Les lois de discours. « littéral » (comme lorsqu'il s'agit d'instancier les variables deictiques ou argumentative s) . b) La situation qui sert à cette spécification n'est pas elle-même quelque chose de fixe.
Non seulement parce que différents interprétants la voient de façon différente. Mais parce qu'un même interprétant ne peut pas faire intervenir à la fois tous les composants de ce qu'il se représente comme la situation. Il en extrait certains éléments à l'aide desquels il construit, par spécification de la signification, un premier sens qui, par suite de ce choix, joue le rôle de « sens littéral ». Puis il fait agir sur celui-ci d'autres composants qui, joints aux lois de discours, engendrent un sens second. Sciences du langage. LINGUISTIQUE. Analyse-du-discours.com.
Les déictiques - Analyse-du-discours.com. Les déictiques - Analyse-du-discours.com. Journal d'étude. Recherche bibliographique. La théorie des opérations énonciatives / Antoine Culioli - Université Toulouse-Jean Jaurès (Toulouse II-le Mirail) Énonciation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
En linguistique, l’énonciation est l'acte individuel de production d'un énoncé, adressé à un destinataire, dans certaines circonstances. Dans toute communication, aussi bien orale qu'écrite, on trouve à la fois un énoncé et une énonciation. L'énoncé est le résultat linguistique, c'est-à-dire, la parole prononcée ou le texte écrit, tandis que l'énonciation est l'acte linguistique par lequel des éléments de langage sont orientés et rendus spécifiquement signifiants par l'énonciateur (et son co-énonciateur, qui n'est pas un simple destinataire) en vue de produire ledit énoncé : on dit généralement que l'énoncé est le « dit », tandis que l'énonciation est le « dire ».
Pour résumer, « c'est l'énonciation qui fait l'énoncé ». L'énonciation en revanche, est beaucoup moins matérielle, et partant, beaucoup plus difficile à cerner et à transcrire. Situation d'énonciation[modifier | modifier le code] Benveniste et le paradigme de l'énonciation. B.
Andrieu, « Le langage entre chair <Leib> et corps <Körper »>, in :Recherches sur la philosophie et le langage N.15, 1993. M.Arrivé, « Y-a-t-il en glossématique une théorie de l'énonciation ? », HEL VIII-2, 1986. E. Benveniste, Problèmes de linguistique générale I et II, Paris, Gallimard, 1966, 1974. Petit traité de la bêtise contemporaine. Pour tous ceux qui sentent l'emprise grandissante du discours bête et qui cherchent à comprendre comment il fonctionne pour mieux y échapper, voici un texte philosophique qui procède d'une déambulation dans la ville, comme autrefois Socrate dans la Cité, en s'arrêtant dans certains endroits sensibles et en commentant à vif certains problèmes liés aux discours qui se profèrent et aux paroles qui s'échangent.
Le lecteur se trouve donc embarqué dans une aventure : voir ce qu'il ne voyait pas, entendre ce qu'il n'entendait pas et comprendre ce qu'il ne comprenait pas. Il se rend compte alors que, s'il y a une parole qui rend bête, il y en a aussi une autre qui rend intelligent. Celle-ci est porteuse de mémoire collective, ce qu'on désigne communément par culture. Nous sommes ainsi dans une nouvelle forme du combat entre la bêtise et la culture qu'il importe, aujourd'hui, de mener tous les jours. Page 2 à 8 Pages de début Page 9 à 38 I.
Page 39 à 69 II. Page 71 à 127 III. Page 129 à 133. ÉNONCIATION, linguistique. Accueil - Contact - Mentions légales Consulter les articles d'Encyclopædia Universalis : 0-9 A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z Consulter le dictionnaire de l'Encyclopædia Universalis © 2016, Encyclopædia Universalis France.
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