Pourfendeur de Greta Thunberg, intellectuel "optimiste" et "provocateur" : qui est Laurent Alexandre, invité à la "Convention de la droite" ? Le médiatique millionnaire s'est fait connaître grâce à ses livres sur l'intelligence artificielle, sans être un chercheur dans le domaine.
Désormais, il s'acharne contre Greta Thunberg et les collapsologues, qu'il traite de "khmers verts". #AlertePollution Rivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ? Cliquez ici pour nous alerter ! Au téléphone, Laurent Alexandre part au quart de tour. Au lendemain du discours de l'adolescente de 16 ans aux Nations unies, ce fils de dentistes parisiens est particulièrement remonté. Pourfendeur de Greta Thunberg, intellectuel "optimiste" et "provocateur" : qui est Laurent Alexandre, invité à la "Convention de la droite" ?
Le médiatique millionnaire s'est fait connaître grâce à ses livres sur l'intelligence artificielle, sans être un chercheur dans le domaine.
Désormais, il s'acharne contre Greta Thunberg et les collapsologues, qu'il traite de "khmers verts". #AlertePollution Rivières ou sols contaminés, déchets industriels abandonnés… Vous vivez à proximité d’un site pollué ? Cliquez ici pour nous alerter ! Au téléphone, Laurent Alexandre part au quart de tour. Au lendemain du discours de l'adolescente de 16 ans aux Nations unies, ce fils de dentistes parisiens est particulièrement remonté. La jeune Suédoise tient un "discours apocalyptique démoralisant", qui "révulse" profondément cet "intellectuel optimiste". Je n'ai jamais été climatosceptique. Selon Laurent Alexandre, qui n'a aucune expertise particulière en climatologie, "on ne combat pas comme il faudrait le problème climatique" et certaines solutions résident dans le développement des nouvelles technologies. Une provocation théorisée même. La dette italienne sous haute tension sur fond de crise au sein de la coalition.
Marine Le Pen maintient son intox sur les retraités et les migrants dans un droit de réponse… truffé d’erreurs. Pourquoi il faut supprimer des niches fiscales. Dans une interview au Parisien, dimanche 3 février, Gérald Darmanin, le Ministre de l'Action et des Comptes publics, a réaffirmé sa volonté d’encadre les niches fiscales, ces avantages fiscaux dont peuvent bénéficier certains contribuables sous certaines conditions.
En 2018, la France n’en comptait pas moins de 457 selon la Cour des Comptes. François Ecalle, président de l’association Finances Publiques Et Economie (FIPECO), nous explique qu’il faudrait en supprimer certaines. Challenges.fr : Pourquoi y a-t-il tant de niches fiscales en France ? François Ecalle : Tout simplement parce qu’au fil des années, les Gouvernements successifs en ont créées de nouvelles sans supprimer les anciennes. C’est un moyen de faire croire que l’on va payer moins d’impôts, mais en réalité, ils seront payés par d’autres contribuables. Correspondent-elles à une quelconque logique fiscale ? Non, pas du tout, il n’y a pas de logique. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces niches fiscales ? Un mythe politico-administratif, Girondins versus Jacobins. Une cinquantaine de "gilets jaunes" forcent l'entrée du grand débat organisé à Besançon avec le patron de La République en marche. La réunion publique, à laquelle participait Stanislas Guérini, a été perturbée par une cinquantaine de personnes.
Un premier débat organisé par La République en marche a été perturbé vendredi 18 janvier au soir à Besançon par une cinquantaine de "gilets jaunes" qui ont forcé l'entrée de la salle où avait lieu le débat, rapporte France Bleu Besançon. Ils ont vivement pris à partie Stanislas Guérini, le délégué général de La République en marche. Les "gilets jaunes", qui affirmaient avoir été interdits de réunion, ont forcé l'entrée de la salle. Les organisateurs expliquent eux qu'ils avaient refusé la fouille des sacs. Dans la salle, les échanges étaient souvent houleux entre les "gilets jaunes" et les membres de La République en marche, dont son délégué général, venu tenter de faire de la pédagogie sur le grand débat national. Votre avis est précieux. Aidez-nous à améliorer notre site en répondant à notre questionnaire. je donne mon avis.
Bercy veut que les patrons d’entreprises françaises paient leurs impôts en France. Luc Ferry : “Vers un gouvernement d’union nationale composé de têtes de série” Trois remarques pour éclairer la suite.
La première, c’est qu’on ne peut rien comprendre, je dis bien rien, à la situation du pays si l’on ne part pas du constat que la France est aujourd’hui divisée en cinq partis politiques dans une constitution qui n’était faite que pour deux camps, la droite et la gauche : le Rassemblement national, La France insoumise, le Parti socialiste, Les Républicains et le centre droit libéral pro-européen de Macron. Par conséquent, quel que soit le président, il est d’emblée archiminoritaire, donc a priori en grande difficulté au moindre pépin car les quatre autres courants ne manquent pas de s’allier contre lui à la première occasion.