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Du 30 mars au 12 mai 2011 : après la chute du gouvernement

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Face à une "conspiration", discours de Bachar al-Assad. Il ne s'est cependant pas engagé à mettre en oeuvre des réformes majeures pour calmer la contestation sans précédent depuis son arrivée au pouvoir en 2000. Bachar al-Assad, qui a prévenu que la Syrie traversait "un moment exceptionnel qui apparaît comme un test de notre unité", a estimé que les ennemis du pays avaient profité de la situation pour semer le chaos. "Cette conspiration est différente sur la forme et sur le moment choisi de ce qui se passe ailleurs dans le monde arabe", a-t-il estimé. "La Syrie n'est pas isolée de la région (...) mais nous ne sommes pas une copie des autres pays", a-t-il estimé lors de son intervention retransmise à la télévision "Nous sommes totalement favorables à des réformes. C'est le devoir de l'Etat. Ses propos ont été accueillis par des ovations des députés qui ont scandé "par notre sang, par notre âme, nous nous sacrifierons pour toi Bachar".

Belga. Assad ne s'engage pas sur la mise en oeuvre de réformes. International Le président syrien Bachar al-Assad s'est adressé mercredi à la nation sans s'engager sur la mise en oeuvre de réformes majeures pour calmer la contestation sans précédent depuis son arrivée au pouvoir en 2000. Cette première intervention publique depuis le début des manifestations le 15 mars, intervient au lendemain de la démission du gouvernement de Mohammad Naji Otri, en place depuis 2003.

"C'est un moment exceptionnel qui apparaît comme un test de notre unité", a-t-il dit en commençant son intervention retransmise à la télévision. "Je sais que les Syriens attendent ce discours depuis la semaine dernière, mais je voulais attendre d'avoir une image complète de la situation... afin d'éviter de tenir des propos émotionnels qui auraient peut-être apaisé les gens, mais n'auraient pas eu d'effet concret au moment où nos ennemis visent la Syrie".

Il a été accueilli par une ovation des députés qui ont scandé "par notre sang, par notre âme, nous nous sacrifierons pour toi Bachar". Comité juridique pour étudier l'abolition de la loi d'urgence. Syrie: pas d'abolition immédiate de la loi d'urgence, violences à Lattaquié. International Le président syrien Bachar al-Assad a chargé jeudi un comité de rédiger une législation pour remplacer la loi d'urgence, repoussant donc son abrogation, alors que des militants des droits de l'Homme faisaient état de nouvelles violences meurtrières la veille à Lattaquié (nord).

Lors de sa première intervention publique depuis le début du mouvement de contestation sans précédent en Syrie le 15 mars, le président Assad n'a annoncé mercredi aucune réforme, notamment l'abrogation de la loi d'urgence, la principale revendication des protestataires qui, furieux, ont appelé à de nouvelles manifestations vendredi. Sa principale conseillère avait pourtant indiqué dimanche que la décision d'abroger la loi d'urgence avait été prise.

M. Assad a donné jusqu'au 25 avril à un comité juridique pour rédiger une nouvelle législation qui remplacera la loi d'urgence en vigueur depuis près d'un demi-siècle, a indiqué jeudi l'agence de presse officielle Sana. SYRIE • Toujours la même chanson. Le discours du président syrien Bachar El-Assad devant le Parlement, le 30 mars, a déçu tous ceux qui espéraient l'annonce de profondes réformes.

La blogueuse libanaise Angie Nassar exprime, avec un rien de cynisme, la lassitude des Arabes face à ces discours creux. 31 mars 2011 | Partager : D'un point de vue technique et visuel, le discours de Bachar Al-Assad (le dictateur du moment en difficulté) était plutôt réussi : clarté rhétorique (par opposition au charabia de Kadhafi), et bonne maîtrise de l'image et des outils de communication. Aux moments les plus mélodramatiques du discours, les caméras zoomaient avec un sens de la mise en scène presque parfait sur les députés qui manifestaient bruyamment leur déférence et leur soutien à Bachar Al-Assad.

Pour certains, la démence consiste à faire toujours les mêmes choses en espérant obtenir des résultats différents. Comme d'autres dictateurs avant lui, le Président Bachar : accuse Israël de tous les maux promet de nommer un nouveau gouvernement. Syrie : manifestations après la prière pour le "vendredi des martyrs" Dans ce même quartier mercredi, la police était intervenue contre une manifestation pacifique, faisant quatre ou cinq morts selon un militant politique de la ville, et 25 selon le Comité syrien de droits de l'Homme (CSDH), une organisation syrienne des droits de l'Homme basée à Londres et proche des Frères musulmans. A Damas, plusieurs centaines de manifestants ont affirmé s'être enfermés vendredi dans une mosquée du centre-ville où ils scandaient "Liberté, liberté" alors que les forces de sécurité tentaient de forcer la porte d'entrée.

Des journalistes de l'AFP qui se sont rendus sur place ont vu des manifestants favorables au régime sur la place en face de la mosquée. Les opposants avaient appelé à des manifestations dans toute la Syrie, déçus par les mesures annoncées par le président Bachar al-Assad pour tenter de calmer le mouvement de protestation sans précédent depuis deux semaines. "Conspiration" Appel sur Facebook. Funérailles à Douma, appels à des journées de mobilisation. Par ailleurs, le président Bachar al-Assad a nommé le ministre sortant de l'Agriculture Adel Safar pour diriger le nouveau gouvernement, tandis qu'Internet a été coupé pendant plus de six heures et que les communications par le téléphone portable étaient très difficiles en raison, officiellement, d'une "congestion" du réseau.

"Les gens sont très tristes", a affirmé à l'AFP un résident de Douma, ville de 110 000 habitants située dans la grande banlieue de Damas. Les magasins étaient fermés et aucune présence policière n'était visible pour éviter de nouveaux affrontements. Des organisations des droits de l'Homme ont accusé les forces de sécurité de la mort des manifestants mais les autorités parlent d'une "bande armée qui a tiré sur les civils et les militaires à partir de toits et de motos". La militante des droits de l'Homme Souheir Atassi, arrêtée le 16 mars lors d'une manifestation à Damas appelant à la libération de détenus politiques, a été libérée, a annoncé un avocat. Nouveau gouverneur à Deraa, épicentre de la contestation. Mohammad Khaled al-Hanousse a prêté serment devant le président Bachar al-Assad, selon l'agence. L'ancien gouverneur Fayçal Kalthoum, honni par la population de Deraa, avait été limogé par un décret présidentiel le 23 mars, et sa résidence avait été brûlée, au plus fort des manifestations anti-régime qui s'étaient soldées par des dizaines de morts.

"Ce n'est pas un changement de gouverneur que désirent les habitants de Deraa mais que les services de sécurité cessent d'opprimer, que la loi d'urgence soit abolie, que les droits de propriété soient respectés, que les détenus soient libérés et que la liberté d'expression soit assurée", a affirmé à l'AFP un militant des droits de l'Homme. Dans cette région agricole limitrophe de la Jordanie, les habitants reprochaient à l'ancien gouverneur de différer l'acquisition des titres de propriété et d'empêcher les agriculteurs de forer des puits pour l'irrigation.

"le régime d'al-Assad va céder et le changement sera pacifique" 13 personnes tuées à Deraa par les forces de sécurité. A Deraa, une ville à 100 km au sud de Damas qui est l'épicentre du mouvement de contestation depuis trois semaines, des manifestants ont été tués par les forces de sécurité, a indiqué à l'AFP un militant des droits de l'Homme. "Des milliers de manifestants sont sortis de trois mosquées pour se rassembler sur la place devant le palais de justice", a-t-il affirmé à l'AFP. "La situation est très tendue. Les forces de sécurité en civil ont tiré d'abord des grenades lacrymogènes pour essayer de les disperser puis des balles réelles et caoutchoutées alors que les manifestants leur lancent des pierres.

Les affrontements se poursuivent", a-t-il ajouté. Des affrontements entre manifestants et forces de sécurité ont également eu lieu à Homs, à 160 km au nord de Damas, et à Harasta, à 12 km au nord de la capitale, a indiqué à l'AFP Abdel Karim Rihaoui, qui dirige la Ligue syrienne de défense des droits de l'Homme. Il n'a pas été en mesure de dire s'il y avait des victimes. Syrie : la propagande se multiplie comme les petits pains. Pain syrien (Hala Gorani, CNN) La propagande par le pain ! C’est sans doute une première mondiale : en ces temps de contestation du pouvoir du président syrien Bachar El-Assad, les responsables de la propagande ont contre-attaqué en glissant un message de soutien au leader syrien dans les sachets en plastique qui enveloppent le pain vendu à Damas.

Le message non signé est une déclaration d’amour au fils du fondateur de la dynastie Assad : « Nous sommes tous la Syrie. La nation est plus grande que la discorde. La Syrie est notre religion. La sécurité et la stabilité [mot illisible]. Sur Twitter, @sapiensprod ironise, mais n’a pas envie d’en rire : « Les matches du championnat de foot ont été annulés en #Syrie et maintenant, la propagande sur le pain. D’après Jillian C. Photo tweetée par Hala Gorani, correspondante de CNN. Les forces de sécurité tirent sur la foule à Deraa. La peur de la répression et du chaos limite la contestation. Depuis le 15 mars, date du début de la contestation du régime, ni Damas ni Alep, la deuxième ville du pays, n'ont bougé, et les protestations n'ont pas pris l'ampleur de celles d'autre pays comme l'Egypte ou la Tunisie.

Elles se concentrent dans le gouvernorat agricole de Deraa (sud), la cité industrielle de Homs, à Douma, une banlieue conservatrice au nord de Damas, ainsi que dans les régions à majorité kurde du nord pour des revendications spécifiques. Vingt-six personnes ont été tuées samedi à Deraa dans le sud de la Syrie lorsque les forces de l'ordre ont tiré sur les manifestants pour les disperser, et deux dans le gouvernorat de Homs, ont indiqué dimanche des ONG syriennes et kurdes. Deux autres personnes ont été tuées samedi dans le gouvernorat de Homs, dans le centre-ouest de la Syrie, par les tirs des forces de l'ordre, ont-elles ajouté sans préciser la localité où les violences se sont produites. FRANCE 24 - "Le régime syrien n’est pas aussi fort qu’on ne le croit" L'armée assiège Banias après des affrontements meurtriers. L'armée encercle Banias autour de laquelle 17 chars ont été déployés, et l’électricité est coupée dans cette ville côtière à 280 km au nord ouest de Damas, a indiqué le militant.

"L’armée tire épisodiquement pour provoquer les gens afin qu'ils ripostent mais aucun manifestant n’a tiré", a ajouté le militant qui a requis l'anonymat. Selon lui, "des appels depuis les minarets des mosquées exhortent l’armée à cesser ses tirs" à Banias. "Trois soldats ont essayé de rallier les manifestants après avoir refusé de tirer mais leurs supérieurs leur ont tiré dessus et ils ont été blessés", a encore ajouté le militant des droits de l'Homme. Dimanche, les forces de sécurité ont ouvert le feu à Banias faisant au moins quatre morts, ont indiqué des témoins à l'AFP.

De son côté le militant des droits de l'homme, Abdel Karim Rihaoui a déclaré à l'AFP que les funérailles de quatre personnes tuées dimanche s'étaient déroulées lundi matin à Banias. Libération de 190 personnes arrêtées récemment à Douma. Un nouveau gouvernement formé. Formation d'un nouveau gouvernement. Des dizaines de milliers de manifestants pour la liberté. "Entre 2500 et 3000 personnes manifestent sur la place al-Saraya dans le centre de Deraa en scandant des slogans en faveur de la liberté et hostiles au régime", a affirmé à l'AFP un militant des droits de l'Homme sous couvert de l'anonymat, en référence à cette ville située à 100 km au sud de Damas où a débuté la contestation. Les forces de sécurité n'étaient pas intervenues en milieu de journée. Des manifestations ont également eu lieu dans les localités de Qamishli, Raas al-Aïn, Amouda, Derbassiyé, Homs, Lattaqui ou encore Barzé.

Ces nouvelles manifestations, auxquelles avaient appelé les contestataires sur Facebook, interviennent au lendemain de la formation d'un nouveau gouvernement. Ce cabinet dirigé par Adel Safar a pour tâche de mener un programme de réformes comprenant notamment la levée de la loi d'urgence, en vigueur depuis 1963, la libéralisation de la presse et l'instauration du pluralisme politique, autant de mesures réclamées par les manifestants. Belga. Bachar al-Assad va s'exprimer devant le nouveau gouvernement.

"Le président Assad va présider la première séance du Conseil des ministres aujourd'hui et il prononcera un discours devant les membres du gouvernement", a-t-on ajouté de même source. Il a précisé que le discours serait diffusé à la télévision "dans l'après-midi". Le président Assad s'était exprimé devant le Parlement le 30 mars, deux semaines après le début du mouvement de contestation sans précédent du régime, qui a répondu par une brutale répression. Il avait alors dénoncé une "conspiration" contre son pays, mais était resté muet sur la levée de l'état d'urgence en vigueur depuis 1963, une des mesures réclamées par les manifestants.

Un nouveau gouvernement a été formé jeudi en Syrie, avec pour tâche d'entreprendre un programme de réformes, alors que le régime fait face à une vague de contestation sans précédent. La loi d'urgence sera abolie dans une semaine maximum. Nouveaux appels à manifester après les promesses du président. "Le peuple syrien a défini son objectif. Le jour de l'indépendance, c'est le jour de la liberté dans tous les gouvernorats", ont affirmé sur une page Facebook les organisateurs des manifestations, le jour du 65e anniversaire de l'indépendance du pays. Dès samedi soir, un sit-in avait rassemblé quelque 2000 personnes à Douma, à 15 km au nord de Damas, pour réclamer la libération de proches ayant été interpellés la veille, selon le président de la Ligue syrienne des droits de l'Homme, Abdel Karim Rihaoui.

L'agence officielle Sana a aussi fait état de 2000 manifestants à Deraa, où a débuté la contestation, scandant des slogans pour la liberté et la levée de la loi d'urgence. Dans sa première intervention publique depuis le début de la contestation, le président Bachar al-Assad a annoncé que la commission juridique sur la loi d'urgence avait "élaboré une série de propositions en vue d'une nouvelle législation.

Belga. 4 personnes tuées par les forces de sécurité près de Homs. SYRIE • La répression brutale renforce la contestation. Les manifestations du 17 avril et les affrontements sanglants avec les forces de l'ordre, au lendemain des promesses de réformes annoncées par le président Bachar El-Assad, montrent que le régime a perdu toute crédibilité, souligne le quotidien libanais L'Orient-Le Jour. Est-il déjà trop tard ? Trop tard pour calmer le jeu, pour rétablir les ponts coupés, une confiance ébranlée parce que fondée sur des mensonges répétés ? De toute évidence, les promesses que Bachar El-Assad a faites solennellement le 16 avril ne suffisent plus, ne convainquent plus.

Rien n'a été dit sur la nécessité d'une loi sur le multipartisme qui abolirait l'exclusivité dont se prévaut le parti Baas et mettrait un terme à la corruption générée par le monopole du parti unique. Pour Bachar El-Assad, cette question est, bien sûr, trop délicate pour être réglée dans l'immédiat "l'avenir du pays devant en dépendre". Quid de la Syrie ? La contestation s'amplifie, au moins onze morts. FRANCE 24 - Au moins sept morts dans des manifestations contre Bachar al-Assad. La contestation prend de l'ampleur. Le gouvernement approuve la levée de l'état d'urgence.

Le régime s'assouplit mais réprime les manifestations. Les islamistes sont dans le mouvement mais pas à sa tête. Le président Bachar al-Assad lève l'état d'urgence. Syrie: Assad promulgue un décret pour la levée de l'état d'urgence. SYRIE • Appel à manifester pour le vendredi saint. Un appel à manifester en Syrie sur Facebook. Au moins 30 morts dans les manifestations. Une quarantaine de morts dans les manifestations en Syrie. Près de 40 morts lors des manifestations en Syrie. Plus de 70 morts dans les manifestations. Barack Obama condamne les répressions sanglantes en Syrie. Plus de 80 morts lors des manifestations. Répression sanglante en Syrie: condamnation unanime à l'étranger. Un militant des droits de l'Homme libéré. Syrie: vague d'arrestations, nouvelle journée de funérailles.

La Syrie ferme sa frontière avec la Jordanie. G. Verhofstadt veut traduire le président syrien el-Assad en justice. Un reporter franco-algérien détenu en Syrie depuis le 9 avril. L'ONU "réfléchit" à envoyer une mission dans le pays. La communauté internationale hausse le ton. Le pouvoir syrien ne lâchera pas, selon Jacques Rifflet (ULB) Des centaines de Syriens fuient à pied pour le Liban voisin. Londres: l'ambassadeur de Syrie n'est plus invité au mariage. Pas d'accord au Conseil de sécurité, malgré 450 victimes. Des milliers de manifestants, des dizaines de morts. Nouvelles violences meurtrières, vers des sanctions européennes. 7 morts à Deraa, nouvelles manifestations ce dimanche. Les violences contre les manifestants se poursuivent.

Nouvelles arrestations, ultimatum aux manifestants. Les Etats-Unis accusent le régime syrien de "barbarie" à Deraa. Les Etats-Unis accusent le régime syrien de "barbarie" à Deraa. Répression de plus en plus dure des manifestations. Répression dénoncée, les opposants poursuivent les manifestations. En Syrie, le soutien zélé de la génération Bachar au régime | Rue89. Plus de 300 arrestations à Saqba, l'armée va quitter Deraa. Les opposants appellent à un "Vendredi du défi" Vendredi sanglant en Syrie. Six manifestants auraient été tués à Banias. Des opposants proposent des élections libres dans 6 mois.

SYRIE • Damas en perte de vitesse au niveau régional. Mes quinze minutes de manif en Syrie, encerclé par la police. L'UE adopte des sanctions et un embargo sur les armes dès mardi. Le frère du président al-Assad sanctionné par les Européens. Le président durcit la répression, l'Europe prend des sanctions. L'armée pourchasse les opposants, au moins 19 civils tués. L'armée s'attaque aux foyers de la contestation, tirs d'obus à Homs. SYRIE • Traque sanglante des opposants à Homs et Banias. Les Etats-Unis condamnent la "barbarie" du régime syrien. Les arrestations se poursuivent, l'armée contrôle Banias. Les arrestations se multiplient, les femmes dans la rue à Banias. L'armée pénètre à Homs et poursuit ses opérations à Banias. Epreuve de force en Syrie: l'armée intervient à Banias et à Homs. Bachar ou le chaos: propagande tous azimuts du régime syrien. 1000 arrestations en deux jours. SYRIE • Vague d'arrestations dans tout le pays.

En Syrie, c'est aussi la révolte des nouveaux pauvres de Bachar. La situation empire à Deraa, selon un militant. Les Affaires étrangères invitent les Belges à quitter la Syrie. Chars et snipers tuent au moins 25 manifestants à Deraa. International : «Le régime syrien ne veut pas de témoins» Un mort et des blessés à Jableh, selon un militant des droits humains. Au moins 13 morts lors de funérailles, après un vendredi sanglant. Mes étranges vacances en Syrie, où le sang coule en silence. SYRIE • L’état d’urgence est levé. Arrestation à Homs de l'opposant Mahmoud Issa. SYRIE • Les manifestants à Homs demandent la chute du régime. Les USA auraient financé l’opposition syrienne. Manifestations mortelles en Syrie malgré les promesses d’Assad. Syrie, Algérie, Maroc... Des concessions pour calmer la rue. Un nouveau Premier ministre nommé, appel à des journées de mobilisation. Très nombreuses arrestations ce mardi à Baïda et Banias.