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Du 10 mai au 20 août 2012

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“La liberté de la presse en Malaisie est loin d’être acquise”, rappelle Reporters sans frontières au Premier ministre. Reporters sans frontières appelle le Premier ministre, Najib Razak, à garantir la liberté des médias, victimes de censure et de violences, et dont l’indépendance est fortement remise en cause par l’ingérence politique de la coalition au pouvoir. Dans une lettre ouverte, l’organisation appelle à l’annulation, sans délai, de la décision du ministère de l’Intérieur de ne pas accorder de licence de publication au site d’information Malaysiakini. Une décision contestée le 11 mai 2012 devant la Cour suprême par les avocats du média en ligne. Cette affaire, parallèlement aux violations de la presse en marge de Bersih 3.0, révèle la volonté de contrôle de l’information par le gouvernement et sa crainte du développement des médias indépendants dans le pays. Monsieur le Premier ministre, Aujourd’hui, de nombreux problèmes persistent, pour lesquels nous souhaitons vous adresser nos attentes.

Recommandations de Reporters sans frontières : Malaysiakini doit se voir accorder une licence de publication. Media freedom in Malaysia is far from assured, open letter tells prime minister. Reporters Without Borders has written an open letter to Prime Minister Najib Razak urging him to guarantee press freedom in Malaysia, where the media are exposed to censorship and violence and where their independence is severely curtailed by the ruling coalition’s political meddling.

The letter calls in particular for the immediate reversal of the interior minister’s refusal to issue a print publication licence to the Malaysiakini news website, a decision that led the website’s lawyers to lodge an appeal before the supreme court on 11 May. Like the media freedom violations in connection with coverage of protests by the Coalition for Free and Fair Elections (BERSIH), this decision has highlighted the government’s determination to control news and information and its fear of the independent media that are developing in Malaysia. Dear Prime Minister, When you took office, you urged to the media to criticize you and you promised more freedom. Reporters Without Borders’ recommendations. TADJIKISTAN • Les films étrangers censurés. Levée du blocage de Twitter : les autorités pakistanaises reviennent sur une décision attentatoire à la liberté d’expression. Reporters sans frontières prend note de la levée du blocage imposé au réseau social Twitter, le 20 mai 2012, près de douze heures après sa mise en place.

La décision avait été prise par le ministère de la Technologie de l’information, qui aurait ensuite ordonné à l’Autorité des télécommunications du pays (PTA) de rendre le site inaccessible en raison d’un "contenu blasphématoire", en l’occurrence un concours de caricatures de Mahomet. “Le blocage d’un réseau social, même d’une durée limitée, constitue une atteinte inacceptable à la liberté d’expression et une entrave supplémentaire à l’accès à l’information. Outre son caractère totalement disproportionné, ce type de méthode est non seulement inefficace, car facilement contournable, mais également contre-productif.

Le concours de caricatures dénoncé par les autorités a ainsi bénéficié d’une publicité sans précédent”, a déclaré Reporters sans frontières. AZERBAÏDJAN • Un concours dé-mo-cra-ti-que ! Procès du journal The Voice : des développements encourageants, mais la vigilance reste de rigueur. Reporters sans frontières salue la dernière décision de la justice quant aux poursuites pour diffamation intentées contre l’hebdomadaire The Voice par le ministère des Mines. Ce dernier avait porté plainte suite à la parution, le 12 mars, d’un article dénonçant des cas de malversations au sein de six ministères birmans. Le 23 mai, la cour a décidé que le journal ne devra pas dévoiler le nom de l’auteur de l’article, comme cela avait été demandé initialement par le ministère des Mines. Reporters sans frontières se réjouit de cette décision mais reste inquiète pour la suite du procès, dont la prochaine audience aura lieu le 6 juin.

Ces derniers mois, le gouvernement birman a plusieurs fois averti et poursuivi en justice des médias, entravant ainsi le travail de la presse sans recourir ouvertement à la censure. 15/03/2012 - Le gouvernement revient-il sur ses engagements en matière de liberté d’information ? Un mot pour la liberté de la presse ? « Le 26 mai 2012, les regards de plus de 100 millions de téléspectateurs convergeront sur Bakou, la capitale de l’Azerbaïdjan, où se tiendra la finale du concours Eurovision de la chanson.

A cette occasion, le public européen découvrira largement ce beau pays et l’hospitalité de ses habitants. Mais il est une autre réalité que les autorités auront tout fait pour masquer : celle d’un régime répressif et brutal, qui ne recule devant rien pour faire taire les quelques journalistes menant des investigations sensibles ou critiques », a déclaré Reporters sans frontières. « Il ne s’agit pas de gâcher la fête. Encore moins d’obéir à un quelconque agenda diplomatique ‘hostile’, comme Bakou tente de le faire croire.

Mais comment la chanson pourrait-elle être totalement dissociée de la liberté d’expression ? Mais un paradis, l’Azerbaïdjan ne l’est certainement pas pour les journalistes. Informez-vous, rejoignez la campagne : Quatre-vingt points pour les utilisateurs de Weibo respectueux de la censure. Lire en chinois / 看中文 Reporters sans frontières dénonce les nouvelles conditions d’utilisation mises en place par le site de microblogging Sina Weibo pour réguler les contenus postés par les utilisateurs. Ces conditions, entrées en vigueur le 28 mai 2012, introduisent un système de points destiné à sanctionner les futures infractions, et notamment la publication de “fausses rumeurs”. “Sous la pression des autorités chinoises, Sina Weibo franchit un nouveau palier dans sa collaboration avec les censeurs du Web.

Ce nouveau système de contrôle tend à renforcer la pression individuelle sur les microblogueurs, de plus en plus nombreux et créatifs, et qui réussissent à contourner la Grande muraille électronique et à évoquer des sujets sensibles que les autorités souhaitent étouffer. L’article 13 des conditions d’utilisation liste les actions proscrites comme “répandre des rumeurs”, “nuire à l’unité de la nation”, “mettre en danger la sécurité nationale”, “perturber l’ordre social”, etc. Vladimir Poutine, prédateur international, en visite à Paris. Lire en arabe / بالعربية A l’occasion de la venue à Paris du président Vladimir Poutine le 1er juin 2012, des militants de Reporters sans frontières se sont rassemblés sur le Pont Alexandre III avec des activistes russes, syriens et iraniens pour protester contre la répression à l’œuvre en Russie, en Syrie et en Iran.

Aux cris de “Poutine, Bachar : halte à la répression !” Et “Pas de veto sur les droits de l’homme”, les militants ont appelé le président russe à écouter les demandes de démocratisation de la société russe et à cesser de cautionner les régimes les plus répressifs de la planète, à commencer par la Syrie et l’Iran. Deux pays où les professionnels de l’information paient très cher leurs tentatives de couvrir la répression orchestrée par les autorités. “Vladimir Poutine n’est pas seulement responsable du déclin dramatique des libertés publiques en Russie depuis une douzaine d’années. En Russie, un héritage répressif contesté En Syrie, une complicité assumée, envers et contre tout.

23ème anniversaire du massacre de Tian'Anmen. Lire en chinois / 看中文 Le 4 juin 1989 vers cinq heures du matin, il y a vingt-trois ans, les chars de l’armée chinoise pénétraient sur la place Tian’anmen. Plusieurs centaines de personnes, peut-être plus de mille, ont trouvé la mort, ce matin-là. Plusieurs milliers de manifestants ont été blessés par balles. L’ouverture économique engagée au cours des années 80 par Deng Xiaoping n’a débouché sur aucune ouverture durable vers la démocratie, ni sur aucune remise en cause du monopole du pouvoir par le parti communiste. De très nombreux citoyens courageux qui ont voulu faire la lumière sur la réalité du massacre, exiger justice pour les victimes ou demander la révision des verdicts de condamnation, ont perdu leur travail ou restent incarcérés.

Désespérant de n’obtenir aucune réponse aux demandes réitérées des familles de victimes, le père d’un manifestant s’est pendu le 26 mai dernier. L’Etat ne tolère aucune critique et interdit à la société civile chinoise de s’exprimer librement. PRESSE CHINOISE • Le "Huanqiu Shibao", un journal trop patriote. Le quotidien chinois Huanqiu Shibao (ou Global Times) table systématiquement sur un nationalisme sans nuances. Pour ce chercheur coréen, le journal donne surtout une mauvaise image du pays, celle d'une nation isolée, assiégée et... effrayante. Il y a quelques jours, lors d'une table ronde consacrée à la "diplomatie publique" de la Chine et à son image internationale, j'ai affirmé que le Huanqiu Shibao [ou Global Times en anglais] était l'un des pires ennemis de la diplomatie publique chinoise et que le moment était venu pour la Chine de se passer de ce journal !

Auparavant, le pays avait besoin du quotidien pour prôner le nationalisme et le patriotisme, et préserver ainsi la cohésion nationale. C'était alors une nécessité, mais ce n'est plus le cas aujourd'hui alors que la Chine est devenue la deuxième puissance économique mondiale, qu'elle a organisé avec succès les Jeux olympiques et l'Exposition universelle, et que ses citoyens sont beaucoup plus ouverts sur le monde. Un début de mois de juin placé sous le signe de la répression et de la censure. Reporters sans frontières s’inquiète des récents épisodes de censure sur internet en Chine, qui ont amené à l’arrestation d’un blogueur, au licenciement d’un journaliste, ainsi qu’au musellement de tout débat sur les événements du 4 juin 1989 sur la place Tian’anmen, dont c’était hier le 23ème anniversaire.

“Vingt-trois ans après le massacre de Tian’anmen, le gouvernement chinois continue de réprimer toute critique à son encontre et de filtrer l’information. Les méthodes ont changé, la censure se fait aujourd’hui largement sur Internet. Non seulement les journalistes doivent se plier aux directives de l’agence de presse officielle Xinhua et du ministère de la Propagande dans la rédaction de leurs articles, mais ils doivent également faire attention aux messages qu’ils publient sur les réseaux sociaux”, a déclaré Reporters sans frontières.

Weibo : piège à journalistes Yu Chen n’est pas le premier journaliste à payer les conséquences d’un message sur Weibo. Inde : liberté d’expression et auto-censure. Les médias accusés de couverture biaisée des conflits dans l'état d'Arakan. Les déclarations du ministre en chef de la région de Rangoon, Myint Swe, le 10 juin 2012, lors d’une conférence de presse, illustrent la fragilité de l’assouplissement des conditions de travail des journalistes birmans. Le ministre en chef, dont les propos ont été relayés par le journal Irrawaddy, a ouvertement menacé la profession de sanctions pénales en cas de couverture néfaste des affrontements qui agitent l’état d’Arakan, les accusant dans un second temps d’”attiser le conflit”.

Le général Tint Swe, chef de la Division d’enregistrement et de vérification de la presse (Press Scrutiny and Registration Division, PSRD), a ordonné aux médias de soumettre leurs articles pour validation par le bureau, rétablissant de facto le système de censure préalable, mis en place par la junte.

“Les médias sont confrontés à un retour en arrière très inquiétant de la part du gouvernement, qui a pourtant annoncé, à travers les déclaration de Tint Swe, que la PSRD cesserait d’exister à la fin du mois. Nouvelle arrestation d’un journaliste critique. Le 13 juin 2012, en fin de journée, Mehman Huseynov a été remis en liberté provisoire par le tribunal du district de Sabayil (Bakou).

Le journaliste a été placé sous contrôle judiciaire et reste poursuivi. Les charges retenues contre lui sont même plus sévères que celles initialement mentionnées : mis en examen pour « hooliganisme et résistance à un représentant des autorités (…) » (article 221.2.2 du code pénal), il risque désormais jusqu’à cinq ans d’emprisonnement. 13.06.2012 - Nouvelle arrestation d’un journaliste critique Reporters sans frontières dénonce l’arrestation du photojournaliste Mehman Huseynov, connu pour sa couverture des violences policières et son activisme en faveur de la liberté de l’information.

Le jeune membre de l’Institute for Reporters’ Freedom and Safety (IRFS) est également actif sur les réseaux sociaux. Son compte Youtube est très suivi. Mehman Huseynov a été conduit au commissariat du district de Sabayil, à Bakou (capitale), le 12 juin 2012 vers 18 heures. Reporters sans frontières rend hommage au défunt journaliste Ludu Sein Win. Reporters sans frontières est attristée par le décès du journaliste Ludu Sein Win, survenue dans la nuit du 17 juin 2012, dans un hôpital privé de Rangoun.

Anciennement journaliste au Ludu Newspaper, publié dans de nombreux autres journaux depuis, il était atteint d’un cancer du poumon. "Nous présentons nos condoléances à la famille et aux proches de Ludu Sein Win. Avec lui disparaît non seulement une figure exemplaire du journalisme birman, mais aussi un combattant courageux pour la liberté de la presse et pour la démocratie. Homme de lettre, intellectuel engagé et journaliste prolixe, Ludu Sein Win n’a jamais cessé de travailler pour l’amélioration de la situation de ses concitoyens.

Hospitalisé à l’hôpital de Shwegondaing, à Rangoun, le matin du 17 juin, Ludu Sein Win est décédé peu avant minuit le même jour. Né 13 août 1940 à Mandalay (Centre), il avait étudié au Lycée Lafon Memorial puis à l’université de Mandalay et de Rangoun. Le grand journal anglophone de Hong Kong a-t-il viré au rouge ? La divulgation d'un échange d'emails entre le rédacteur en chef et le secrétaire de rédaction d'un journal anglophone de premier plan à Hong Kong, au sujet de la couverture médiatique du faux suicide [français] de l'activiste chinois Li Wangyang, a révélé la dégradation de la liberté de la presse. Frustré de voir l'histoire de Li Wangyang écourtée à 100 mots le 7 juin 2012 au lieu des 400 prévus [chinois, anglais], alors que d'autres médias locaux et internationaux en avaient fait leurs gros titres, Alex Price, secrétaire de rédaction de longue date du South China Morning Post (SCMP) écrivit un email au rédacteur en chef Wang Xiangwei, réclamant des explications.

Mais au lieu d'un débat posé et professionnel, c'est une réponse jugée menaçante que reçut Price. Le bref article du SCMP qui alimente la controverse. Image hébergée par inmediahk Les emails divulgués Inmediahk.net [chinois, anglais] a traduit et mis en ligne les emails, ci-dessous. Le 7 juin : Le 11 juin : MYANMAR • La liberté par la presse. Reporters sans frontières remet à Aung San Suu Kyi son rapport sur la crise d’Arakan et sur les libertés. Lire le rapport Lire l’article en chinois / 看中文 Reporters sans frontières rend aujourd’hui public son rapport sur la crise actuelle dans l’État d’Arakan, remis le 27 juin 2012, en main propre à la députée de la Ligue Nationale pour la Démocratie, Aung San Suu Kyi, en visite à Paris du 26 au 29 juin 2012, dans le cadre de son premier tour d’Europe. “Le conflit en cours dans l’État d’Arakan a rappelé, de la manière la plus dure qui soit, la fragilité de l’environnement des médias, et de l’extrême précarité dans laquelle la récente et partielle liberté de la presse se trouve actuellement.

Si Aung San Suu Kyi mesure bien évidemment la gravité de la crise, nous estimons qu’il était nécessaire d’attirer son attention sur l’urgence de répondre aux nombreux défis qui se posent pour la presse birmane, après cinquante années de répression et de censure”, a déclaré Reporters sans frontières. “Pour l’instant, le gouvernement n’a fait qu’alléger son contrôle abusif de la presse. La crise dans l'Etat d'Arakan et les nouvelles menaces sur la liberté d'information. Arrestation arbitraire d’un journaliste enquêtant sur les émeutes de l’ouest du pays. La fortune cachée du futur président chinois. CHINE • Motus sur la tragédie du centre commercial de Tianjin. Un journaliste accusé de “haute trahison” risque la réclusion à perpétuité.

Interview de la journaliste Frederica Jansz, menacée de mort par le ministre de la Défense. Un journaliste indépendant assassiné. Tadjikistan : Big Brother surveille l’activité Internet du pays. Russie : Des astuces de sécurité informatique pour l’opposition russe. Entretien avec Weibo Today: “La Chine n’est pas que censure et politique” Le responsable d’un site d’information arrêté pour avoir diffusé des photos. Chine : un Tweet fait chuter l’action Sina de 8%

Espionnage d’Internet : des firmes chinoises bientôt bannies du marché français ? CAMBODGE • L'ami français de Bo Xilai part "librement" en Chine. Russie : Un grand pare-feu pour censurer Internet ? Interdiction et censure des critiques sur la gestion des inondations. Un journaliste risque la prison pour avoir exposé une faille de sécurité dans le métro de Minsk. HONG KONG • WeiboScope se moque de la censure chinoise. Appel au Parlement contre la repénalisation de la diffamation. Toujours bien présent, le bureau de la censure réprime durement la presse birmane. Des responsables occidentaux au procès de Pussy Riot en Russie. Les hebdomadaires The Voice et The Envoy autorisés à reparaître. Moscou: le jugement des Pussy Riot sera rendu le 17 août. Les Pussy riot au bûcher de Poutine. Russie : Les soutiens à double tranchant des Pussy Riot. Chine : Un dissident inculpé pour avoir diffusé une photo du “suicide” de Li Wangyang. RUSSIE • Qui ? Les Pussy Riot ?

ÉDITORIAL • Russie : trois grains de sable. CHRONOLOGIE • L'affaire Pussy Riot. RUSSIE • Pussy Riot à l’avant-garde des nouveaux contestataires. RUSSIE • L’affaire Pussy Riot : beaucoup de bruit pour rien ! Chine : la traque d’un journaliste d’investigation. Pussy Riot: la juge russe placée sous protection avant le jugement. Russie : Commentaires sur Twitter après le verdict des Pussy Riot. Russie: les Pussy Riot condamnées à deux ans de camp. Russie : « Les Pussy Riot condamnées, mais le pouvoir a perdu la bataille » | Rue89 Culture. Affaire Gu Kailai : un procès historique sous contrôle. Birmanie: la censure sur les médias officiellement abolie. Abolition de la censure préalable : RSF entre satisfaction et prudence. Pussy Riot: le chef de la diplomatie russe appelle à éviter "l'hystérie" Russie: les Pussy Riot ne réclameront pas la grâce présidentielle. A Marseille, l’interpellation absurde de manifestants pro-Pussy Riot.

Mark Feiguine, l'un des avocats du groupe punk russe Pussy Riot • Déterminé. Les Pussy Riot condamnées. Russie: les mauvais traitements des Pussy Riot, lot commun des justiciables. MOSCOU • La longue marche vers la liberté. MOSCOU • Tourisme : des vacances politiquement actives. Russie : Les Pussy Riot éclipsent d’autres procès. Le journaliste Anton Surapin inculpé pour “complicité” dans l’affaire du lâcher de peluches. Sacrifice rituel. Russie: le procès des Pussy Riot, anti-Poutine, reprend à Moscou. Russie: Poutine a signé la loi qualifiant les ONG "d'agents de l'étranger" Les Pussy Riots, ces punkettes que Poutine veut garder en prison.

Des rédacteurs et éditeurs de journaux mutés ou suspendus par des officiels du Parti. Projet de loi liberticide pour Internet et pénalisation de la diffamation : feu nourri sur la liberté d’information. Chine : L’affaire Chen ravive le débat “L’exil n’est pas la liberté” Pékin étend la censure et multiplie les représailles à l’encontre des voix dissidentes. Thaïlande: Google obligé à retirer 374 vidéos YouTube en 2011. Une longue marche reste à faire vers la liberté de l’information. Le 17e prix Reporters sans frontières a été remis à Paris à un journaliste cubain, une radio nord-coréenne et deux blogueurs birmans.

Menacé de mort, le rédacteur en chef adjoint de Novaïa Gazeta contraint à l’exil. Le comédien et blogueur birman Zarganar reçoit son prix à Reporters sans frontières. Un journaliste agressé à coups de couteau. L'Eurovision en Azerbaïdjan: répression ou chanson?