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Cegid et Microsoft, de cloud à cloud - Les Echos. Cegid Group change de mains - ZDNet. Selon le quotidien Le Progrès, le groupe Cegid pourrait passer sous le contrôle de deux fonds d’investissement américains et britanniques, Altaone Capital et Silver Lake. Le fondateur de l'éditeur de progiciels Jean-Michel Aulas, aurait accepté de céder ses parts au sein de l’entreprise, tout comme Groupama, l’actuelle actionnaire principal de la société. Cette transaction prendra la forme d’une OPA, et les actions de l’entreprise seront cédées au prix de 62,25 euros par action, le double de la valorisation proposée pour l’action Cegid au début de l’année. Au total, la valorisation de Cegid Group est donc ici évaluée à 580 millions d’euros. Cet accord ne devrait pas pour autant signer le départ de Jean Michel Aulas. Selon Les Échos, celui-ci devrait réinvestir les sommes tirées de la vente de ses parts dans l’entreprise et entend conserver son poste de président du conseil d’administration du groupe.

Patrick Bertrand conservera également ses fonctions de directeur général de Cegid. Cegid Public lance une solution de pilotage RH « tout en un » pour une gestion maîtrisée des effectifs dans le service public | Relations presse Cegid. Un nouveau module destiné à simplifier et anticiper la gestion des effectifs au sein des organismes publics Cegid Public, acteur majeur de la transformation numérique et éditeur de logiciels de gestion et de services cloud, dévoile un nouveau module décisionnel de gestion des effectifs dédié au secteur public. Pensé pour analyser et anticiper les transformations organisationnelles des organismes publics, cette nouvelle offre, dénommée Intelligence Effectifs, facilite le pilotage des Directeurs de Ressources Humaines et Directeur Généraux des Services, grâce à des indicateurs visuels, dynamiques , simples et pertinents relatifs à la gestion des effectifs. Le pilotage des effectifs, enjeu majeur des organismes publics A l’heure où la transformation numérique impacte tous les secteurs professionnels, le service public voit, lui aussi, les métiers de ses agents évoluer.

Cette réalité fait de la mobilité des effectifs une priorité majeure pour les responsables des ressources humaines. Jusqu'où ira Netsuite en France ? Comme la plupart des éditeurs d'ERP, Netsuite propose des "success stories" sur son site Web (américain). Elles sont classées par secteur d'activité, par domaine fonctionnel ou par géographie. Mais ce que ne font pas la plupart de ses concurrents, c'est les classer par "application remplacée" : Epicor, Microsoft, MYOB (Mind Your Own Business : un éditeur australien), Oracle, Quickbooks, Sage et SAP font partie de cette liste de "win-back".

Car Netsuite est très agressif et très présent dans de nombreux pays : jusqu'ici, la France, où l'éditeur n'était pas représenté, faisait figure d'exception. Pourtant, parmi les 24 000 entreprises et filiales qui s'appuient aujourd'hui sur Netsuite pour gérer des processus stratégiques complexes dans le cloud, il y en a déjà 170 françaises, dont Mazars ou Peopledoc. Netsuite a été créée en 1998 et propose depuis toujours des solutions ERP, de CRM et de commerce électronique dans le cloud. Une filiale dédiée La solution Le marché L'écosystème Benoît Herr. Qu'est-ce que SAP HANA ? | Technologie In-Memory et analytique en temps réel. SAP ajoute des micro-services à Hana 2. Parmi les nouveautés annoncées avec Hana 2 sur son TechEd de Barcelone, SAP a présenté le service de données spatiales développé avec l'ESA.

La base de données en mémoire de SAP passe à la 2ème génération. Pour traiter des tâches générant des lectures intensives, Hana 2 permet notamment de recourir à des systèmes utilisés jusque-là pour la réplication. Les outils analytiques ont été complétés et la plateforme hybris as a service, dénommée YaaS, permet de développer des services métiers sur une architecture de micro-services. SAP vient d’annoncer SAP Hana 2 à l’occasion de sa conférence TechEd 2016 à Barcelone (du 8 au 10 novembre). Avec la 2ème génération de sa base de données en mémoire, qui doit être livrée le 30 novembre, l’éditeur dit apporter une fondation pour la transformation numérique.

Il propose en complément, à travers sa marketplace YaaS (hybris as a service), l’accès aux modèles de programmation de son offre hybris. Un service d'analyse spatiale co-développé avec l'ESA. SAP ajoute des micro-services à Hana 2. Sapphire Now 2016 : SAP et Microsoft intègrent HANA dans Azure. Sur Sapphire Now 2016 (à Orlando, du 17 au 19 mai), les CEO Bill McDermott et Satya Nadella ont exposé le renforcement de leur partenariat.

(crédit : SAP) L'union fait la force. Sur Sapphire Now 2016, SAP et Microsoft ont expliqué comment ils comptaient renforcer l'adoption de leurs offres cloud parmi leurs utilisateurs respectifs. Les deux fournisseurs supportent maintenant le déploiement de S/4 HANA sur Azure et en profitent pour intégrer les offres SaaS de SAP avec Office 365 et embarquer dans les apps Fiori les fonctions MDM et de sécurité d'Intune. La collaboration entre SAP et Microsoft ne date pas d’hier, mais elle se ravive fortement avec les nouveautés présentées par leur deux CEO, Bill McDermott et Satya Nadella, sur la conférence Sapphire Now (à Orlando, du 17 au 19 mai). Quant aux intégrations prévues entre les applications SAP et Office 365, elles permettront d’éviter les va et vient entre les logiciels cloud.

Annuels SAP 2015 : Les ventes cloud ont doublé en un an. Dans un communiqué, Bill McDermott, CEO de SAP, souligne que SAP a dépassé ses prévisions en 2015 sur ses ventes cloud. (crédit : SAP SE) L'éditeur allemand d'applications d'entreprise SAP a poursuivi sa mue vers le cloud en 2015. Ses abonnements et support cloud ont pesé 13,3% de son chiffre d'affaires total, ce dernier s'élèvant à 20,80 milliards d'euros sur l'année, soit une progression de 18%. Sa marge opérationnelle calculée aux normes IFRS a en revanche baissé de 2%. Dix jours avant de présenter en détail son exercice fiscal pour 2015, SAP a déjà montré, via ses résultats préliminaires, qu’il avait réalisé une bonne année sur ses ventes de logiciels. Au 4e trimestre, il a engrangé 630 M€ sur le cloud, soit 81% de plus que l’an dernier à même époque.

Le chiffre d’affaires total de SAP s’élève à 6,35 Md€ (IFRS) sur le dernier trimestre, en progression de 16%, et de 20,80 Md€ sur l’année 2015, en hausse de 18%. Oracle Cloud Platform, pour anticiper l’expansion des PME - Digitools.io. Oracle propose des solutions de Cloud Computing de type PaaS et IaaS complètes pour les PME en pleine transformation afin de faciliter leur développement dans un environnement toujours plus exigeant. Quels sont les avantages et les inconvénients des solutions PaaS et IaaS ? Les services Cloud se décomposent en trois types d’offres « As A Services ».

Oracle se positionne sur le IaaS et le PaaS pour répondre aux besoins des PME. PaaS (Plateform as a Service) Ce service fournit une plateforme informatique et un environnement de développement (Serveur, OS et logiciels) accessible via un navigateur web. De plus, l’entreprise n’a pas à se préoccuper des mises à jour au niveau de la plateforme. Ce type de service est particulièrement adapté pour les entreprises orientées développement applicatif avec une forte capacité d’évolution et un coût proportionnel aux ressources utilisées.

IaaS (Infrastructure as a Service) Le périmètre technique de la solution « Oracle Cloud Platform » En savoir plus. Le Cloud en moteur des résultats d’Oracle. Oracle vient de livrer les résultats de son dernier trimestre d’activité. La société rate les objectifs des analystes sur le chiffre d’affaires, mais les bat – de peu – sur le bénéfice par action. Le chiffre d’affaires se fixe ainsi à 9,03 milliards de dollars, contre 9,11 milliards de dollars attendus par les investisseurs. Un CA stable sur un an. Pas de croissance donc pour Oracle. Le bénéfice net perd du terrain à 2 milliards de dollars. Soit un recul de 8 % sur un an. Tout ceci vaut à l’action de perdre 2,15 % dans les échanges hors séance (à 39,98 dollars), à l’heure où nous écrivons ces lignes. Les activités historiques de la firme cèdent toutes du terrain. Bonne nouvelle, les activités Cloud sont en très forte hausse et arrivent donc à compenser les baisses constatées sur les autres branches d’activité.

À lire aussi :10 questions sur Oracle (quiz)Résultats : Oracle soutenu par ses activités CloudOracle corrige les failles de ses produits… et de Java. Le défi que lance Oracle à Amazon dans le cloud a tout du coup de bluff. "Nous sommes prêts à concurrencer Amazon Web Services en prix", a lancé un Larry Ellison, qui n’a décidement pas froid aux yeux. Le cofondateur, président exécutif et CTO d’Oracle a en effet décidé de déclarer la guerre à Amazon dans le cloud. Fin juin, il a lui-même présenté une vingtaine de nouveaux services d’informatique à la demande dans les segments de plateforme (PaaS pour Platform as service) et d’infrastructure (IaaS pour Infrastructure as a service), largement dominés aujourd’hui par Amazon Web Services, le bras armé d’Amazon dans le cloud computing.

Objectif: tailler des croupières au leader du marché en cassant les prix comme le fait Google depuis mars 2014. C‘est du moins ce qu‘il espère. "Notre service d’archivage de données offre les mêmes fonctionnalités que le service Glacier d’Amazon Web Services pour un prix 10 fois inférieur", vante t-il. Des chiffres dans le cloud gonflés Pas de vrai cloud chez Oracle, selon Forrester Que Jeff Bezos, le patron d’Amazon, se rassure. Comment Oracle incite ses clients à basculer vers le cloud. Depuis un an, Oracle met les bouchées doubles pour promouvoir ses solutions SaaS, PaaS et IaaS. Le but : accélérer la migration des logiciels installés sur site vers le nuage. Ses derniers résultats financiers l'ont montré. Oracle a adopté une stratégie résolument tournée vers le cloud. Sur son exercice fiscal clos fin mai, le groupe IT américain enregistre 10% de son chiffre d'affaires dans ce domaine, soit 2,9 milliards de dollars.

Au sein de cette somme, le SaaS (Software as a Service) et le PaaS (Platform as a Service) représentent 2,2 milliards de dollars, en progression de 52% sur un an, et le cloud public d'infrastructure (IaaS) 640 millions (+11%). Cap sur les 10 milliards de dollars de chiffre d'affaires tirés du SaaS et du PaaS Et ce n'est qu'un début, Larry Ellison, fondateur d'Oracle, a récemment déclaré que son entreprise pourrait être la première à atteindre le seuil symbolique des 10 milliards de dollars de chiffre d'affaires annuel tirés du SaaS et du PaaS.

Le défi que lance Oracle à Amazon dans le cloud a tout du coup de bluff. Comment Oracle incite ses clients à basculer vers le cloud. Workday : la gestion de la paie arrive en France. Le pure-player du SaaS californien a adapté sa solution de gestion de la paie aux spécificités françaises. Ses cibles : Oracle, SAP, et les entreprises de plus de 1000 salariés. Workday avance ses pions en France. L'entreprise californienne, redoutée par Oracle et SAP, ajoute une corde à son arc en complétant son offre logicielle dans l'Hexagone.

Sa solution Payroll, dédiée à la gestion de la paie, a été adaptée aux spécificités françaises, et débarque en France. Il s'agit évidemment d'une solution Cloud, facturée à l'utilisateur et au mois, comme toutes les autres solutions de cet éditeur qui est un pure-player du SaaS. Workday Payroll existait déjà aux Etats-Unis, au Canada et au Royaume-Uni, et une équipe française a pu développer, traduire et adapter la solution aux spécificités françaises. Une partie du développement a été réalisée en France : sur la cinquantaine de salariés que compte aujourd'hui Workday en France, une quinzaine participaient, à la fin, au développement.