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Virus, bactéries...

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Un virus géant, Mollivirus, renaît du sol gelé après… 30.000 ans. Le virus mou Mollivirus sibericum a été découvert en Sibérie.

Un virus géant, Mollivirus, renaît du sol gelé après… 30.000 ans

Sa taille dépasse le demi-micron et son génome est énorme pour un virus (mais un peu plus petit que celui du champion du genre, Pandoravirus). Ici, le lac Baïkal gelé, au sud-est de la Sibérie. © 2il org, Flickr, CC by 2.0 Un virus géant, Mollivirus, renaît du sol gelé après… 30.000 ans - 3 Photos Il est géant : 0,6 micron, soit plus long que certaines bactéries. Il est unique en son genre : même si l’on a trouvé d’autres virus géants, « celui-ci est complètement différent » s’enthousiasme Jean-Michel Claverie, de l’Institut de Microbiologie de la Méditerranée, dont l’équipe, avec celle du microbiologiste Didier Raoult, s’est fait une spécialité de la découverte de géants comme Mimivirus, Marseillevirus, Pandoravirus et Pithovirus. Alors, à quoi servent-elles, ces protéines ? Portrait de famille des virus géants.

Mollivirus sibericum observé par l’Institut de Microbiologie de la Méditerranée. Du soleil et des bactéries pour fabriquer du carburant. Depuis des milliards d’années, des organismes vivants exploitent la photosynthèse pour fabriquer de la matière organique à partir de l’énergie du soleil.

Du soleil et des bactéries pour fabriquer du carburant

Ici, des cellules végétales (mousse de Plagiomnium affine) avec des chloroplastes visibles. Ces organites sont le siège de la photosynthèse. © Kristian Peters Du soleil et des bactéries pour fabriquer du carburant - 2 Photos L’évolution a mis 2,6 milliards d’années à y parvenir. Les équipes de chercheurs de l’université de Havard ont à peine mis plus d’un an et demi... Au cours de l’évolution, les plantes ont appris à transformer l’énergie solaire pour se nourrir. Les chercheurs de la Faculty of Arts and Sciences, de la Medical School et du Wyss Institute for Biologically Inspired Engineering de l’université de Harvard ont donc travaillé sur un système capable de transformer l’énergie solaire en un carburant liquide, à la fois facile à stocker et à utiliser dans les infrastructures existantes.

Sur le même sujet. Les bactéries, leur monde et nous. JanineGuespin-Michel Professeur émérite de microbiologie Les bactéries sont des organismes unicellulaires sans noyau, donc des procaryotes.

Les bactéries, leur monde et nous

Leur rôle pour l'environnement et nous-mêmes est multiple, leurs actions pouvant être positives ou négatives (cas de bactéries pathogènes). On sait depuis déjà longtemps comment les bactéries se modifient, s'adaptent, en fonction de leur environnement, et depuis peu on commence à comprendre la dynamique de ces modifications, ce qui ouvre de nouveaux et fascinants champs d'étude.

Les secrets génétiques de la bactérie qui nous donne. Bifidobacterium dentium a 32 dents contre nous... © Marco Ventura/ Laboratoire de Probiogenomique/Université de Parme Elle s'appelle dentium de son nom d'espèce et Bifidobacterium pour son nom de genre.

Les secrets génétiques de la bactérie qui nous donne

On pourrait la croire inoffensive et même bénéfique comme toutes les bactéries connues de son genre, plus connu sous son appellation de bifidus. Ces bactéries font partie de notre flore intestinale et participent à la digestion. Les virus fabriquent des biofilms. Des rétrovirus vus au microscope électronique à transmission, au milieu de cellules.

Les virus fabriquent des biofilms

A gauche, des HTLV-1 (virus T-lymphotropiques humains), à droite des HIV, ou VIH en français, vecteurs du Sida. © CDC Les virus aussi vivent en groupe et fabriquent des biofilms ! - 1 Photo De nombreux micro-organismes, comme les bactéries, les algues ou les champignons, savent s'agglutiner sur une surface en s'y collant par une sécrétion adhésive.

Ces biofilms ont une importance toute particulière chez les bactéries qui en créent un peu partout, par exemple sur la paroi de notre intestin, celle des éprouvettes ou des bassins de piscine, celle des prothèses ou des boîtes de conserve ouvertes depuis longtemps, etc. L'équipe a mis en évidence des agrégats de virus HTLV-1 (Human T cell leukemia/lymphoma virus type 1), ou virus T-lymphotropiques humains. Les biofilms découverts par cette équipe se trouvent à l'extérieur de la cellule infectée, sur sa surface. A voir aussi sur Internet Sur le même sujet. Entraide entre virus pour tromper le système immunitaire - Journal du Net > Science. The Bifidobacterium dentium adapté au mileu buccal. Results General genome features The genome of B. dentium Bd1 is one of the largest bifidobacterial genomes reported to date, with a single circular chromosome consisting of 2,636,368 base pairs (Figure 1).

The Bifidobacterium dentium adapté au mileu buccal

The average GC content of 58.54% is similar to that of other sequenced bifidobacterial genomes and is consistent with the range of G+C mol% values for the Actinobacteria [1]. For protein-encoding DNA regions, the G+C contents of codon positions 1, 2 and 3 were determined to be 61%, 43%, 74%, respectively, the latter value somewhat deviating from the expected value (70%), as based on a survey of 696 eubacterial and 56 actinobacterial genomes or bifidobacterial genomes (NCBI source) (Figure S1 and data not shown). Figure 1. From innermost circle, circle (1) illustrates GC skew (G−C/G+C), values >0 are in red and <0 in green.

Doi:10.1371/journal.pgen.1000785.g001.