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Philosophie et Droits des animaux

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Veganisme, Droits Des Animaux. La B12, cette vitamine qui fait tant parler d’elle… Comment une seule petite vitamine peut-elle être autant source de polémiques, alors que tant d’autres vitamines, minéraux et oligo-truc-machins nous sont nécessaires?

Veganisme, Droits Des Animaux

J’ai déjà parlé de cette fameuse vitamine, j’y reviens aujourd’hui avec un article long mais qui s’imposait. Accrochez vous, parce qu’on va parler créationnisme, La Terre D’abord, cartésianisme, études des marchands de café, lobbies laitiers et caca de gorille. Si des véganes vont ont dit que le végétalisme rendait fort, intelligent, beau, riche et célèbre et faisait revenir l’élu-e de votre cœur en 48 heures, ils vous ont menti. Certes, se passer de viande expose moins à certains problèmes de santé, comme par exemple les maladies cardiovasculaires et les cancers(ref1)(ref2), mais d’autres préoccupations spécifiques à cette alimentation s’imposent. Elles n’ont rien d’insurmontable, il faut simplement être un peu vigilant. La nature c'est bô. Mais qu’est-ce que le naturel? Le discours le plus important de votre vie - Gary Yourofsky.

Les Cahiers antispécistes. Relation Homme/Animaux » Le mangeur Ocha. Dans nos sociétés modernes occidentales, sociétés d’opulence pour une majorité, nous assistons au creusement d’une distance entre les citoyens, les mangeurs et les animaux d’élevage.

Relation Homme/Animaux » Le mangeur Ocha

Distance qui accroît la méfiance et les « rumeurs » vis-à-vis des produits d’origine animale. D’une part, les pistes sont brouillées quant à l’origine de nos aliments, brouillées du fait d’une méconnaissance de la réalité. D’autre part, les animaux familiers – chiens, chats, et autres hamsters…- sont considérés comme des « enfants » ou des « alter ego » à qui l’on prête (pour qui on imagine) des émotions et des réactions humaines… L’anthropomorphisation à outrance des animaux familiers (chiens, chats…) apparaît comme une dérive qui a une influence sur le régime alimentaire général et qui entraîne une perte de repères sur le régime omnivore essentiel pour les êtres humains.

Plusieurs axes d’approche sont privilégiés par les chercheurs en sciences sociales sur ce domaine de la relation homme/animaux : Est-il besoin d’une Déclaration des droits pour le règne animal? Nous publions sur iPhilo le texte de la conférence donnée à l’Institution Royale de Grande Bretagne (Londres, 1989) par le philosophe américain Tom Regan, principal théoricien des droits des animaux.

Est-il besoin d’une Déclaration des droits pour le règne animal?

Cette conférence, diffusée sur la BBC, a été traduite par Enrique Utria, doctorant en philosophie à l’Université de Rouen (voir la version originale en anglais). Les autres animaux que les humains mangent, utilisent dans la science, chassent, piègent et exploitent de diverses autres façons ont une vie par eux-mêmes, qui est d’importance pour eux, indépendamment de leur utilité pour nous.

Ils sont non seulement dans le monde, ils sont aussi conscients de lui, et aussi de ce qui leur arrive. Et ce qui leur arrive leur importe. Chacun a une vie qui se porte, du point de vue de l’expérience, mieux ou moins bien pour ceux dont c’est la vie. Sur ces aspects fondamentaux, les animaux non humains dans les laboratoires ou les élevages, par exemple, sont semblables (same) aux êtres humains. Animals Deserve Absolute Protection Today and Tomorrow.