clients disponibles dans les entreprises ont été créées ces deux dernières années. Leur multiplication ne peut que s'amplifier, avec par exemple l'arrivée des compteurs intelligents ou celle des objets connectés. Avec le big data, l'entreprise cherche à mieux connaître son client, à savoir détecter les changements dans les comportements du consommateur, à le suivre dans son expérience client.

Le RSSI n'est même pas consulté Pour lui, les RSSI ne sont même pas souvent consultés sur ces projets, ils doivent intervenir en pompier. A l'appui de son raisonnement, Bull avance trois cas clients, malheureusement encore anonymes. 2014/08/28 > BE Allemagne 670 > DESY et IBM développement une solution Big Data pour la recherche. TICDESY et IBM développement une solution Big Data pour la recherche Le synchrotron allemand à électrons (DESY) et l'entreprise IBM coopèrent dans la création d'une solution de stockage haute-performance pour le Big Data pour la recherche.

Le système pourra traiter jusqu'à 20 GB par seconde. Crédits : maxkabakov DESY est un important centre de recherche européen en physique des particules et en rayonnement synchrotron. Plus de 2000 chercheurs explorent chaque année la structure interne de différents échantillons avec cette infrastructure de recherche. L'évolutivité du système, qui devrait gagner en puissance suivant les besoins futurs, constitue un point important du projet, en prévision du lancement du laser à électrons libres XFEL à Hambourg.

Big Data : les données des smartphones pourraient prédire les crimes ? Des scientifiques londoniens affirment que les données enregistrées par les smartphones peuvent prédire les futures zones probables de crimes avec 70% de précision. Les résultats de cette étude, selon les auteurs, fournissent la preuve que les données recueillies par les opérateurs mobiles peuvent contenir des informations pertinentes pour décrire une zone géographique afin de prédire son niveau de criminalité. Nous vous présentions il y a quelques semaines des brevets pour un système de scanner rétinien façon Minorité Report, c’est donc aujourd’hui la prédiction de crime qui arrive. La prédiction est déjà à l’étude en criminologie, et des systèmes déjà en place.

Le problème, c’est que ces derniers utilisent les statistiques de la criminalité et de la démographie locale, difficile, coûteuse à recueillir et non mise à jour régulièrement. Les téléphones mobiles, en revanche, peuvent recueillir des données au sujet du sexe, de l’âge et l’emplacement en temps réel de leur propriétaire. Via.