Nathalie Blanc • Nouveau manifeste.
Nathalie Blanc Le numéro 30 de Labyrinthe, revue de recherche et d’expérimentation dans le domaine des savoirs littéraires, philosophiques et sociaux, se donne comme projet une écologie politique. Son dossier coordonné et introduit par Charles Ruelle et Fréderic Neyrat s’intitule « Ecologie = X. Une nouvelle équation des savoirs ». Quels sont les apports du dossier thématique ainsi introduit ? Glen Love, dans son article intitulé « L’écocritique et la science. Dans l’article « De Frederick J. L’article de François Jarrige « Les nouveaux récits de la “révolution industrielle”. Bérengère Hurand dans « Quelle éthique pour l’écologie. Frédéric Neyrat, dans « Écologistes, encore un effort pour devenir antihumanistes… Écologie, humanisme et capitalisme », traite des oppositions entre humanisme et écologisme. On l’aura compris : l’intérêt d’un tel dossier critique est réel. Charles Ruelle et Fréderic Neyrat (dir.), « Ecologie = X. Bibliographie Jacques Rancière, Le partage du sensible. Résumé
Pour une démocratie écologique
Photo : Puits près de Khudiala, Rajasthan, Inde © Film “HOME” – une coproduction ELZEVIR FILMS / EUROPACORP Nous partirons d’une hypothèse acquise pour les environnementalistes, mais dont la réception est mitigée dès qu’on sort d’un cercle restreint, soit pour des raisons d’ignorance, soit au nom d’une autre posture. Quelle que puisse être l’issue de la crise financière et économique actuelle, le monde où nous entrons sera profondément différent de celui que nous quittons. L’expression « inversion des raretés », parfois évoquée, caractérise assez bien le monde qui vient. Il est probable que nous ne parviendrons jamais à extraire plus de 100 millions de barils de pétrole par jour alors que l’Agence internationale de l’énergie estime à 120 millions la production nécessaire en 2020. À quoi s’ajoute le changement climatique en cours. La seconde raison est la systématicité de la crise à laquelle nous sommes en butte. État et écologie : le préalable démocratique Qu’en est-il du futur ?
Des liens sociaux à la construction d'un développement territori
1L'avènement des problématiques de développement durable (DD) amène à s'interroger sur plusieurs fronts : temporalité, équité, éthique, échelle spatiale, etc. Depuis quelques années, émerge un champ de réflexion fécond sur l'inscription territoriale du DD. Pour l'essentiel, deux voies de théorisation sont à considérer. Le lien entre DD et territoire renvoie, pour certains, à l'application des principes de durabilité à l'échelle locale. Dans ces conditions, le développement durable des territoires est une déclinaison locale des principes du DD1. 2En nous inspirant de la définition du développement territorial – capacité des acteurs situés sur un territoire à en maîtriser les évolutions à venir (Deffontaines et al., 2001) –, nous convenons à l'idée que le développement territorial durable se définit comme la construction et l'articulation, par les acteurs locaux, de normes économiques, écologiques et éthiques. 1.1 Quel cadre institutionnel pour le développement territorial durable ? 1.2.
Philosophie politique
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La philosophie politique est la branche de la philosophie qui étudie les questions relatives au pouvoir politique, à l'État, au gouvernement, à la loi, à la politique, à la paix, à la justice et au bien commun entre autres. Elle est considérée comme une des branches de la philosophie pratique à côté de la philosophie du droit et de la philosophie morale. En tant que recherche philosophique, elle se distingue de celles menées par les sciences humaines et sociales (sociologie, histoire, psychologie, science politique) en ce que, à la différence de celles-ci qui s'attachent à ce qui existe historiquement et particulièrement, elle est fondée sur la recherche d'un universel, guidée par la question du juste, du meilleur et du légitime[1]. De nos jours, la science politique est devenue inséparable de la philosophie politique. Définition[modifier | modifier le code] Historique[modifier | modifier le code] Antiquité[modifier | modifier le code]
Philosophie et politique
Morale et Justice sociale
Voici un grand et beau travail de réflexion sur les philosophies morales et de critique des théories sociales. Il permet aux citoyens de retrouver des repères dans les actuels débats, noyés dans une bouillie idéologique touillée par les « communicateurs » de tous bords. En philosophie politique et morale, la confusion est aujourd'hui totale dans le champ politico-médiatique. Les officines de « communication » fonctionnent comme des machines à broyer les idéologies, à concasser les concepts, à réduire en bouillie les idées, à tordre les mots dans tous les sens jusqu'au point où, privés de signification, ils agissent comme des leurres. Quel invraisemblable baragouin ! Préciosités ridicules ? Indispensable car il présente les grandes philosophies Morales qui marquent de manière indélébile la conscience européenne - celles d'Aristote, de Kant de Hegel - et des ceuvres contemporaines qui nourrissent les débats sur la justice sociale, notamment celle de John Rawls. Aziz LARHAOUI
Responsable de la première année : Gérard Rabinovitch (année 2003-2004) Présentation du séminaire De la démocratie, on sait que pour Platon (La République, liv.VIII) elle s’inscrit au registre des mauvais régimes avec la timocratie, l’aristocratie, et l’oligarchie. Règne de la liberté, où chacun peut vivre selon sa fantaisie, la démocratie ouvre par la levée des contraintes d’obéir, aux périls du désordre. Ainsi à l’instar de l’oligarchie qui se corrompt par l’avidité pour les richesses, la démocratie se perd dans une ébriété anomique de la liberté. Avec l’expérience des totalitarismes du XXème siècle, la démocratie ne fait plus objet de controverses dans la sphère occidentale. Dans une première année, nous reprenons l’acte légué par Claude Lefort. Dans une deuxième année, nous abordons la question très débattue du pluralisme au cœur des théories normatives de la démocratie. Programme de la Ière année : "premières approches" 1ère partie : Les grands principes.
CERSES - DE LA DEMOCRATIE : morale et philosophie politique
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La Philosophie Politique
Une définition de la philosophie politique: La philosophie politique est l’étude de l’organisation sociale et de la nature de l’homme. Un philosophe politique réfléchit aux questions suivantes : Quelle est la forme idéale de gouvernement? Les principaux Philosophes Politiques : Dans les premiers temps, la philosophie politique n’était qu’une branche de la philosophie, pratiquée par des philosophes touche-à-tout (Platon, Aristote) avant de se spécialiser à l’époque moderne (Machiavel, Montesquieu, Rawls, …) : – Platon : Platon est le premier philosophe politique. – Aristote : La politique est au coeur de la pensée d’Aristote. – Saint-Tomas : Dieu fait son entrée en politique avec Thomas d’Aquin. – Machiavel : Le Prince de Machiavel représente un apport énorme à la philosophie politique. – Hobbes : Ce philosophe anglais a inventé la notion de souveraineté dans le Léviathan. – Locke : Autre philosophe anglais, fondateur du libéralisme politique. – Bakounine : penseur de l’anarchisme. La Guerre
Entre 1861 et 1865, les Etats-Unis d’Amérique furent secoués par une sanglante guerre civile, la guerre de Sécession. En tout, morts et blessés, civils et militaires, se montèrent à plus d’un million de victimes, soit 3% de la population totale du pays. Ce dernier en sortit dévasté, exsangue, avec un coût direct supérieur à 5 milliards de dollars-or rien que pour les dépenses militaires des deux camps – l’équivalent aujourd’hui d’une somme dix fois supérieure. Il mit des décennies à s’en relever complètement, et les conséquences du conflit allaient encore être ressenties, dans la politique intérieure des USA, bien longtemps après, et jusqu’à nos jours. Les causes de la guerre de Sécession À l’origine du cataclysme, une question fondamentale de droit constitutionnel : où commençait l’autorité du gouvernement fédéral, et où s’arrêtait celle des États fédérés ? Ce problème institutionnel trouva son point de cristallisation dans la question de l’esclavage. Premières batailles Bibliographie
La guerre de Sécession (1/3)
Carte des USA durant la guerre de Sécession
Philosophie politique
Habermasian Reflections
FIAGROVOX/GRAND ENTRETIEN - A l'occasion de la sortie de son premier livre, Vous avez dit Conservateur?, Laetitia Strauch-Bonart a accordé un entretien fleuve à FigaroVox. Elle y analyse la notion parfois mal comprise de conservatisme. Laetitia Strauch-Bonart a été chercheuse dans un think tank français. Elle vit à Londres où elle prépare un PhD en histoire sur les penseurs conservateurs et les questions morales après 1945. Vous avez dit conservateur? «Je ne laisserais jamais dire que la droite est conservatrice». Laetitia Strauch-Bonart: Ces remarques ont deux degrés de signification. Mais là ou leur remarque est intéressante en effet, et personnellement me fascine, c'est qu'elle est révélatrice tout d'abord de la méconnaissance totale, chez ces politiques, de ce qu'est le conservatisme. Ceci étant dit, un troisième niveau de lecture est possible: la droite française a peur du conservatisme. La France s'est construite dans la rupture. Là encore, je comprends leur réticence.
«Le conservatisme, c'est le progrès» Laetitia Strauch-Bonart
La Philosophie Politique
Philosophie politique
bookDéclaration des Droits de l’Homme et du CitoyenAssemblée nationale1789ParisTDéclaration des Droits de l’Homme et du CitoyenDéclaration des Droits de l'Homme.djvuDéclaration des Droits de l'Homme.djvu/11-8 L’ASSEMBLÉE NATIONALEDes 20, 21, 22, 23, 24, 26 Août & premier Octobre 1789. déclaration des droits de l’homme en société. En conséquence, l’Assemblée Nationale reconnoît et déclare, en présence et sous les auspices de l’Être Suprême, les droits suivans de l’Homme et du Citoyen. Article premier. Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société, la jouissance de ces mêmes droits.
Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen
Philosophie politique
Fille naturelle d'une servante et d'un bourgeois (qui prendra en charge son éducation d'institutrice), Louise Michel enseigne quelques années avant de monter à Paris en 1856. Là, elle développe une activité poétique, pédagogique en créant une école alternative et se lie avec le milieu révolutionnaire blanquiste du Paris des années 1860. En 1871, elle participe activement à la Commune de Paris. Louise Michel, femme de courage, de conviction et d'engagement, est devenue une légende de la Commune de Paris au point, hélas, de rejeter au second plan les biographies de dizaines de femmes qui payèrent de leur vie leur croyance dans une révolution sociale d'essence proudhonienne. Lire la suite Autres articles sélectionnés au sein du portail Anarchisme Modifier
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LA RÉPUBLIQUE DE PLATON - RÉSUMÉ ET ANALYSE
A - Méthode suivie Afin de rendre possible et surtout efficace la confrontation entre le texte de Platon et notre résumé, nous avons conservé, d'une part, la division en livres de I à X que l'Antiquité nous a transmise, d'autre part, la pagination de l'édition Estienne. Nous avons ajouté à cette pagination traditionnelle celle de l'édition Garnier-Flammarion (traduction de Robert Baccou), la plus maniable pour les étudiants. Nous renvoyons, bien entendu, également aux éditions Gallimard (t. B - Argument La richesse extrême du contenu et de la construction de l'œuvre rendent périlleuse toute tentative de résumer en quelques lignes la problématique de La République. Les divisions du dialogue sont les suivantes : PROLOGUE :Au Pirée, les frères de Platon (Adimante et Glaucon) rencontrent, à l'occasion d'une fête, le sage et riche vieillard Céphale et, arrivés en sa demeure, entament une discussion sur la destinée et la justice (327-330 b, pp. 75-78). - C - 468b-470a, pp. 2? et en détaillant :
La démocratie est-elle le moins mauvais des régimes
Introduction Définition des termes : Démocratie : gouvernement du peuple par le peuple (démos = peuple /kratos = pouvoir) NB : il ne faut pas confondre République et Démocratie : ces deux concepts ne sont pas à mettre sur le même plan : la République désigne avant tout l’objet même du pouvoir politique : le bien commun, la chose publique (" res publica "). Par suite, bien sûr, c’est l’Etat de droit, un gouvernement légitime (i.e. : le pouvoir ne s’exerce que sur des hommes libres, les lois ne sont pas répressives mais plus précisément, limitent les libertés afin qu’elles s’accordent entre elles et au bout du compte soient mieux assurées, etc.). b) La démocratie donne un contenu à la République : elle désigne un titulaire du pouvoir politique ou de la chose publique, à savoir le peuple. 2) Régime : synonyme de forme de gouvernement (manière de gouverner) I- La démocratie : Le moins mauvais ou le pire des régimes ? A- La question du meilleur des régimes politiques a) Démocratie et anarchie
Miguel Abensour, Hannah Arendt contre la philosophie politique ?
1Le titre du dernier essai de Miguel Abensour, même assorti d’un point d’interrogation, peut légitimement surprendre. Car, dans les années soixante-dix, l’œuvre de Hannah Arendt a souvent été lue comme poursuivant la tradition de la philosophie politique, en opposition à la perspective, alors dominante, de réduction, plus ou moins appuyée, de la politique à un effet de la superstructure économique. Mais, comme le rappelle justement Abensour, il s’agit d’un contresens majeur. Arendt n’a jamais cessé d’entretenir, vis-à-vis de la catégorie de philosophie politique, un rapport critique. Cet essai est précisément consacré à l’analyse des ressorts de la critique arendtienne de l’idée de philosophie politique. 2Pour Arendt, l’acte de naissance de la philosophie politique doit être recherché dans l’œuvre de Platon. 3Ce point a été mis en évidence par de nombreux commentateurs. 4La philosophie politique naît donc, paradoxalement, sous le signe d’une méfiance envers la politique.
Type d'enseignement : Cours magistral et conférences Semestre : Automne 2015-2016 Nombre d'heures : 72 Langue d'enseignement : français Voir les plans de cours et bibliographies Pré-requis Bien maîtriser la langue française et s'intéresser à l'histoire et aux concepts. Descriptif du cours Le cours croise l'histoire, le droit et la philosophie politique. Enseignants PICQ, Jean (Professeur associé à Sciences Po) SCHMITE, Valentin (Doctorant) Mode de validation L'évaluation du travail des étudiants comportera une note de contrôle continu (2/3 de la note finale) attribuée par le maître de conférences de méthode et une note d'examen (1/3 de la note finale) attribuée à l'issue de l'épreuve sur table de fin de semestre. Charge de travail Préparation de la conférence de méthode et relecture du cours : une journée par semaine. Lectures principales demandées Maîtres de conférences AIRIAU, Paul (Professeur agrégé) CLARET, Arnaud (Avocat) DELIVET, Philippe F. Plans de cours et bibliographies
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REVUES : philosophie politique, droit, éthique
Pierre Rosanvallon: «Consternation et vive inquiétude»
Pierre Rosanvallon: «Consternation et vive inquiétude»
Sciences Po
Charles Bolduc, Une exploration des méandres de la politique deleuzienne
Idées directrices et pensées de philosophie politique
Charles Bolduc, Une exploration des méandres de la politique deleuzienne
François Hartog : Régimes d’historicité et présentisme – [conférence 2004] | Mémoires d'Indochine
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