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Backpack

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Le tourisme des routards (backpacking) – APPEL À TEXTES. Rédacteurs invités: Luc VACHER, CNRS-Université de La Rochelle Suzanne LALLEMAND, CNRS, Paris Maité BOULLOSA, Université d’Amiens Date de soumission des textes : 15 janvier 2012 Date de publication : automne 2012 Seulement tolérés par les états qu’ils traversaient, ignorés par l’industrie touristique, les routards (ou backpackers) semblent aujourd’hui se définir par une série de paradoxes : voyageurs partant en solitaire ou en duo, on les retrouve se déplaçant en groupes. Qu’en est-il de l’importance de ces formes de voyage au moment où les créateurs des guides Routard et Lonely Planet sont en âge de prendre leur retraite ? On peut donc se demander ce que veut dire être routard ou backpacker au début des années 2011. Qu’en est-il aujourd’hui de ces pratiques de voyage ? Sans mettre l’accent uniquement sur les enjeux du tourisme des routards dans l’univers francophone, ce dossier de Téoros s’intéresse d’abord au phénomène proprement dit.

. - tout sujet connexe lié au tourisme des routards. Le BackpackerLe Sociologue. Backpack = Action de mettre un sac à dos sur ses épaules et de partir, tel Ernesto Guevara, à la découverte de terres inconnues et aussi, quelque part, de soi même. Le terme peut s’utiliser en verbe ou en nom propre. Backpacker = Anglicisme (de l’anglais « Backpack ») qu’on pourrait traduire par voyageur effarouché(e) désignant toute personne aimant s’adonner aux joies du Backpack.

Ex : « Non mais laisse tomber, je reviens de deux semaines de backpack en Europe de l’Est, j’ai enchaîné festivals, concert, j’ai backpacké à l’ancienne, en mode fracture des yeux mec » Le Sociologue a juré sur la Bible, le Coran et la Torah qu’il passerait au peigne fin chacun des grands profils de notre génération. . * Il n’est pas nécessaire de s’appeler Ernest pour être un bon backpacker. I) Le Backpack, un fait de la génération Y Le Backpack est intrinsèquement lié aux notions de découverte et d’expériences. II) S’éloigner de sa zone de confort pour mieux y revenir : Une nouvelle quête identitaire ? Le mythe du backpacker – Les voyages de Myriam. Ça fait longtemps que j’ai envie d’en parler, souvent les mots me viennent lorsque je ne suis pas face à un ordinateur et ce soir.. ce soir j’ai lu un conversation sur fb qui m’a énervé. Et les mots sortent mieux quand je suis inspirée.

J’ai envie de lancer un sujet un peu….”tabou” sur les dangers d’un long périple. Je m’explique, j’ai une connaissance que je suis via son blog et facebook, ses périples partout dans le monde. Récemment il a eu une mésaventure; Il a été braqué (” par” une arme à feu) par 2 individus. Utilisant une gopro, j’ai eu l’occasion de voir la vidéo, qui m’a glacé le sang. Tout c’est bien terminé pour lui, hormis le vole de sa montre(20euros). Une interrogation met venu à l’esprit: ” et si c’était moi?” Jusqu’à aujourd’hui je n’ai jamais trouvé un sujet qui parle des risques, et j’aurais voulu via ce sujet, qu’on en parle. Même si les risques sont faibles, un voyage peu vite tourner…dans un sens inattendu.Merci d’avance” “Mouais cette histoire j’en suis sceptique !! Le phénomène "begpackers", une dérive occidentale? • SerialHikers - Voyage Alternatif. En résumé: un nouveau phénomène émerge en Asie du Sud: des touristes “blancs occidentaux” feraient la manche pour financer en partie leur voyage, soit en vendant des cartes postales ou des friandises aux locaux, soit en brandissant une pancarte racoleuse.

Ces mendiants d’un genre nouveau sont appelés Begpackers, jeu de mots entre beg (supplier) et backpacker (routard). Notre humeur: en colère! Tout d’abord, nous tenons à souligner que ces articles, souvent en quête de sensationnalisme, ne montre qu’une infime minorité de jeunes backpackers. Il ne faudrait donc pas tomber dans les raccourcis, ni dans le jugement hâtif et agressif! Heureusement on trouve toujours sur les routes une majorité de backpackers voyageant à la rencontre des locaux, dans l’échange humain et l’entraide, dans le respect et l’adaptabilité… un peu comme nous!

Prenez du recul, ne faites donc pas d’amalgames! * Article rédigé d’après notre expérience personnelle * Vous avez aimé? Backpackers, qui sont-ils ? | Sereni. Avez-vous déjà entendu ou lu le mot « backpacker » sans vraiment en comprendre le sens ? Sereni Magazine vous explique en quelques lignes ce qui se cache derrière ce terme qui invite au voyage. Sur les sites et les forums spécialisés dans les voyages, le mot « backpacker » revient très souvent.

Ce terme vient du mot anglais « backpack » qui signifie « sac à dos ». On désigne donc les backpackers comme des porteurs de sacs à dos, des routards qui se déplacent de villes en villes et de pays en pays avec le strict minimum sur leurs épaules. Ce mot s’applique également pour désigner des auberges de jeunesse destinées à accueillir des voyageurs de passage. Une réputation qui se dégrade Si le backpacker est censé être ouvert d’esprit, tolérant et sympathique, quelques exemples négatifs semblent inverser la tendance. Ne pas mettre tous les backpackers dans le même sac Ces backpackers qui donnent le sourire Sarah Belnez pour Sereni Magazine. Les stéréotypes des backpackers. J’étais en train de regarder les chiffres du backpacking en Australie et je me suis alors dit qu’il serait peut-être temps de parler des différentes nationalités qui sont présentes dans les backpacks… Des clichés?

Huum, il y en a pas mal qui circulent dans toutes les conversations…C’est toujours marrant d’entendre l’opinion des gens sur telle ou telle nationalité… :p Petit pdf ci-dessous à télécharger. Si vous avez d’autres avis sur d’autres nationalités que vous avez rencontré, n’hésitez pas à compléter Le champ de baguettes : Ah les français…Vraiment dur de ne pas en croiser un dans la journée. La bande à Baader : Le groupe de choc, l’élite de l’Europe dans le Backpack. Les frères (et soeurs) d’Italie : I fratelli d’Italia ! Les roastbeefs au four : Mais que font les anglais, écossais, gallois et autres irlandais du nord dans le Backpack ? Les malins cousins : Les connaisseurs : Le patron du Backpack, l’aventure ça le connait. La vague bridée : Les mystérieux : Des backpackers à Paris : condition touristique assumée et expérience composite de la ville. 1Le terme de backpacker puise dans l’association de deux termes — back (le dos) et pack (le sac) — pour former l’ensemble signifiant de ceux qui voyagent « sac au dos ».

Cette dénomination s’est diffusée à la fin des années 1960 avec la démocratisation des voyages et le développement de mouvements de contre-culture et réfère à un mode de voyage « léger ». Celui-ci est marqué par une économie et une autonomie dans les pratiques, mais aussi par un état d’esprit où prévaut une recherche d’expériences originales et non dénaturées par l’industrie du voyage et des imaginaires touristiques trop standardisés. 2L’étude aborde trois points : d’une part, elle questionne les éléments structurants de la pratique du backpacking et leur institutionnalisation, c’est-à-dire l’insertion de leurs activités dans le circuit économique classique (avec une offre de services dédiés, une labélisation des lieux dévolus aux backpackers, etc.).

La non-institutionnalisation comme cadre conceptuel originel. Pourquoi les backpackers ont mauvaise réputation ? Voyager avec son sac à dos : la plus simple expression de liberté à mes yeux. Besoin de rien, envie de tout : de prendre la route, découvrir de nouveaux paysages, faire de belles rencontres, s’isoler au bout du monde, apprendre l’histoire des premières civilisations de notre planète, se découvrir de nouvelles passions… Les vertus du voyage sont innombrables. Pourtant, à travers la planète, un mouvement négatif s’amplifie au fil du temps, créant une aura péjorative autour des « backpackers ». L’évolution de l’image du backpacker Le voyageur sac à dos éveillait bien d’autres sentiments à l’origine. Cette image romantique a suscité beaucoup d’envie : le mythe du « retour aux sources ». La nature. Mais avec le temps, l’image du bourlingueur a perdu de son authenticité à en devenir une caricature d’elle-même. Quelle aventure que de se revendiquer un « vrai voyageur » (et non un mouton de touriste) et de ne voyager qu’en dépensant 5 € par jours !

Non, mieux, voyager pour 0 € ! L’aventure moderne. Le « tour du monde » des backpagers, voyage normalisé ? 1 De l’anglais « to drift » signifiant « dériver », l’idéal type du drifter proposé par E. Cohen en 1 (...) 1Les recherches en sciences sociales qui s’intéressent au « backpacking » ou « tourisme à sac à dos » divergent quant à la valeur normative associée à cette pratique. Tantôt présenté dans le sillage du routard comme un contestataire du tourisme de masse, et plus largement, de la société de consommation occidentale, le backpacker est dans le même temps décrit comme aliéné à ses propres illusions de liberté et réduit à des itinéraires et hébergements balisés (Demers, 2012, p. 86). Il existe, selon E. Cohen (2004), un décalage entre l’idéal dont est coloré le discours des backpackers, et leurs pratiques. La quête d’authenticité relative au modèle du drifter1 identifié dans les années 1970 (Cohen 1972) aurait perdu de son influence face à des pratiques davantage liées à une recherche d’expérience ludique du monde.

Source : B. 10G. L’influence des routes aériennes 15E. 24J.G. Brenda. Globe-trotting. La traduction du rapport 2018 de l'OMT n'étant pas encore éditée, voici une petite synthèse infographique des faits saillants du tourisme issus du "Tourism Highlights 2018" récemment publié par l'UNWTO (World Tourism Organization). Cette infographie présente les chiffres clés du tourisme international en 2017, à savoir les tendances, évolutions, statistiques et cartographies annuelles.

Après avoir consulté l'infographie ci-dessous, vous saurez combien de touristes ont voyagé en 2017 et leur répartition géographique. Vous découvrirez également quelles ont été les destinations les plus visitées et quel est le visage des touristes internationaux. Quelques infos clés sur les statistiques du tourisme en 2017 Le nombre total de touristes internationaux est passé de 1.235 milliards en 2016 à 1.326 milliards en 2017, soit plus de 7% de croissance, ce qui est considérable comparé à l'évolution 2015-2016 qui 'était que de 4% seulement.

Téléchargez la version PDF HD Téléchargez la version PDF HD. Le routard, un touriste qui s’ignore. Le backpacking : un marché de niche en pleine mutation. Les backpackers : portrait de routards sur la route 1/3. A force d’en avoir rencontré, en étant moi-même un, j’ai voulu à partir de mes observations dresser un bref portrait robot de cette communauté de voyageurs.

Un portrait forcement subjectif et incomplet, mais néanmoins intéressant il me semble. Une des meilleures sources d’information à leur sujet sont les registres des guest houses et hôtels divers. 1. L’âge La grande majorité des ces voyageurs ont moins de trente ans. Autour de 30 ans, il y a déjà nettement moins de monde. 2. Trois grandes nationalités arrivent en tête: dans le désordre, les Anglais, les Français et les Allemands. Les Canadiens sont assez présents, surtout par rapport à leurs voisins Américains. Les routards Australiens, grand voyageurs, se trouvent en grand nombre en Asie du sud-est. Il reste le cas particulier des Israéliens. Bien sûr, faiblesse du pouvoir d’achat oblige, très peu de routards d’Amérique Latine, d’Afrique et d’Asie. La suite dans un prochain article ! Vous avez aimé cet article ? Notez-le en 1 clic. Revenez sur chEEk !

En quête d’autonomie et d’authenticité, les backpackers marchent dans les traces des routards des années 70. Issue d’une jeunesse privilégiée et bourrée de contradictions, cette nouvelle catégorie de voyageur·se·s en sac à dos a pourtant du mal à sortir des sentiers battus. Un sac à dos plein à craquer, des chaussures de rando neuves, l’indispensable passeport, quelques images d’Into the Wild dans un coin de la tête et L’Usage du monde de l’écrivain-voyageur Nicolas Bouvier dans le fond de la poche, les backpackers se pressent de plus en plus dans les aéroports, gares routières ou ferroviaires des pays du monde entier. Treks au Népal ou dans la cordillère andine, virée dans les déserts de Namibie ou du Rajasthan, plongée sous-marine en Polynésie, road trip en mini-van à travers l’Australie, il y a fort à parier que les backpackers ont aussi envahi vos timelines Facebook et vos stories Instagram.

Des backpackers aux flashpackers La Plage, DR Pas à un paradoxe près Juliette Marie. Être un vrai backpacker. Depuis quelques années, le voyageur en sac à dos s’est attiré toutes sortes de réputations n’étant pas toujours très positives. Cet icône du voyage simplifié et du retour aux sources est parfois méprisé, et je souhaite que le vent puisse changer de côté pour que les vraies valeurs et objectifs de cette façon de voyager redeviennent à la base de l’image du bourlingueur assoiffé de grandir intérieurement à travers les différentes cultures rencontrées et expériences vécues. Selon moi, être backpacker ne veut pas dire ne pas se doucher chaque jour, être hippie, dépenser tout son argent dans les bars, profiter des autres et avoir des maux de dos constants! Backpacker veut dire vivre et laissez vivre, être amoureux de la vie, de son environnement et de la beauté des gens de ce monde.

Être backpacker signifie se choisir et vivre une vie sans limites, mais bien remplie de passion et d’aventures. Pour moi, être un vrai backpacker c’est : Vivre ses voyages comme une quête identitaire; Backpacker Jobs Australia | Working Holiday Jobs for Travellers. AUSTRALIE - Le Guide des Backpackers en WHV. Backpackers Attitude - Tips for traveling on a budget. Backpackers: Avoir un agent de voyage ou pas? - Annie Anywhere. Backpackers: Avoir un agent de voyage ou pas? Récemment, une histoire m’a donné envie d’écrire cet article. Une de mes amies s’est payé un voyage en Grèce, destination dont elle rêvait depuis un bon moment. Elle a acheté ses billets d’avion en ligne, fait des recherches sur les meilleurs endroits à visiter et les découvertes à y faire. Le jour de son départ, elle se rend à l’aéroport comme prévu, trois heures à l’avance. Puis, c’est la galère… impossible pour elle de prendre son vol, car son passeport n’est pas valide trois mois après la date de son retour.

Fâchée contre la compagnie aérienne qui lui a vendu son billet, elle voulait porter plainte. Malgré cela, rien à reprocher ici à la compagnie aérienne qui lui a vendu son billet. Sitôt que j’ai entendu son histoire, je l’ai contactée et en essayant fort fort de ne pas empirer la situation, je n’ai pas pu m’empêcher de lui dire de la façon la plus diplomatique possible : « Mais COMMENT ÇA tu as pas vérifié ça avant!? Pourquoi les backpackers ont mauvaise réputation ? Le « tour du monde » des backpackers, voyage normalisé ? | Via@ Tourism Review. Résumé Tantôt présenté comme un contestataire du tourisme de masse, le backpacker est dans le même temps décrit comme aliéné à ses propres illusions de liberté et réduit à des itinéraires et hébergements balisés. Partant du constat d’un décalage entre l’idéal du backpacker et ses pratiques, l’article interroge la normalisation du backpacking à partir d’un sous-groupe emblématique de ce type de voyage : les backpackers en « tour du monde ».

En s’appuyant sur un panel de profils se révélant aussi diversifié que les backpackers en général, l’enquête par questionnaires et entretiens menée en Thaïlande permet d’interroger l’uniformisation des itinéraires et l’enjeu de la planification du séjour. L’article montre que les itinéraires sont structurés par le réseau aérien, et font preuve d’une uniformisation forte dans certaines régions du monde, comme l’Asie du Sud Est, où les enclaves et les « sentiers battus » sont nombreux. Tableau 1. Richards et J. L’influence des routes aériennes Figure 2. Article espaces. Backpackers. Backpacking Travel : Tips, Guide, Advice, Forums, & Budget. Backpacker Tourism.