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Du 17 février 2011 au 14 avril 2012

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Bahreïn: 2 morts dans la répression de manifestations antigouvernementales. Des milliers de manifestants étaient rassemblés mardi en fin d'après-midi dans le centre de Manama, certains réclamant un changement de régime. "Le peuple veut la chute du régime", répétaient certains manifestants, reprenant le principal slogan du soulèvement en Egypte. Les manifestants ont afflué après les obsèques de l'un des deux chiites tués à Bahreïn lors de la répression des protestations antigouvernementales qui ont éclaté lundi dans ce petit royaume du Golfe à majorité chiite, gouverné par une dynastie sunnite.

Les manifestants ont commencé à installer des tentes au milieu de la place de la Perle, qu'ils ont rebaptisée "Place des martyrs", et affirmé leur intention d'y demeurer jusqu'à ce qu'ils aient obtenu satisfaction de leurs revendications. "Nous avons appris des leçons de l'Egypte et de la Tunisie. Nous voulons une nouvelle Constitution, la fin de la discrimination, et l'instauration d'une monarchie constitutionnelle", a déclaré l'un des manifestants, Majed Taher, 32 ans. FRANCE 24 - L'opposition chiite suspend sa participation au Parlement. Un vent de fronde se lève sur le Bahreïn. Des manifestants chiites ont passé la nuit installés sous des tentes, à Manama, la capitale de Bahreïn. La place de la Perle, dans le centre de la capitale, a pris des allures de place Tahrir.

Plus 2000 manifestants se sont réunis mardi. Des obsèques sont prévues, ce mercredi, pour un homme tué mardi lors d'affrontements entre les forces de l'ordre et des manifestants, des affrontements survenus à l'occasion des funérailles d'un autre jeune homme, lui-même tué lors de précédents affrontements. La population de Bahreïn est majoritairement chiite mais la famille régnante est de confession sunnite.

L'une des revendications des manifestants est la démission du Premier ministre, qui gouverne le pays depuis son indépendance, en 1971, ce que le gouvernement a accepté. Dans une allocution télévisée, le roi du Bahreïn a présenté ses condoléances aux familles des deux victimes. Les Etats-Unis ont exprimé leur inquiétude face aux violences dans ce petit royaume du Golfe. Nicolas Willems. FRANCE 24 - Les manifestants et l’opposition accroissent la pression sur la monarchie. Manifestations, répressions et des morts au Bahreïn. Les blindés ont pris position le long d'une avenue qui jouxte la place, ont ajouté les témoins sans autre précision.

L'un des témoins a précisé à l'AFP avoir vu plus tôt dans la matinée une colonne de blindés qui faisait mouvement du nord de Bahreïn vers Manama. Les forces anti-émeutes avaient dispersé par la force dans la nuit des centaines de protestataires qui campaient sur la place de la Perle depuis mardi pour réclamer des réformes politiques et sociales, faisant quatre morts parmi les manifestants selon l'opposition.

Cette intervention musclée montre que les autorités veulent éviter un scénario à l'égyptienne ou à la tunisienne. Des milliers de manifestants, essentiellement issus de la majorité chiite, ont manifesté, depuis lundi, pour exiger des réformes politiques et sociales, dans ce royaume dirigé par une famille sunnite, un mouvement de contestation inspiré par les révolutions en Tunisie et en Egypte. Nicolas Willems et Belga. Bahreïn : plusieurs morts dans la dispersion des protestataires. Bahreïn : Des voix s’élèvent en faveur du gouvernement et du roi · Global Voices. Ce billet fait partie du dossier de Global Voices sur Bahreïn 2011.

Alors que la contestation en est à son troisième jour à Bahreïn ce mercredi 16 février 2011, de nombreuses voix sont apparues pour exprimer leur soutien au Roi Hamad bin Isa Al-Khalifa et au gouvernement bahreïni. Deux rassemblements de soutien ont été organisés via Facebook, dans l'ancienne capitale, Muharraq [en arabe] et à Riffa [en arabe], au sud de la capitale Manama. Un troisième [en arabe] est prévu pour vendredi 18 février après les prières, devant la mosquée Al-Fateh, la plus grande de Bahreïn, à Juffair à côté de Manama. Sur Twitter, nombre de tweeps pro-gouvernementaux ont rappelé à la ‘Twittersphère’ certaines des réalisations-phares du pays, et les services apportés à la population après l'instauration de la Charte nationale en 2001. @hussakhalid Savez-vous que Bahreïn fournit l'enseignement primaire et secondaire gratuit à tous ? Bahrain uses UK-supplied weapons in protest crackdown | World news. Medical staff receive an injured protester after police cracked down on their encampment, killing at least four and wounding many more Photograph: John Moore/Getty Images The British government has launched a review of arms exports to Bahrain after it emerged that the country's security forces were supplied with weapons by the United Kingdom.

After a bloody crackdown in the capital, Manama, left up to five people dead and more than 100 injured, Foreign Office minister Alistair Burt said the government will "urgently revoke licences if we judge that they are no longer in line with the [UK and European Union] criteria". Despite long-running concerns among activists over Bahrain's human rights record, British firms were last year granted licences, unopposed, to export an arsenal of sometimes deadly crowd control weapons. "We closely consider allegations of human rights abuses," said Burt. Violence in Bahrain. L'effet domino s'amplifie au Maghreb et au Moyen-Orient. La Libye a connu, jeudi, des heurts sanglants entre manifestants opposés au régime de Mouammar Kadhafi et forces de l'ordre.Le mouvement de contestation contre le régime du colonel Kadhafi a fait au moins neuf morts et des dizaines de blessés, un bilan qui pourrait encore s'alourdir.

De violents affrontements ont opposé, jeudi, des manifestants aux forces de sécurité, dans plusieurs villes du pays, dont Benghazi et Al Baïda, une "journée de la colère", lancée par des appels sur Facebook, contre le régime du colonel Mouammar Kadhafi, au pouvoir depuis 1969. Dans la région du Golfe, à Bahreïn, l'armée s'est déployée en force à Manama À Bahreïn, petit archipel du Golfe gouverné par une dynastie sunnite, l'armée est omniprésente dans la capitale, Manama, un déploiement massif qui intervient au lendemain de la violente répression par la police d'une manifestation anti-régime, un mouvement de contestation mené par des manifestants chiites. Yémen Nicolas Willems et Daniel Fontaine.

Le monde arabe en ébullition pour réclamer la démocratie. February 18, 2011. RÉVOLTE - Des policiers français ont formé les forces antiémeute de Bahreïn, actualité Monde : Le Point. Les forces antiémeute de Bahreïn, qui ont donné l'assaut dans la nuit de mercredi à jeudi sur un campement d'opposants dans le centre de la capitale, faisant au moins quatre morts, ont été formées par des policiers français issus des compagnies républicaines de sécurité (CRS). Demandé par l'État du Golfe, un accord de coopération en matière de sécurité intérieure a été signé en novembre 2007 à Paris, lorsque Michèle Alliot-Marie, alors ministre de l'Intérieur, avait reçu son homologue le cheikh Rashed Bin Abdallah Al-Khalifa. Selon les termes de cet accord, cités sur le site du ministère des Affaires étrangères et européennes, "la France contribue notamment à la formation des forces de maintien de l'ordre bahreïniennes chargées d'encadrer les manifestations".

Il est précisé que la formation "inclut une composante droits de l'homme". L'accord a été validé par le Sénat puis l'Assemblée nationale en avril 2010. "Professionnalisation des unités" (Reitzer) Bahreïn: les manifestants installent des tentes place de la Perle. Des milliers de manifestants étaient rassemblés sur la place, épicentre de la contestation pro-démocratie, peu de temps après le retrait de l'armée de Manama comme le demandait l'opposition, principalement chiite. Jeudi à l'aube, les forces de sécurité avaient dispersé par la force les contestataires qui campaient sur cette place pour la deuxième nuit consécutive pour réclamer des réformes, tuant quatre manifestants.

Le gouvernement doit démissionner avant tout dialogue Un haut responsable de l'opposition chiite bahreïnie, Abdel Jalil Khalil Ibrahim, a exigé samedi la démission du gouvernement et le retrait des forces armées des rues de Manama pour répondre à l'offre de dialogue faite la veille par le prince héritier de Bahreïn. L'armée se retire de la place de la Perle à Manama L'armée bahreïnie s'est retirée samedi en milieu de journée de la place de la Perle dans le centre de Manama, une des conditions posées par l'opposition pour entamer un dialogue politique. Bahreïn: le prince héritier ordonne à la police de se retirer. Le prince héritier, commandant en chef adjoint des forces armées, a dans le même temps demandé aux manifestants de se disperser "pour éviter un affrontement" avec les forces de l'ordre, a annoncé l'agence officielle bahreïnie BNA.

"Nous ordonnons à toutes les forces de sécurité de se retirer immédiatement des zones de rassemblement (...) comme nous demandons aux personnes rassemblées de quitter ces lieux pour éviter tout accrochage, et cela conformément à notre initiative en faveur d'un retour au calme", a-t-il dit. Des milliers de manifestants antigouvernementaux sont revenus samedi sur la place de la Perle à Manama où ils ont commencé à ériger des tentes, deux jours après la dispersion violente de leur sit-in. Le prince héritier a promis vendredi un dialogue avec l'opposition une fois le calme revenu. Belga. Bahreïn: les manifestants réoccupent le centre de Manama, l'armée se retire. Entretemps, l'union générale des syndicats a appelé à une grève générale illimitée à partir de dimanche pour exiger la liberté de manifester pacifiquement, mais elle a appelé ses membres à assurer les services de base comme l'approvisionnement en eau et en électricité.

Le prince héritier, Salman ben Hamad Al-Khalifa, a ordonné le retrait de l'armée de la capitale et a demandé à la police de "rester à l'écart des rassemblements" sur la place de la Perle, où quatre manifestants ont été tués jeudi dans la violente dispersion d'un sit-in. Il a dans le même temps demandé aux manifestants de se disperser en vue de "lancer une nouvelle action qui rallierait les différentes parties". Cette attitude conciliante des autorités survient alors que la pression augmente sur ce petit royaume pro-occidental et stratégique du Golfe pour qu'il entame le dialogue avec l'opposition, en majorité chiite. "La volonté du peuple a fini par prévaloir", se félicite l'un d'eux.

Répression sanglante en Libye, appel à la grève à Bahreïn. La contestation a également frappé la Mauritanie et l'Algérie, deux pays du Maghreb où est né le mouvement de révolte qui a chassé du pouvoir le président Zine El Abidine Ben Ali, le 14 janvier en Tunisie, et Hosni Moubarak, le 11 février en Egypte. Le chef de la diplomatie britannique, William Hague, s'est dit "profondément inquiet" des informations "sur la violence inacceptable utilisée contre les manifestants en Libye, à Bahreïn et au Yémen" et a qualifié d'"effroyables" les violences en Libye.

Au moins 104 personnes ont été tuées en Libye depuis le début de la contestation mardi, a affirmé dimanche à l'AFP l'organisation de défense des droits de l'Homme Human Rights Watch (HRW), citant des sources médicales et des témoins. Les protestataires ont notamment lancé des cocktails molotov contre cette caserne, déjà attaquée trois fois depuis mardi, selon la même source. Bahreïn L'union est l'un des plus vieux syndicats des pays arabes du Golfe. Yémen Algérie Mauritanie. Bahreïn: un blessé succombe, l'opposition mobilise pour mardi.

Les manifestants, qui poursuivaient leur sit-in sur la place de la Perle à Manama, ont radicalisé leurs revendications en réclamant la fin du règne de la dynastie des Al-Khalifa alors que l'opposant Hassan Machaimaa, jugé par contumace, a annoncé de Londres son intention de regagner le pays mardi. Le bilan de la répression du mouvement de contestation populaire, lancé le 14 février, s'est alourdi à sept tués avec la mort de Mohamed Ridha, âgé d'une vingtaine d'années.

Le jeune homme, "touché à la tête par balle vendredi lorsque l'armée a tiré sur la foule à Manama", a succombé à ses blessures, selon un responsable du mouvement chiite al-Wefaq, Abdel Jalil Khalil Ibrahim. La secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton a répété dimanche que les violences mortelles à Bahreïn étaient "inacceptables" et que les autorités devaient procéder à des "réformes" aussi vite que possible.

"Nous sommes prêts au dialogue, qui n'a pas encore commencé. Bahreïn: centaines de protestataires, l'opposition se mobilise. Dans le même temps, dans un autre quartier de Manama, une procession funéraire a accompagné la dépouille d'un manifestant chiite tué par des tirs de l'armée. Il a succombé lundi à ses blessures à la tête reçues vendredi. Aucune présence des forces de l'ordre n'était visible en milieu de journée près de la place de la Perle dans le centre de Manama, rebaptisée place de la Libération, occupée depuis samedi par les manifestants. Ils en avaient été chassés par la force le 17 février. "Non au dialogue, Non au dialogue", chantait la foule sur la place, épicentre de la contestation. "La décision revient au peuple, et le peuple refuse le dialogue", a assuré à l'AFP Anouar Ali, un employé de la compagnie publique de l'électricité.

Des volontaires aidaient au contrôle de la circulation alors que des groupes d'étudiants se dirigeaient vers la place de la Perle. Lundi soir, le roi de Bahreïn Hamad ben Issa Al-Khalifa a ordonné la libération de détenus chiites, une des revendications de l'opposition. Bahreïn: manifestation massive, l'opposition appelle à des réformes. La foule estimée à des dizaines de milliers de personnes s'étirait sur un large boulevard reliant le lieu de départ de la marche à la place de la Perle, épicentre de la contestation, distante de près de trois kilomètres. Les manifestants ont défilé derrière une grande banderole sur laquelle était écrit : "Marche de fidélité aux martyrs", avec les photographies des sept chiites tués pendant la répression du mouvement de protestation. Les femmes étaient nombreuses parmi les manifestants qui scandaient "le peuple veut la chute du régime" et "A bas les Al-Khalifa", en référence à la famille royale.

La police était absente mais un hélicoptère survolait la marche alors que le service d'ordre était assuré par de nombreux militants portant des gilets orange. La foule a rejoint la place de la Perle, où campent d'autres manifestants depuis samedi. Des mouvements de la gauche et du courant nationaliste se sont associés à cette manifestation. Belga. La mobilisation se poursuit au Bahreïn. Bahreïn: l'opposition craint la division du pouvoir face à la révolte. Les troubles dans le petit royaume du Golfe sont entrés vendredi dans leur 12e jour et une manifestation a été annoncée en mémoire des sept victimes des violences qui ont marqué le début de la révolte contre la monarchie. Dans des entretiens avec l'AFP, des responsables de l'opposition ont indiqué souhaiter trouver un accord avec celui qui a été désigné par le roi Hamad Ben Issa Al-Khalifa pour mener à bien le "dialogue national".

Mais pour Ali al-Assouad, député du Wefaq, principal groupe de l'opposition chiite, "certains", qu'il n'a pas nommés, ne veulent pas que le prince Salman réussisse. "Cheikh Salman Ben Hamad Al-Khalifa est confronté à un grand défi: prouver sa capacité à diriger le pays en sa qualité d'héritier du trône", a-t-il souligné. Formé à l'occidentale, le prince héritier, 42 ans, supervise depuis 2001 les affaires économiques de Bahreïn, un archipel de 700 km2 aux moyens limités et qui compte 1,2 million d'habitants, majoritairement chiites.

La Tunisie et l'Égypte sous pression, "journée de la colère" meurtrière en Irak. Bahreïn: remaniement ministériel, cinq ministres changent de postes. Bahreïn: remaniement ministériel, jugé "insuffisant" par l'opposition. Bahreïn: manifestations à Manama, le bloc chiite quitte le Parlement. Les Etats-Unis appuient le "dialogue national" voulu par le roi à Bahreïn (Obama)

Le monde arabe entame une nouvelle semaine de tourmente. Bahreïn: nouvelle manifestation à Manama. Bahreïn et Oman: les monarchies du Golfe envisagent un plan Marshall. Bahreïn: le face-à-face se prolonge, et le dialogue se fait attendre. Bahreïn: le prince héritier assure que le dialogue est l'unique solution. Bahreïn: la police disperse une manifestation à coups de gaz lacrymogène. Bahreïn: pouvoir et opposition campent sur leurs positions. De la Libye au Yémen, une vague de contestation durement réprimée.

Bahreïn: la violence s'accentue, le roi veut dialoguer avec l'opposition. Bahreïn: des soldats saoudiens pour "répondre à une menace sur la sécurité" Bahreïn: climat de tension après l'arrivée de troupes du Golfe. Libye et Bahreïn: forces armées en première ligne pour mater la révolte. Bahreïn: le roi proclame l'état d'urgence pour trois mois. 15 مارس 2011. Face To Face Shooting in bahrain- the truth that he is not died. 16-3-2011 6. BAHREÏN • Une main de fer dans un gant de velours ? Bahreïn: arrestation de six figures de l'aile dure de l'opposition. Bahreïn: des milliers de manifestants anti-gouvernementaux près de Manama. Bahreïn: les autorités détruisent le monument de place de la Perle.

Irak: des milliers de sadristes défilent en soutien aux chiites de Bahreïn. Bahreïn: le roi annonce la mise en échec d'un complot étranger. Bahreïn dénonce un complot contre sa sécurité, soupçon sur l'Iran. BAHREÏN • Bienvenue sur l’île aux fantômes. La situation à Bahreïn dans une "phase très dangereuse"

Bahreïn: la minorité sunnite se radicalise face aux chiites. Bahreïn: 24 morts pendant les protestations. Bahreïn: l'opposition appelle Téhéran à ne pas s'ingérer. Bahreïn: le pouvoir fait montre de fermeté, pas de dialogue. Bahreïn: vers la dissolution d'une partie de l'opposition chiite? ARABIE SAOUDITE • Les méfaits du gendarme du Golfe. 2011: le roi de Bahreïn parmi les prédateurs de la liberté de la presse. Bahreïn: 47 médecins et infirmières devant un tribunal militaire. BAHREÏN • Vague d’arrestations dans les hôpitaux.

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