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Au sujet de pretnumerique.ca. Je présentais jeudi soir, à Montréal, pretnumerique.ca — un système destiné à faciliter le prêt de livres numériques dans les bibliothèques publiques québécoises. C’était dans le cadre du troisième congrès des milieux documentaires du Québec. Un système que j’avais le privilège de présenter, mais qui est le résultat du travail de dizaines de personnes d’un peu partout dans le monde du livre au Québec. Comme le système prend une forme inhabituelle, et qu’il commence à s’écrire toutes sortes de choses à son sujet ici et là, je prends quelques minutes pour en résumer le fonctionnement ici. En commençant par en résumer la genèse. À pareille date l’an dernier, à l’occasion de la deuxième édition du même congrès, un dur constat avait été fait: les usagers des bibliothèques publiques québécoises avaient accès à des livres numériques anglophones, mais à très peu de livres numériques francophones — et pratiquement à aucun livre numérique publié au Québec.

La genèse: les exigences des éditeurs 1. Les éditeurs au tournant du numérique « le blog de J-C Garnier. Depuis quelques temps en France, en clair depuis la montée en puissance de nouveaux acteurs dans le monde du livre (Amazon, Apple, Google), le rôle de l’éditeur dans un contexte numérique est souvent remis en question. Décriés tant par des lecteurs que par des auteurs ou des pure player de l’édition, les travaux législatifs sont parfois dépeints comme inadaptés. Et l’on y verrait l’empreinte du lobbying des gros éditeurs établis au détriments de tous les autres acteurs, y compris en fin de compte de la culture. Effectivement, en suivant une pente, souvent présente sur Internet, de dénonciation des positions acquises ou de complots des puissances installées de l’édition contre le citoyen-lecteur-auteur, on peut lire régulièrement des articles ou commentaires appelant à la libération de la culture, à la baisse du prix pour le lecteur et à la hausse de la rétribution pour l’auteur, tout en desserrant l’étreinte trop étouffante de l’éditeur "établi".

Problème de modélisation… Ah ! Vraiment ? Premiers résultats : liseuse ou tablette ? Avec 200 réponses, je peux commencer à traiter quelques informations. Je commence par le plus simple mais n’hésitez pas à me proposer de vérifier des corrélations ou d’opérer des croisements/filtrages. N’hésitez pas non plus à continuer à diffuser le lien vers le formulaire. Plus il y a de participants, plus les résultats seront intéressants. Qui êtes vous ? Bien entendu, ces résultats ne prétendent pas être représentatifs des français, ou de quoi que ce soit d’autre que des gens qui ont répondu.

J’ai touche un public précis, avec une orientation spécifique, et via des canaux qui n’ont rien de génériques. J’ai aussi une proportion non négligeable de gens qui me lisaient déjà, potentiellement parce que justement ils sont en accord avec mes opinions. Le public n’est pas d’ailleurs si technophile que je le craignais puisque moins d’un tiers est équipé en tablette LCD, et majoritairement iPad (le stéréotype geek caricatural a tendance à plutôt avoir de l’Android). Alors, liseuse ou tablette? Paulo Coelho: piratez-moi. Typologie des revendeurs publie.net.

Typologie des revendeurs publie.net quelques données sur le mois de janvier 2012 Quelques chiffres et commentaires sur ces chiffres, au sens où ils confirment tendance stable depuis mi 2011, au sens où ils bousculent cette tendance : continuité et stabilité en hausse des ventes via iTunes, et pour nous l’iPad (mais toujours étonnant aussi de découvrir nos textes complexes sur l’iPhone) seul capable d’exploiter pleinement la lecture enrichie, pourtant un espace fondamental de recherche et d’interrogation – 1ère fois qu’on passe les 1000 ventes sur iTunes, et merci à eux pour la signalétique régulière, la revue D’Ici Là en a profité – mais faut dire, elle est belle notre Hors Collection ; corollaire : et nous nous réjouirons toujours et toujours de la moindre initiative de nos revendeurs s’ils se décident à effectivement promouvoir le singulier, le réflexif, au lieu d’être tous à se faire la nique sur les 10 même best-sellers ou daube du moment. janvier 2012, chiffres publie.net par revendeur.

2011_ebrary_download_survey. L'actu des ebooks. Déballage du PocketBook Pro 902. Bonjour, Cela fait depuis mi-2009 que je suis intéressé par l'achat d'un eBook-reader. J'ai donc effectué de nombreuses recherches afin de trouver la liseuse correspondant à mes besoins. Quels sont mes besoins : - un écran e-ink, pour ne pas abimer les yeux (je travaille les yeux rivés sur un écran toute la journée, le fait de lire en plus sur un écran LCD va achever prématurément ma vue) - une autonomie importante, pour ne pas avoir de mauvaise surprise en voyage - un slot de mémoire, pour pouvoir déposer facilement mes ouvrages dessus - ne pas avoir besoin de passer par un logiciel propriétaire pour transférer les fichiers - un écran assez grand pour lire confortablement - un prix raisonnable (notion toute personnelle) - pas de fonctions qui ne me servent pas (typiquement, je n'ai pas besoin de prendre des notes, donc un écran tactile n'est pas nécessaire, voire est une source de trace de doigts désagréable sur la zone de lecture) J'ai testé le Sony PRS-600.

George R.R. Martin Is Not Your Bitch. I am home. My dog is happy to see me. The world is a good place and I am behind on work because American Airlines doesn't have proper power points in International first class like, er, all the other airlines I've flown on in the last few years. (They offered to sell me an adapter for $150 to plug in the battery-dead computer, and I probably should have said yes to keep working, but was so outraged, and had decided not to fly American in future, so it would never have been used again, and said no.) My assistant Lorraine popped in to check on me. The SPIN HousingWorks Benefit Concert, with Amanda Palmer and me, is already Sold Out. The Jonathan Ross show podcast is up at (and a direct link to the MP3 is at Hi Neil, 1. 2.

Would be very interested in your insight. CheersGareth My opinion.... 1) No. 2) Yes, it's unrealistic of you to think George is "letting you down". George R.R. Avec ePub3, les ebooks enrichis sont une réalité. Après les magazines, c’est maintenant au tour des livres électroniques de bénéficier d’un enrichissement. Cette innovation est rendue possible grâce à la publication des spécifications de ePub 3, le format standard de publication de livres électroniques : ePub 3, de nouvelles possibilités pour l’ebook enrichi. Jusqu’à présent, seules les applications sur touchbooks proposaient une expérience de lecture enrichie, et l’unique moyen de mélanger du texte, de la vidéo et des animations étaient de les encapsuler dans des applications (ex : Our Choices, les ouvrages publiés par les éditions Moving Tales ou Byook, ou encore les livres pour enfants : Chouette un nouveau ebook enrichi sur iPad).

Mais les choses ont changé avec la 3ème version du format ePub (reposant sur HTML5, CSS3 et javascript) qui permet de faire tout un tas de choses : Vivement la quatrième version de ePub ! Autography : la dédicace pour le livre numérique. En réfléchissant sur les différents moyens pour promouvoir un ebook, nous avions fait remarquer des ebooks l’impossibilité de dédicacer un ePub. Face à ce problème, une société américaine, Autography, a développé un outil destiné à être utilisé lors des dédicaces en librairies. Barnes&Noble fut d’ailleurs l’un des premiers à essayer cette nouvelle technique pour promouvoir son catalogue Nook Kids par le biais d’animations en magasin. Pourtant, dédicacer un livre numérique n’est pas ce qu’il y a de plus simple. Pour M. Waters, cofondateur d’Autography, ce défi se devait d’être relevé : “Comment est-ce que la technologie humaine permet d’envoyer un homme sur la Lune et ne pas être capable de signer un ebook?”

Rappelle cet ancien consultant en défense au New York Times. Avec son associé Robert Barrett, ils ont donc mis au point un système de dédicace simple et multiplateforme. La loi sur le prix unique du livre numérique votée par le Parlement. Comme on pouvait s’y attendre suite à l’approbation du texte et de la clause d’extra-territorialité par la Commission Mixte Paritaire, le Parlement vient officiellement d’entériner la loi sur le Prix Unique du Livre Numérique (PULN). Approuvé à l’unanimité par les députés – à l’exception du député UMP Lionel Tardy -, le texte permet finalement d’étendre les dispositions de la loi Lang au numérique en autorisant “tout éditeur diffusant un livre numérique en France de fixer un prix de vente modulable en fonction du contenu, de l’accès et de l’usage de l’offre”, tout en assurant “une rémunération juste et équitable pour les auteurs”.

Cette loi se distingue néanmoins par sa clause d’extra-territorialité, une première juridique, qui impose aux distributeurs aussi bien français qu’étrangers de se conformer aux prix fixés par les éditeurs. Un constat à moitié partagé par le député du Nouveau Centre Philippe Folliot : “Cette loi risque d’être contestée par la Commission européenne. Les Français toujours très attachés au livre papier. Des chiffres éloquents… Une étude de Harris Interactive sur le rapport des Français au papier vient d’être publiée, et comporte une partie sur le livre numérique.

Les quelques chiffres communiqués par l’institut sont particulièrement intéressants. Ils démontrent certes l’attachement au papier, mais montrent aussi que les plus jeunes sont aussi ceux qui préfèrent le papier pour la lecture. L’enquête a été réalisée en ligne les 17 et 18 mai 2011 auprès de 1001 individus représentatifs, et de plus de 18 ans. Quelques points intéressants que l’on peut relever : Les femmes sont plus attachées au livre papier que les hommes 6% des hommes préfèrent aujourd’hui le livre numérique, contre 2% des femmes.

Les plus jeunes sont moins ouverts au numérique que les plus âgés. Ce constat pour le moins étonnant montre que les plus jeunes (18-24 ans) sont aussi les plus traditionalistes. La sensibilité politique a une influence. Catégories socio-professionnelles et localisation géographique ont peu d’impact. News, Augmented. Que vont devenir les livres? L'ex-rédacteur en chef de Wired, Kevin Kelly, imagine le futur du livre numérique, plus lisible, plus manipulable, plus social et participatif. Kevin Kelly [en] n’est pas le premier venu quand il s’agit de parler de cultures digitales. Ex rédacteur en chef de Wired, il vient de publier sur son blog “What books will become” (repris sur OWNI.eu), un essai passionnant sur les avenirs possibles du livre.

Nous vous laissons découvrir l’intégralité de ce billet grâce à la traduction d’Hubert Guillaud. Un livre est une histoire autonome, un argument, ou un corps de connaissances qui prend plus d’une heure à lire. Un livre est complet dans le sens où il contient son propre commencement, milieu et une fin. Dans le passé, un livre a été défini comme toute chose imprimée entre deux couvertures. La structure conceptuelle du livre reste Aujourd’hui, le papier des pages d’un livre disparaît. Pourtant, il y a des livres sur le web. Un dispositif de lecture séparée semble aider. OWNI se lance dans l’édition numérique avec OWNI Books. OWNI a annoncé hier le lancement en version beta de son shop, une librairie / boutique d’un genre particulier. En effet, au lieu de proposer un catalogue de plusieurs milliers de titres, cette libraire (basée sur le moteur Immatériel.fr) se concentre sur trois catégories : la sélection de la rédaction (5 titres pour l’instant), les titres de rédacteurs ou contributeurs au site (7 titres pour l’instant dont le très bon Print Brain Technology de Publie.net) puis la catégorie Pulp.

Cette dernière regroupe l’ensemble des ebooks publiés par OWNI, des sélections d’articles compilées au contenus originaux. Pour inaugurer ce nouveau pan de leur activité, OWNI publie un premier ouvrage, La véritable histoire de WikiLeaks de Olivier Tesquet. Prix de vente : 3,99€ ou gratuit. En effet, il est possible de “hacker” le système et de disposer gratuitement de l’ebook dans sa totalité. Les OWNIbasics, livres enrichis consacrés entre autres à tout ce qui fait la vie numérique aujourd’hui.