Liste des pires films jamais réalisés. La traduction de cet article ou de cette section doit être revue(10/10/2016).
Le contenu est difficilement compréhensible vu les erreurs de traduction, qui sont peut-être dues à l'utilisation d'un logiciel de traduction automatique. Discutez des points à améliorer en page de discussion ou modifiez l'article. Cette liste de films réunit ceux que plusieurs critiques notables ont décrit comme les pires films jamais réalisés.
Elle s'appuie sur les résultats Metacritic, les films les plus décriés par Roger Ebert, The Golden Turkey Awards, Leonard Maltin's Movie Guide, Rotten Tomatoes, les Stinkers Bad Movie Awards, Mystery Science Theater 3000 et les Golden Raspberry Awards (ou « Razzies Awards »). Années 1930[modifier | modifier le code] Reefer Madness (1936)[modifier | modifier le code] Années 1940[modifier | modifier le code] No Orchids for Miss Blandish (1948)[modifier | modifier le code] Du bist ein Berliner : la capitale allemande en 10 films. Berlin, symphonie d’une grande ville (Walter Ruttmann, 1927) Berlin, au petit matin.
Un train traverse la campagne et arrive au centre de la capitale allemande. On est en 1927, sous la République de Weimar, entre-deux-guerres faussement apaisée où le nazisme n’est encore qu’à l’état d’embryon, dans une métropole dont le cœur bat vite, et fort. « Depuis que je suis venu au cinéma, j’ai toujours eu l’idée de faire quelque chose avec la matière vivante, de créer un film symphonique avec les milliers d’énergies qui composent la vie d’une grande ville. » Walter Ruttmann passe à l’acte avec ce film en forme de documentaire. De l’aube au crépuscule, sa caméra explore les rues, accompagne la foule. S’arrête, repart, se cale sur le rythme de la ville, capte le quotidien et l’imprime sur pellicule.
Allemagne année zéro (Roberto Rossellini, 1948) La Scandaleuse de Berlin (Billy Wilder, 1948) Le Rideau déchiré (Alfred Hitchcock, 1966) L’Homme de Berlin (Carol Reed, 1953) Vimala Pons : Mindfuck Collection. Essai d'ouverture (Luc Moullet, 1988)
Cinéma direct et l'ONF. Par Delisle, Martin Georges Dufaux et Marcel Carrière pendant le tournage du film Rose et Landry: Tiré du film, Le direct avant la lettre Le cinéma direct a profondément marqué l’histoire du 7e Art.
Grâce à du matériel de tournage plus léger disponible au cours des années 1950, les documentaristes ont pu s’approcher de leurs sujets et rendre leurs films plus vivants et personnels. En même temps, ces sujets devenaient plus authentiques, plus « vrais », au point qu’on a parfois qualifié ce courant de « cinéma-vérité ». Les cinéastes de l’Office national du film du Canada ont grandement contribué à son développement, particulièrement à la fin des années 1950 et dans les années 1960.
Article available in English : Direct Cinema and the National Film Board Historique La forme du documentaire date des tous débuts du cinéma. Splendeurs et Misères de la Chair : Corps et Sensations dans le Cinéma de Bertrand Bonello - CMDR - Corps : Méthodes, Discours, Représentations. Poétique de la chair et cinéma des sensations Dès son premier long métrage au titre significatif, Quelque chose d’organique (1998), jusqu’à sa description sensuelle et picturale d’une maison close dans L’Apollonide (2011), son film le plus récent, le cinéma de Bertrand Bonello explore obstinément les splendeurs et les misères de la chair, mettant en scène aussi bien ses aspects les plus sublimes comme les plus abjects, la chair triste et la chair extatique, des corps pantelants de plaisir et des corps déchirés par la douleur.
Je tenterai donc, dans cet essai, de rendre compte du caractère extrêmement charnel du cinéma de Bertrand Bonello en examinant la manière dont ses films mettent en scène sa fascination pour le corps dans tous ses états, pour le corps en proie à toute une gamme de sensations, des plus ordinaires aux plus complexes, des plus ténues aux plus vives. Quelque chose d’organique ou la matérialité des sentiments. "C'est pour quand ?" de Katia Lewkowicz avec VDonzelli & BBiolay (Court- Métrage 2008) .flv. Le Supermarché au cinéma - Blow Up - ARTE. Reda Kateb - Master Class Cinégénetiques # 02. Masterclass de Bertrand Bonello.