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2 - Du 25 février au 5 novembre

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La Tunisie et l'Égypte sous pression, "journée de la colère" meurtrière en Irak. Alors qu'en Libye la contestation au régime de Khadafi s'étend désormais de l'ouest de Tripoli à Benghazi (suivre les évènements en direct), les Tunisiens et les Egyptiens continuent vendredi de battre le pavé pour défendre "leurs révolutions". Au Yémen, au Bahreïn mais également en Irak, les manifestations ne faiblissent pas. TUNISIE : Une marée humaine contre Ghannouchi Plus de 100 000 Tunisiens, selon la police, ont réclamé vendredi le départ du gouvernement de transition dirigé par Mohammed Ghannouchi, devant la Kasbah, épicentre de la contestation, où de nouveaux cortèges de manifestants affluaient encore en début d'après-midi. Selon des membres du Croissant-Rouge et des manifestants, il "s'agit de la plus grande manifestation depuis la chute de Ben Ali", le 14 janvier.

Sous la pression populaire, qui dénonçait le maintien à des postes clés de caciques de l'ancien régime, M. EGYPTE : La place Tahrir du Caire vibre encore YÉMEN : Pro et anti-Saleh à Sanaa, un mort à Aden. Une marche de l'opposition algérienne bloquée par la police à Alger. Les marcheurs, emmenés par le président du Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD) Saïd Sadi, n'ont même pas pu se réunir Place des Martyrs, leur lieu de rendez-vous, a constaté un journaliste de l'AFP.

Saïd Sadi s'est retrouvé encerclé dès avant l'heure prévue du début de la marche, 11h00, par les forces de l'ordre. Un autre député du RCD, Mohamed Khendek, a été évacué en ambulance. "J'ai reçu des coups de matraque au ventre lorsque j'ai tenté de m'opposer à des policiers qui chargeaient Saïd Sadi. Je me suis évanoui et on m'a transporté à l'hôpital. Je ne suis pas blessé", a-t-il dit à l'AFP au téléphone après avoir quitté l'hôpital.

Les policiers ont réussi à repousser vers le front de mer tout proche les partisans du RCD réunis sous la bannière de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD), un mouvement né il y a un mois mais déjà scindé en deux. Présence policière forte La présence de la police entre les deux camps a évité tout affrontement. L'ONU impose des sanctions sévères au clan Kadhafi. Parmi ces sanctions adoptées par les quinze Etats membres, figurent notamment un embargo sur la vente d'armes et de matériels connexes à la Libye et une interdiction de voyager sur le sol des Etats membres concernant seize personnes, dont Mouammar Kadhafi, sept fils et sa fille et des personnes intimement liées au régime.

Par cette résolution, les membres du Conseil de sécurité considèrent que "les attaques systématiques" contre la population civile en Libye actuellement menées "peuvent être assimilées à des crimes contre l'humanité". Le Conseil de sécurité a décidé de transférer au procureur à la Cour pénale internationale (CPI) "la situation en Libye depuis le 15 février" et demande aux autorités libyennes de "coopérer pleinement" avec le tribunal. Les membres du Conseil demandent en outre la fin immédiate des violences et que des mesures soient prises pour répondre aux aspirations légitimes du peuple libyen. La répression de Kadhafi en Libye aura des "conséquences" Belga.

Alger: l'opposition bloquée par des contre-manifestants, la police se déploie. Ces derniers, au nombre d'une cinquantaine, étaient munis de portraits du président Abdelaziz Bouteflika et de pétards qu'ils faisaient exploser face à quelques dizaines d'opposants au régime vite disséminés parmi les badauds. Aux cris de "Bouteflika n'est pas Moubarak", l'ex-président égyptien chassé par la foule le 18 février, ils ont réussi à empêcher l'arrivée en voiture sur la place d'El Madania, en plein centre, de l'un des chefs de la Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD), Said Sadi. Il a pu à peine sortir de sa voiture, rapidement bloquée par les contre-manifestants, et a crié en direction de ses partisans: "nous continuerons à marcher quelles que soient les mesures prises par le régime pour nous en empêcher".

Rapidement des dizaines de policiers casqués et armés de matraques sont arrivés pour se positionner tout autour de la placette d'El Madania pour séparer les manifestants, selon un correspondant de l'AFP. Algérie: les députés adoptent l'ordonnance de levée de l'état d'urgence. L'Assemblée nationale populaire (ANP) a également voté deux ordonnances décidées par le président Abdelaziz Bouteflika le 23 février: celle relative à la participation de l'Armée nationale populaire (ANP) à des "missions de sauvegarde de l'ordre public hors des situations d'exception", c'est à dire l'intervention de l'armée pour des infractions qualifiées d'actes terroristes et subversifs. L'autre ordonnance, portant code de procédure pénale, remplace la détention administrative par le placement en résidence surveillée que fixe un juge d'instruction pour une période de trois mois renouvelable deux fois.

Les députés de l'Alliance présidentielle -Front de Libération Nationale (FLN), Rassemblement national démocratique (RND) et Mouvement pour la société pour la paix (MSP)- totalisent 249 députés sur 389. L'opposition ne prend pas part au vote Belga. FRANCE 24 - Abdelaziz Bouteflika s'engage à conduire de nouvelles réformes. ALGÉRIE • Des concessions sociales pour éviter l'ouverture politique. Grèves, sit-in et manifestations se multiplient depuis le début de l'année. Le mécontentement prend de l'ampleur, mais reste pour l'instant limité à des revendications d'ordre socio-économique. Les mouvements sociaux se sont montrés plus convaincants que les initiatives politiques, type CNDC (Coordination nationale pour le changement et la démocratie, créée après les émeutes de début janvier 2011), pour faire aboutir leurs revendications durant le mois de mars.

Les enseignants contractuels, dont les revendications d'intégration en tant que titulaires dans le corps de l'Education remontent à plus de dix ans, sont en passe d'obtenir gain de cause. Le palais présidentiel a donné des instructions au ministre de l'Education nationale pour répondre aux doléances des protestataires qui ont occupé durant plus d'une semaine la place d'El Mouradia, non loin du bureau présidentiel. Ce mois d'avril est tout aussi chargé en tensions. Les mouvements sociaux s'intensifient. Algérie: le président Bouteflika annonce une révision de la Constitution. Syrie, Algérie, Maroc... Des concessions pour calmer la rue.

Alors que le monde arabe continue d’être traversé par l’onde de choc des révolutions tunisienne et égyptienne, certains chefs d’Etat font des concessions de forme pour calmer l’attente de leur population. Le Syrien Bachar al-Assad et l’Algérien Abdelaziz Bouteflika se sont tous les deux adressés à leur pays et ont fait des annonces, tandis que le Maroc libérait des prisonniers politiques. ► Syrie : vers la levée de l’état d’urgence En Syrie, où les protestations ne faiblissent pas dans plusieurs villes du pays, réprimées au prix de dizaines de morts depuis un mois, le président Assad a annoncé samedi que l’état d’urgence serait levé d’ici une semaine.

Un état d’urgence en vigueur depuis... quatre décennies, depuis que son père, Hafez al-Assad, a pris le pouvoir à la tête du régime baasiste. S’exprimant devant le nouveau gouvernement formé jeudi, Assad a prévenu qu’une fois l’état d’urgence levé, il n’y aurait plus d’« excuse » à la contestation qui secoue le pays : Algérie: le président Bouteflika annonce des réformes politiques. Dans un discours très attendu de 20 minutes, son premier depuis les révolutions qui embrasent le monde arabe, Abdelaziz Bouteflika a précisé que ces réformes doivent être réalisées avant les "prochaines échéances électorales nationales" prévues en mai 2012. "Conscient de la responsabilité qui m'incombe, fort de votre soutien et soucieux de préserver l'équilibre des pouvoirs, j'oeuvrerai à introduire des amendements législatifs et constitutionnels en vue de renforcer la démocratie représentative dans notre pays", a assuré Abdelaziz Bouteflika La Constitution de 1996 a été légèrement amendée en 2009 pour permettre à Abdelaziz Bouteflika, 74 ans, de briguer un troisième mandat.

La modification annoncée vendredi soir était réclamée à la fois par l'opposition et par les trois partis de l'Alliance présidentielle. La commission fera des propositions que Abdelaziz Bouteflika va ensuite soumettre soit à l'approbation du parlement, soit par voie de référendum, a-t-il dit. Le président Bouteflika n'a pas convaincu sur sa volonté de réforme.

International Les réformes politiques annoncées vendredi par le président algérien Abdelaziz Bouteflika, prévoyant notamment une révision de la Constitution, ont déçu médias et société civile qui les jugeaient samedi très en deçà de l'exigence de changement du "système" exprimée par l'opposition. Les "unes" de la presse indépendante illustraient largement ce sentiment: "loin des attentes des Algériens" (El Watan), "Bouteflika ignore l'opposition" (El Khabar), "Bouteflika déçoit" (Le Soir). Le président "s'est fait la voix d'un système qui veut garder les choses en main en faisant miroiter des réformes qui ne le sont pas", analyse El Watan, qui soupçonne le chef de l'Etat de chercher à "gagner du temps". "Le système ne changera pas et ne tolérera pas l'ouverture de nouveaux espaces démocratiques", renchérit El Khabar en qualifiant les réformes annoncées de "poudre aux yeux".

M. Des réformes à mettre en oeuvre d'ici un an, par voie parlementaire ou référendaire. Algérie: vingt militaires tués en moins de 48 heures. Cinq soldats sont morts dimanche lorsque les deux véhicules à bord desquels ils circulaient ont sauté sur des bombes près d'Ammal (70 km à l'est d'Alger), chutant dans un ravin, a indiqué à l'AFP une source sécuritaire.

Moins d'une heure auparavant, un gendarme a été tué par l'explosion d'une bombe en milieu de matinée à Bouderbala, dans le département de Bouira (120 km au sud-est d'Alger), près d'un chantier appartenant à une société chinoise, selon cette source. Vendredi soir, quatorze militaires ont été tués et au moins dix blessés lorsqu'un groupe armé islamiste a attaqué un poste militaire à Azazga (140 km à l'est d'Alger). Le poste attaqué est un campement situé l'entrée du massif boisé de Yakouren de 13 000 hectares, traversé par la RN 12 qui grimpe et descend en lacets. Accessible par un chemin forestier interdit aux civils, le poste n'est pas visible à partir de la route et domine un hôpital, à la sortie d'Azazga, en Kabylie. Belga. ALGÉRIE • Les décevantes annonces du président Bouteflika. Attendu depuis les émeutes de janvier dernier, le discours du président Abdelaziz Bouteflika, le 15 avril, n'a pas répondu aux attentes du peuple algérien, qui souhaite une refonte des règles de fonctionnement du régime, estime le site Maghreb émergent. 18 avril 2011 | Partager : Le style de l'annonce a pratiquement éclipsé le contenu du discours du président Abdelaziz Bouteflika [le 15 avril].

Le chef de l'Etat a paru fatigué, expédiant sur un ton monocorde un discours censé annoncer un nouvel élan et un redémarrage des réformes pour anticiper une contestation qui est sociale mais peut devenir politique. Ceux qui ont suivi le discours à la télévision avaient parfois de la peine à saisir le contenu des révisions annoncées. Le discours de Bouteflika a été un mélange d'autosatisfaction pour les "réalisations" des différents plans quinquennaux et l'annonce d'une série de révision de textes qui culminera avec celle de la Constitution. Algérie: des étudiants manifestant se heurtent à la police. Un jeune homme ensanglanté gisait, entouré par des policiers, en marge des manifestants qui se sont très vite retrouvés bloqués des deux côtés de la grande rue Didouche Mourad (ancienne rue Michelet) à quelques centaines de mètres de la Grande Poste, leur lieu de rendez-vous pour une marche en direction du palais du Gouvernement, à moins de deux kilomètres de là.

Une fumée noire très dense s'est élevée du dernier étage d'un lycée attenant à l'université, entraînant l'évacuation des élèves, tandis que les pompiers arrivaient en trombe. Aux cris de "pouvoir assassin", "à bas la répression, "y en a marre de ce pouvoir", les jeunes gens ont tenté une descente vers la Poste, puis se sont retrouvés confrontés à deux groupes de policiers armés de bâtons, casqués et munis de boucliers. Ils se sont brièvement assis au sol face à l'entrée de l'université avant de tenter une marche dans l'autre sens, pour remonter la rue Didouche Mourad. Le tourisme algérien mal placé pour remplacer la Tunisie et l'Egypte. "Le pays n'est pas prêt à accueillir un nombre important de touristes en raison du manque d'infrastructures hôtelières", a déclaré à l'AFP le responsable de Dam Tour, un tour-opérateur du pays, Mohamed Mellah.

Il existe actuellement en Algérie dix hôtels "cinq étoiles" et 1170 autres établissements parmi lesquels 1100 hôtels non-classés appartenant à des privés. "La plupart veulent tirer profit des troubles en Tunisie et de la situation au Maroc pour attirer les touristes étrangers. Mais on ne peut pas construire du jour au lendemain des hôtels avec une baguette magique", ajoute Mohamed Mellah.

Selon lui, le tourisme est plombé par le manque d'infrastructures sur le littoral et la situation sécuritaire dans le Sahara où Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) multiplie les rapts d'Occidentaux. Une touriste italienne Maria Sandra Mariani, 53 ans, enlevée en février dans le Sahara algérien par des hommes d'Aqmi, est toujours entre les mains de ses ravisseurs. ALGÉRIE • Alain Juppé en visite à Alger et à Oran. ALGÉRIE • Frimer ou quitter le pays, avec l’aide de l’Etat.

L’argent injecté via les dispositifs d’aide à l’emploi des jeunes attise les convoitises. Diverses stratégies sont déployées pour récupérer l’argent public. Enquête du quotidien algérien El-Watan. J’attends avec impatience l’accord de l’Ansej pour réaliser mon rêve : quitter ce pays !” Mourad, 22 ans, de Dar El-Beïda [commune située à 14 km au sud-est d’Alger], a déposé une demande auprès de l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (Ansej) pour ouvrir une pâtisserie.

Selon le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, 15 000 crédits au profit des jeunes au­raient été octro­yés depuis janvier dernier dans le cadre de l’Ansej. Blanchir de l’argent Avant l’implication de gros barons de l’informel, les candidats de l’Ansej négociaient directement avec les fournisseurs qui leur signaient les factures pro forma nécessaires pour constituer leur dossier. Leur méthode d’infiltration ?

Mahmoud fait partie des clients d’Issam. Des scènes de bousculades. ALGÉRIE • Alain Juppé rencontrera-t-il le président Bouteflika ? FRANCE • Alain Juppé redonne le sourire à l'Algérie. Le printemps arabe, 6 mois plus tard. ALGÉRIE • En Kabylie, l'insécurité au quotidien. ALGÉRIE • Ce qui attend Jean-François Copé à Alger. A quoi joue l'Algérie avec les nouvelles autorités libyennes ? Le colonel Kadhafi en Algérie ? Alger dément "catégoriquement" L'Algérie visée par Aqmi pour son soutien présumé au colonel Kadhafi.

L'épouse de Mouammar Kadhafi et trois de ses enfants en Algérie. Dispersion et disparition, l'entourage de M. Kadhafi rétrécit. LIBYE • Une partie du clan Kadhafi se réfugie en Algérie. ALGÉRIE • Alger s'explique sur l'asile accordé au clan Kadhafi. Algérie : la diplomatie américaine s'intéresse au frère de Bouteflika. ALGÉRIE • Violents affrontements pendant des opérations de relogement. SAHEL • Les pays sahéliens réunis à Alger pour parler sécurité. ALGÉRIE • Les médias restent circonspects face aux réformes annoncées. Manifs en Algérie : la "main de l'étranger" et le "sioniste BHL" | Rue89. L'Algérie, un "pays pathétique" selon des diplomates français. Les salariés de l'hôtel Sheraton d'Alger font leur printemps arabe. ALGERIE • Cinquante ans après le 17 octobre 1961. A l'origine d'« Octobre noir », le 17 octobre 1961 en animation.

Algérie : Radio France fait la promo du régime Bouteflika. En Algérie, les Chinois raflent tous les contrats | Rue89. Colère après l'immolation d'un avocat algérien sans emploi | Rue89. Algérie : Les islamistes se préparent à prendre le pouvoir | Rue89. 2012, L’année de tous les dangers - A la une. ALGÉRIE • Le quotidien El-Watan sur la sellette. IMMOLATIONS • Ces Mohamed Bouazizi que Alger ne veut pas voir.

ALGÉRIE • Bouteflika fixe les législatives au 10 mai. ALGÉRIE • Des observateurs étrangers pour les élections législatives. ALGÉRIE • La société civile donne de la voix. FEMMES • Encore des batailles à gagner. Deux journalistes agressés par la police : les violences deviennent systématiques. Algérie : Un observatoire participatif à la veille des élections législatives. ALGÉRIE • Le président du CNT libyen parle sécurité avec Alger. ALGÉRIE • Fin de campagne sur fond de crise démocratique. ALGÉRIE • Législatives : l’abstention donnée gagnante. ALGÉRIE • L'abstention, vainqueur des législatives ? ALGÉRIE • Législatives : 42,9 % de participation.

L'exception algérienne: revers pour les islamistes. Législatives en Algérie: un parti radical islamiste menace d'une révolution. ABDELAZIZ BOUTEFLIKA, PRÉSIDENT DE L’ALGÉRIE • Vieux. Algérie: l'installation de la nouvelle Assemblée perturbée par les islamistes. Un journaliste condamné à de la prison ferme malgré le nouveau code de l’information.

ALGÉRIE • La “hogra”, ou la galère au quotidien. ALGÉRIE • Un pays entré dans "l'indépendance à reculons" ALGÉRIE • Une nouvelle manifestation des gardes communaux empêchée. Libye : quand Bouteflika raccrochait au nez de Kadhafi en fuite. ALGÉRIE • La population se mobilise pour aider les réfugiés syriens. ALGÉRIE • Bouteflika et sa mosquée tape-à-l'œil. ALGÉRIE • "La garde prétorienne de Bouteflika évincée" Algérie : Les manifestations anti-US en retrait par rapport aux autres pays arabes. Algérie : Une pétition #FreeYacine Zaid pour la libération de Yacine Zaid. Tribunes de la presse • Dilem : "En Algérie, le dessinateur a toujours devancé le rédacteur" ALGÉRIE • Dans le luxe de l’Etat. ALGÉRIE • Pétrole et chômage font bon ménage. Championne ! Les dirigeants algériens, ces artistes méconnus.

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