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Tunisie: la presse sous influence dénonce les «lubies» des manifestants. Assez de propagande ! de l’information ! » Nawaat de Tunisie - Tunisia. Ministre de l'intérieur, Ahmed Friaa. Comme beaucoup de tunisiens à l’étranger, je suis totalement dépendante des médias pour avoir des informations sur ce qui se passe en Tunisie. Par déformation professionnelle (je suis une ancienne journaliste), j’ai eu tendance, du moins au début, à favoriser les médias traditionnels, télés, radios, presse écrite. N’étant pas sur place, n’ayant d’aucune manière participé à la Révolution Tunisienne (celui qui a inventé l’expression « révolution du jasmin » devrait être exilé, on dirait une pub pour un TO), je ne me suis jamais sentie le droit d’intervenir, de donner mon avis, où seulement de commenter un post. Mais plus je regardais, plus j’écoutais et lisais, en particulier les grandes chaînes françaises et l’inénarrable ex-TV7 repeinte vite fait en rouge et blanc, plus je ressentais un malaise, une inquiétude profonde devant le véritable flot d’images rassurantes et de propos lénifiants qui s’en déverse.

Nawaat : il faudra ”déconstruire la censure” - Tunisie / Internet - Actualités des Médias - FRANCE 2 : toute l’info télévision, presse, radio et autres médias en direct. Un T-shirt Rue89 pour aider les médias libres de Tunisie. Le visuel du T-shirt Rue89 en hommage à la révolution tunisienne C’est un T-shirt un peu spécial que vous propose Rue89 : il célèbre la révolution tunisienne en cours, et servira à aider – modestement – à la création de médias libres dans la Tunisie post-Ben Ali. Rue89 a l’habitude de produire des T-shirts liés à l’actualité, comme « Rue89 : Cécilia adore » (dépassé par l’actualité rose du Palais), « (il ne faut pas dire) Casse toi pov con » ; ou encore « Sauvez le foot, cassez une vuvuzela » lors de la dernière Coupe du monde de foot. Cette fois encore, nous avons voulu exprimer en T-shirt et en mug la sympathie et l’enthousiasme que nous a inspiré le soulèvement réussi du peuple tunisien contre la dictature, et sa tentative, inachevée, d’instaurer la liberté et la démocratie dans ce pays qui nous fait face de l’autre côté de la Méditerranée.

Une démocratie en cours de chargement. Les journalistes entrent peu à peu dans l'ère de la liberté de la presse. Tunisie: sous le clavier, la liberté. Vitrine du régime Ben Ali, le quotidien “La Presse” est aujourd’hui l’un des porte- parole de la révolution. Mais la conquête de la liberté ne se fait pas sans difficulté. Reportage Envoyé spécial en Tunisie {*style:<i> n a l’impression de n’avoir rien fait pendant vingt-trois ans Sauf pour les enfants. Mais pour le journal, on n’est pas fier" </i>*}, confesse l’une des secrétaires de rédaction, les yeux rongés par la tristesse et les regrets. , souffle-t-elle encore, la tête basse, alors qu’en ce vendredi (dernier) débute un deuil national de trois jours en hommage aux victimes de la révolution de jasmin.

. , raconte Tahar Ayachi, un journaliste retraité toujours actif dans la maison. Aujourd’hui, la liberté est enfin sous le clavier, en phase avec la pensée. Dans le couloir, des voix tonnent. , traduit son collègue Mongi Gharbi. Faire de la place aux jeunes, Mongi Gharbi est bien d’accord là-dessus. Le patron d'une chaîne privée proche de Ben Ali a été arrêté pour trahison. Tunisie: sit-in des journalistes et employés de l’AT. Tunisie : un journaliste dénonce « les sales plumes » de la presse.

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Les documents s’empilaient à n’en plus finir sur sa tablette : notre passeport, l’itinéraire précis du voyage et du séjour, le billet du retour, l’invitation à participer aux Tribunes de la presse d’Arcachon [organisées par Courrier international, du 30 septembre au 2 octobre], notre nom imprimé sur le programme de la manifestation qui veut croiser les expériences des journalistes ­des quatre coins du monde autour de l’actualité internationale… Des sans-papiers ? Nous n’en avions point l’apparence, mais nous en portions… la nationalité ! “Et votre certificat d’hébergement ? — Je n’en ai pas. “Il faudrait quitter la file et attendre à côté, madame. MEDIAS • L’information “made in Tunis” Sur la Toile, une équipe de jeunes traduit l’actualité tunisienne pour la diffuser en langue anglaise. Une première dans ce pays arabe traditionnellement francophone.

Il est 9 heures. Au bureau de Tunisia Live, un nouveau site d'actualités tunisien, le rédacteur Rabii Kalboussi en est à la moitié de son premier article de la journée. Il est assis à une table avec cinq autres journalistes, qui sélectionnent des articles dans d'autres médias locaux. "Mon premier papier d'aujourd'hui [...] porte sur une conférence sur le processus électoral, dit-il. Je lis l'article, puis je le traduis de l'arabe et je le reformule en tenant compte de l'audience anglophone de Tunisia Live. " Rabii, 23 ans, et ses collègues sont jeunes, inexpérimentés et ont un budget très serré.

Sadok Ayari, 26 ans, fait partie des premières recrues. Selon Zied, c'est surtout l'expérience pratique qui manque aux jeunes rédacteurs de Tunisia Live. Asma est assise à une table avec Sadok et leur collègue Malak Somai, 26 ans. Liberté de la presse : Ennahdha dans les pas du RCD de Ben Ali | Tunisie libre. Des journalistes manifestent à la Kasbah contre les nominations dans le service public, le 9 janvier 2012 (Thierry Brésillon) Ennahdha vient de perdre une belle occasion de démontrer son respect de l’indépendance des médias. Samedi soir, une dépêche annonçait que le Premier ministre Hamadi Jbali avait nommé, sans aucune concertation préalable, les nouveaux directeurs des médias publics : agence de presse TAP, Tunis-Afrique-Presse : Mohamed Taïeb Youssefi ; Snipe – Société nouvelle d’impression, de presse et d’édition –, les quotidiens La Presse et Essahafa : Mohamed Néjib Ouerghi ; Télévision tunisienne : Adnane Kheder ; Télévision Tunisienne 1 : Sadok Bouabbène ; Télévision Tunisienne 2 : Imène Bahroun.

Les rédacteurs en chef des deux quotidiens publics : La Presse : Faouzia Mezzi et Mongi Gharbi ; Essahafa : Néji Abbassi. Le directeur de l’information de la Télévision tunisienne : Saïd Khezami. « Un oukaze politique » « Des agents de la propagande de Ben Ali » Ridha Kéfi commente : TUNISIE • La presse subit les dérives autoritaires du nouveau pouvoir. D'abord, un rappel à l'ordre au Premier ministre, Hamadi Jebali, et à sa mouvance [le parti Ennahda, islamiste] et, même, plus loin, à ceux qui lui servent de caution, à la tête de l'Etat et de l'Assemblée constituante [Moncef Marzouki, Congrès pour la République, et Moustapha Ben Jaafar, Ettakatol, deux partis de gauche et laïcs].

Ni les uns, ni les autres n'ont directement contribué à la révolution dans le pays, même si nul ne songerait à nier leur combat passé qui ne leur confère a priori aucun certificat de "bonne conduite démocratique". Mais avoir reçu des coups de matraque de la police de Ben Ali ne suffit pas à acquérir la qualité de démocrate. Ce sont les actes actuellement appliqués qui permettront d'en juger. Cette mauvaise humeur est accentuée par les profondes frustrations laissées par l'exercice passé de la politique. De très "mauvaises habitudes" subsistent et il faudra sans doute du temps pour déshabituer le pays ; gouvernants, journalistes et citoyens.

Tunisie : Nessma TV, symbole ambigu pour un procès test | Tunisie libre. Manifestation anti-Nessma à Tunis, le 14 octobre. (Thierry Brésillon) Ce lundi, l’affaire de la diffusion de Persepolis, le 7 octobre dernier, reviendra (après un premier report début novembre) devant le tribunal correctionnel de Tunis. La polémique déclenchée par quelques séquences durant laquelle la petite fille, héroïne du film, s’adresse à Dieu, a donné lieu à une poursuite judiciaire pour « atteinte aux valeurs du sacré, atteinte aux bonnes mœurs et trouble à l’ordre public » contre Nabil Karoui, directeur de la chaine Nessma, la responsable de la traduction du film en arabe dialectal, ainsi que le responsable du visionnage.

Les peines encourues peuvent aller jusqu’à cinq ans de prison. Le Procureur adjoint de Tunis, chargé des affaires de presse qui avait pris l’initiative d’ouvrir une enquête dès le lendemain de la diffusion, n’a été ému par aucune des incitations à la violence ou les innombrables diffamations qui prolifèrent notamment sur les réseaux sociaux depuis un an. Tunisie : une photo de nu envoie trois journalistes en prison | Rue89 Sport. Jeudi, 16 Février 2012, 11:07 | Sihem Balhi (actualisé) Une photo qui coûte très cher. Trois journalistes du quotidien arabophone « Ettounissia » ont été arrêtés mercredi par le ministère public pour avoir publié une photo jugée contraire à la morale et portant atteinte aux bonnes mœurs. Le directeur du journal, le rédacteur en chef et un journaliste risquent jusqu'à cinq ans de prison.

Objet de l'arrestation ? La douche froide après une Une chaude. Selon le code pénal tunisien, les prévenus risquent une peine de 6 mois à 5 ans et d’une amende allant de 200 à 1.200 dinars. Objet de la colère du ministère public ? Le 51ème numéro d’« Ettounissia » qui reprend en Une la photo montrant le footballeur du Real Madrid, Sami Khedira (d’origine tunisienne) posant avec sa compagne, Lena Gercke, mannequin et présentatrice télé, topless mais les seins cachés par le bras de son mari. Une vedette du Real Madrid avec sa compagne topless Rassemblement de journalistes « Vraiment ça fait rire! Tunisie : le corps féminin, nouveau champ de bataille | Tunisie libre. La une du quotidien Ettounsiya du 15 février Incarcéré depuis mercredi, Nassreddine Ben Saïda, directeur de la rédaction du quotidien Ettounsiya, a entamé samedi une grève de la faim. Il est inculpé pour avoir publié une image [voir ci-contre] du footballeur d’origine tunisienne Sami Khedira (Real de Madrid) et de sa femme mannequin, Lena Gercke.

Les photographes auront d’abord repéré la violation flagrante du copyright, péché véniel mais coutumier de la presse tunisienne. Mais bien entendu le scandale n’est pas là. Le plus préoccupant est la transgression des limites censées garantir la liberté de la presse dans la Tunisie post-dictature. Un scandale juridique Le motif d’inculpation retenu est l’atteinte aux bonnes mœurs et le trouble à l’ordre public en vertu de l’article 121 ter du code pénal. Un scandale juridique puisque, rappelle Reporter sans frontières : Par ailleurs, précise Mustafa Ben Letaief, professeur de droit et l’un des rédacteurs du nouveau code de la presse : Climat anxiogène.

Libération de Nasreddine Ben Saida dans un contexte encore tendu. Nasreddine Ben Saïda, directeur du quotidien arabophone Attounissia, a été condamné, le 8 mars 2012, à verser une amende de 1000 dinars (environ 500 euros) suite à la publication, à la Une du journal, de la photo du footballeur Sami Khedira enlaçant un mannequin dénudée.

Le tribunal de première instance de Tunis a, par ailleurs, ordonné la suppression de cette image sur les numéros saisis le 15 février dernier. « A l’heure où les agressions contre les journalistes se multiplient et restent impunies, ce procès, à caractère inique, est résolument scandaleux. Dans cette affaire, on a, non seulement, vu le parquet porter plainte en se fondant sur un article du code pénal abrogé depuis le 2 mars 2011, et le maintien des charges contre Nasreddine Ben Saïda. Compte tenu de l’importance de l’amende, la peine prononcée à son encontre est symboliquement lourde”, a déclaré Reporters sans frontières, faisant part de son indignation.

Les avocats de la défense ont décidé d’interjeter appel. L’esprit de la nouvelle loi sur la presse doit être préservé. Alors que les procès intentés contre la presse se multiplient et qu’une véritable campagne de discrédit est menée contre les journalistes, Reporters sans frontières rend public son analyse juridique de la loi sur la presse. “Les autorités tunisiennes sont aujourd’hui les garantes de cette loi dont l’esprit libéral doit impérativement être préservé.

Même s’il demeure imparfait, ce texte présente une avancée majeure qui marquera l’histoire de la Tunisie. Il doit constituer un standard minimum de protection. Toutefois, il ne pourra avoir de sens que s’il est défendu par les autorités et s’il s’accompagne d’une réforme en profondeur des systèmes judiciaire et administratif”, a déclaré Reporters sans frontières. Cette synthèse rappelle les différentes étapes du projet de loi et en commente les différents articles. Certains, très positifs, consacrent la liberté d’expression, la répression des exactions contre les journalistes, la transparence, au pluralisme et le secret des sources. Violentes attaques de journalistes par les forces de police : nécessité d’un apaisement des relations. Vers 15 heures, à l’issue de la manifestation organisée à Tunis par l’Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT), le 25 février 2012, les forces de l’ordre ont tiré des grenades lacrymogènes et violemment dispersé les manifestants. Un véritable déchaînement de violences physiques et verbales.

De nombreux journalistes filmant l’assaut ont été directement pris à partie. “Les insultes qui ont été proférées à l’encontre des journalistes et la brutalité avec laquelle certains d’entre eux ont été traités par les forces de police sont sans équivoque et marque le retour des violences policières. Rien n’explique un tel comportement sinon la peur de retrouver, dans les médias, les images d’actes totalement illégitimes. Un tel regain de tension entre les représentants de l’ordre et les professionnels des médias est particulièrement inquiétant. Reporters sans frontières a recensé sept cas d’agressions de journalistes, le 25 février dernier :

La liberté de la presse au coeur de la visite de Rudy Demotte en Tunisie. "Un an après la chute du président Ben Ali, il semble que la situation des médias, en Tunisie, soit toujours problématique. Dans ce contexte, Rudy Demotte souhaite voir lui-même où on en est et apporter son soutien" à ceux qui se battent pour cette liberté, a expliqué la porte-parole du ministre-président.

Cette visite de 2 jours s'inscrit également dans le cadre de la relance de la coopération entre la Tunisie, la Région wallonne et la Fédération Wallonie-Bruxelles, interrompue l'an passé, dans la foulée des événements qui ont secoué la région. "Vu l'évolution positive de la situation politique en Tunisie, le programme de coopération triennal 2012-2014 sera réactivé en mai prochain", a poursuivi la porte-parole.

Rudy Demotte souhaite enfin "assurer" le suivi de sa mission précédente, en mars 2011. Cette année, Rudy Demotte devrait à nouveau s'entretenir avec différents responsables des médias tunisiens. Belga. Tunisie: La nouvelle phase des médias sociaux. Al-Jazeera expulsé d’un meeting politique à Monastir. Lettre ouverte de Reporters sans frontières aux autorités tunisiennes. Procès Nessma: Heureusement le Ridicule ne Tue Pas. Le procès de la chaîne Nessma reporté à une date controversée. Violences devant le siège de la télévision nationale après l’annonce d’une éventuelle privatisation des médias publics. Reporters sans frontières demande le report de la consultation nationale sur le cadre juridique du secteur de l’information en Tunisie.

Diffusion de « Persepolis » en Tunisie : amende pour « atteinte au sacré » La vérité dévoilée de l’affaire Christophe Boltanski. Un flou juridique dangereux pour la liberté de la presse. Les locaux de la chaîne privée El Hiwar Ettounsi attaqués. Freedom of Press and Speech in Tunisia : Back to Black !!! Tunisie : Un journaliste massacré par un Salafiste. Portes closes à l’entrée d’un procès historique : des journalistes et net-citoyens sonnent l’alerte. Les Socialistes et Démocrates au Parlement Européen soutiennent Ramzi Bettibi.

AFRIQUE • A Tunis, la révolution à l’heure de la parole libérée. Tunisie : journalistes malmenés et choc des cultures au congrès Ennahdha | Tunisie libre. Tunisie: le parti islamiste saborde les "Guignols" tunisiens. Empressement à délivrer un mandat de dépôt contre le directeur de la chaîne Attounissia. Nominations dans l’audiovisuel public : Reporters sans frontières reçue par le gouvernement. Liberté de la Presse, Vous avez dit ? Le directeur général du groupe Dar Essabah percute un journaliste : l’urgence d’une enquête. Tunisie : Charlie Hebdo a fait reculer la liberté d’expression | Tunisie libre. Liberté de Presse en Danger : Grève de la Faim à Essabah et Procés contre un Journal à Djerba. En grève pour la liberté de la presse. TUNISIE • Le gouvernement cède à une revendication des journalistes en grève.

Les décrets-lois 115 et 116 : des éclaircissements nécessaires. Emeutes à Siliana, le chaudron social tunisien explose | Tunisie libre. Tunisie : « Les policiers nous ont tiré dans le dos » | Tunisie libre. Lutte contre la corruption : Implication des médias et de la société civile dans la stratégie. Un journaliste de « Sawt achaâb » devant la justice.

Campagne pour la liberté d’expression Nawaat/TMG de l’IFEX, 1-15 mai 2012. Reporters sans frontières a inauguré son bureau en Tunisie. Tunis: le photographe Lucas Dolega de l'agence EPA est décédé. Hommage à Lucas Mebrouk Dolega.