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DGSE

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DGSE DST DCRI - Les Services Secrets Français. Bureau central de renseignements et d'action. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bureau central de renseignements et d'action

Le Bureau central de renseignements et d'action (BCRA) était pendant la Seconde Guerre mondiale, le service de renseignement et d'actions clandestines de la France libre. Créé en juillet 1940 par le général de Gaulle, désigné sous différentes appellations au fil des années, il sera fusionné en 1943 au sein de la Direction Générale des Services Spéciaux (DGSS). Création[modifier | modifier le code] Le service, créé en juillet 1940 par le général de Gaulle, qui plaça à sa tête André Dewavrin (connu sous le nom de guerre « Passy »), prit en réalité plusieurs désignations successives : Deuxième bureau, à sa création le 1er juillet 1940, désignation commune depuis 1870 du service de renseignement de l'armée française, Service de Renseignements (SR), à partir du 15 avril 1941,

Direction générale des études et recherches. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Direction générale des études et recherches

La Direction générale des Études et Recherches, (DGER), est un organe de renseignements créé en 1944. Il résulte de la fusion entre l'ancien BCRA de Londres et les Services de renseignements d'Alger, devenus respectivement en 1942 le BRAL (André Dewavrin) et le BRAA (Paul Paillole). La fusion de ces deux services constitue la DGSS, confiée à André Dewavrin. Le sigle DGSS restera provisoire (ses deux dernières initiales rappelant trop de tristes souvenirs). Il est transformé en DGER. Service de documentation extérieure et de contre-espionnage. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Service de documentation extérieure et de contre-espionnage

Le Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (SDECE) est un service de renseignements français, qui a été créé le et remplacé le par la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE)[1]. Il ne prend pas pour autant la fonction du Deuxième Bureau qui reste alors consacré au renseignement militaire traditionnel. Directeurs généraux du SDECE[modifier | modifier le code] Le général Paul Grossin a été directeur général du SDECE entre 1957 et 1962. Les directeurs généraux du SDECE ont été successivement[2] : Opérations connues[modifier | modifier le code] Guerre d'Indochine : Renseignement et opérations de maquis avec les partisans montagnards via le GCMA (groupement de commandos mixtes aéroportés).Opération « Condor » du colonel Jean Sassi à Diên Biên Phu le 30 avril 1954.Guerre d'Algérie : Tentative d'appropriation du pétrole nigérian en 1968 aux dépens des États-Unis et du Royaume-Uni en soutenant les séparatistes biafrais.

Service Action. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Service Action

Pour les articles homonymes, voir SA. Direction générale de la sécurité extérieure. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La , couramment connue sous le sigle , est le service de renseignement extérieur de la France . Placée sous l'autorité du ministre français de la Défense , la DGSE est dirigée depuis le 10 octobre 2008 par Erard Corbin de Mangoux . Sa devise serait « Partout où nécessité fait loi », qui exprime l'impératif de la raison d'État [ 2 ] ou, selon d'autres sources [ 3 ] , « » (« À des résultats grandioses par des voies étroites ») [ 4 ] . Sous l’autorité du ministre français de la Défense , elle est chargée, selon les termes de l'article D. 3126-2 du Code de la défense , « de rechercher et d’exploiter les renseignements intéressant la sécurité de la France, ainsi que de détecter et d'entraver, hors du territoire national, les activités d’espionnage dirigées contre les intérêts français afin d’en prévenir les conséquences [ 5 ] ».

Www.droit.univ-paris5.fr/warusfel/articles/HistoireCE_warusfel96.pdf. Direction Générale de la Sécurité Extérieure. Commando Hubert. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Commando Hubert

Le commando Hubert est un commando-marine créé en décembre 1947. Il porte le nom du Lieutenant de vaisseau Augustin Hubert, tué au combat le à Ouistreham. Organisation[modifier | modifier le code] Fort de 100 hommes, tous chuteurs opérationnels, le commando Hubert est placé sous le commandement d'un capitaine de corvette. Il est articulé en 2 compagnies[2]. La 1re compagnie est composée d'une cinquantaine de nageurs et se divise en 4 sections (ou escouades) : La section A, cellule de commandement et de contrôle, s'occupe du soutien opérationnel de la compagnie et aligne les équipages des embarcations semi-rigides (15 membres environ).La section B a pour mission le contre-terrorisme maritime. La 2e compagnie sert d'unité d'appui et travaille comme une base arrière. Transmissions.Énergie/propulsion.Commissariat.Entretien.Conduite des navires.