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Évolution

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Dérive génétique - modèle diploïde. Apport de la génétique moléculaire à la connaissance de l'évolution humaine. Approche historique. Jean-Claude Hervé A - Apport de la génétique moléculaire à la connaissance de l'évolution humaine.

Apport de la génétique moléculaire à la connaissance de l'évolution humaine. Approche historique

Approche historique Les fossiles sont bien entendu indispensables à toute étude cohérente de l’évolution humaine. Néanmoins, depuis les années 80, et suite aux progrès des connaissances sur les génomes des organismes actuels et à l’analyse de l’ADN fossile, la génétique moléculaire a contribué de façon croissante à la connaissance des modalités de l’évolution humaine. Les organismes d'Édiacara : Dickinsonia, un animal précambrien. Cyril Langlois ENS Lyon - Préparation à l'agrégation SV-STU Olivier Dequincey ENS Lyon / DGESCO Résumé.

Les organismes d'Édiacara : Dickinsonia, un animal précambrien

L'Homme de la Chapelle-aux-Saints (Corrèze) : la première preuve d'inhumation chez les Néandertaliens. Pierre Thomas Laboratoire de Géologie de Lyon / ENS Lyon Olivier Dequincey ENS Lyon / DGESCO Résumé.

L'Homme de la Chapelle-aux-Saints (Corrèze) : la première preuve d'inhumation chez les Néandertaliens

L’ADN perdu qui a fait l’homme. Rencontrer des grands singes lors d’une visite au zoo ne laisse pas indifférent.

L’ADN perdu qui a fait l’homme

D’un côté, leur ressemblance avec nous est frappante. Leurs expressions faciales et la façon dont ils saisissent des objets sont étrangement similaires aux nôtres. Homo sapiens : un nouveau paradigme ? Au lieu de cela, ces préhistoriens proposent une vision bien plus complexe.

Homo sapiens : un nouveau paradigme ?

Selon eux, la lignée sapiens a commencé à émerger en Afrique, il y a au moins 500 000 ans, ce qui est évidemment une conséquence de la découverte récente de plusieurs fossiles sapiens âgés de quelque 315 000 ans… Ils vont même plus loin, en partant de la constatation que les plus anciens fossiles sapiens connus traduisent une assez grande diversité morphologique et sont disséminés à travers toute l’Afrique. Homo sapiens vieillit d'au moins 100 000 ans. Dans le registre fossile actuel, les plus anciens Homo sapiens connus – Omo 1 et Omo 2 – étaient éthiopiens et vieux d’environ 200 000 ans.

Homo sapiens vieillit d'au moins 100 000 ans

Des « petits jeunes » comparés aux nouveaux doyens de notre lignée : les fossiles d'hommes modernes découverts et datés par l’équipe de Jean-Jacques Hublin, de l’Institut Max-Planck d’anthropologie évolutionniste, à Leipzig, sont au moins 100 000 ans plus vieux. Ces fossiles, et une série d’autres découverts précédemment au même endroit mais mal datés, proviennent du site marocain du Jebel Ihroud. Did Our Species Evolve in Subdivided Populations across Africa, and Why Does It Matter?: Trends in Ecology & Evolution. Paléontologie : découverte en Sibérie d’une jeune métisse de 90 000 ans. « Race » : la génétique face à ses démons. 17441. Le temps en géologie - Evolution biologique. Un petit crâne de 13 millions d’années éclaire l’origine des grands singes. Le crâne extrêmement rare découvert au Kenya appartenait à un animal d’une espèce jusqu’alors inconnue mais très proche de celle qui a donné naissance à l’homme.

Un petit crâne de 13 millions d’années éclaire l’origine des grands singes

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pierre Barthélémy La scène se passe en 2014 sur le site de Napudet, au Kenya, non loin du lac Turkana. Une région désertique où se battent les cailloux et affleurent les fossiles. John Ekusi a l’œil pour ce genre de pierres et il en a repéré une qui émerge du sol et qu’il prend tout d’abord pour une tête de fémur. Mais la chose s’avère un peu trop volumineuse. Son analyse a pris trois ans et elle a été publiée, mercredi 9 août, par Nature. Une époque-charnière de buissonnement d’hominoïdes Pour comprendre pourquoi, il faut retourner à l’époque où ce petit singe vivait. Un petit crâne de 13 millions d’années éclaire l’origine des grands singes. Des scientifiques détectent de l’ADN préhistorique dans des sédiments. Rendue possible grâce aux progrès technologiques, cette technique pourrait apporter un éclairage nouveau sur l’évolution humaine et la préhistoire.

Des scientifiques détectent de l’ADN préhistorique dans des sédiments

Grâce à une nouvelle technique, des scientifiques sont parvenus à isoler pour la première fois de l’ADN humain et animal dans des sédiments, en l’absence de tout ossement fossilisé. Publiée jeudi 27 avril dans la revue américaine Science, cette étude s’est appuyée sur l’analyse de 85 échantillons de sédiments datant du pléistocène, une période s’étendant de 550 000 ans à 14 000 ans avant notre ère, prélevés dans huit grottes en Belgique, Croatie, France, Russie et Espagne. Lire aussi : Néandertal s’aventurait au fond des grottes, 140 000 ans avant « Homo sapiens » Ces sites archéologiques déjà connus ont été occupés par des cousins disparus de l’homme moderne, les néandertaliens et les denisoviens et par toutes sortes d’animaux aujourd’hui éteints.

Phalènes ! Les dinosaures à plumes: les fossiles. Ca y'est, le moment est enfin venu de vous présenter les preuves les plus intrigantes et parlantes appuyant l'hypothèse que les dinosaures portaient des plumes.

Les dinosaures à plumes: les fossiles

L'Archaeopteryx est (à nouveau) un oiseau - Sciencesetavenir.fr. Antrhopologie : des gènes à la culture. La revue scientifique "Comptes Rendus Palevol" publie un numéro thématique "Des gènes à la culture - From genes to culture" (Mars-avril 2017, vol. 16, 2, 133-224).

Antrhopologie : des gènes à la culture

Ce numéro contient 10 articles rédigés en français (avec un résumé en anglais) dont 5 sont publiés en libre accès (Open Acces). C'est l'occasion pour tous de lire des articles de synthèse de très bon niveau sans buter sur des difficultés linguistiques. Les articles "libres" sont les suivants : C'est aussi l'occasion de retrouver sur Planet-Terre : Origine et évolution des Anthropoïdes en Asie par Jean-Jacques Jaeger, publié le 28/01/2010, Taxonomie des Primates et origine des Anthropoïdes. De l’origine des anthropoïdes à l’émergence de la famille humaine. Un cou intermédiaire pour un ancêtre de la girafe - Sciencesetavenir.fr. VERTEBRES.

En dépit de son très long cou, qui dépasse allègrement les deux mètres, la girafe possède, comme la majorité des autres mammifères, seulement sept vertèbres cervicales. Celles-ci se sont "juste" démesurément allongées pour atteindre près de 40 cm chacune. Deux nouvelles études révèlent que cet allongement s’est produit en deux étapes. Histoire de la Girafe. En Images. Dinosoria. Préhistoire < Mammifères et Oiseaux préhistoriques < Girafidés. Histoire de la Girafe La girafe fait partie de l’ordre des artiodactyles.