background preloader

ART CONTEMPORAIN

Facebook Twitter

The Life and Art of George Segal | The George and Helen Segal Foundation | Home. The George and Helen Segal Foundation was created in 2000, shortly after George Segal's passing. Its purpose is to continue showing Segal's work around the world, to give out grants to artists, to gift Segal's work to museums and galleries, and to provide an authoritative place to purchase the art of this world-renowned painter, sculptor, and visionary. Through this website, we hope that you will learn about George Segal's life, art, and legacy. PBS made a wonderful production about George Segal's life and his art. You can view more information about the documentary by clicking here. A Video Tour of Segal's Studio A Teacher's Guide [PDF] Transcripts from Many Segal Interviews If you would like to purchase the documentary, please click here. Ron Mueck en tête des visites à la Fondation Cartier. EN IMAGES - Le sculpteur anglo-australien présentait ses œuvres hyperréalistes depuis avril à Paris.

L'exposition a attiré plus de 300.000 visiteurs, un record absolu pour le lieu qui l'accueillait. La rareté et l'étrangeté des œuvres ont attiré les visiteurs. La Fondation Cartier accueillait jusqu'au 27 octobre les réalisations du sculpteur Ron Mueck, connu pour ses sculptures minutieuses de corps humain. En sept mois, 300.000 personnes sont venues découvrir le travail de l'artiste. Un record pour la fondation, qui n'avait jamais atteint cette fréquentation pour une exposition depuis sa création en 1984.

Ron Mueck avait déjà exposé dans le lieu, en 2005. Cette nouvelle exposition était cependant la plus complète et la plus actuelle concernant le travail de l'artiste, comme s'en réjouissait la Fondation Cartier. Cet hyperréalisme évocateur, loin de donner à voir une simple copie de la réalité, soulève des questions sur l'humain et son environnement. Jake et Dinos Chapman. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Chapman. Jake (né le à Londres) et Dinos Chapman (né le à Cheltenham) sont deux frères artistes plasticiens britanniques. Il vivent tous les deux à Londres. Biographie[modifier | modifier le code] La véritable dimension de l'œuvre tient au cynisme de l'ambition, qui est explicitement d'atteindre à une valeur culturelle nulle.

Récemment, leur travail s'est axé sur la construction de maquettes, agrémentées de figurines en modèle réduit, et représentant diverses scènes, notamment l'Holocauste sur la pièce intitulée Hell[1]. Ces artistes jouent beaucoup sur l'effet de choc de leurs thèmes, sur la controverse et le second degré. Prix et distinctions[modifier | modifier le code] Nommés au prix Turner en 2003 Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Crash Toys by Dario Tironi and Koji Yoshida | Jeremyriad. I was really taken by this collection of sculptures by Dario Tironi and Koji Yoshida called Things (Crash Toys). The artwork itself is visually interesting, and I’m fond of discarded toys used as an artistic (and provocative) medium (recently: Michael Wolf and Vitshois Mwilambwe Bondo). But what held my attention even longer was how well a trio of Italian art critics described the art in words.

Writing about art is a skill I strive (each day) to improve upon. Sometimes I worry that the best mentors and role models will be overcome by the occupational hazards of being a writer. So permit me to quote a few skilled writers on Crash Toys, as I enjoyed their words as much as I enjoyed Tironi and Yoshida’s art. Isabella Del Guerra says “we are what we consume”: Tironi and Yoshida encourage us to think about how mankind is contaminated by technology and how we can no longer do without it. Barbara Melato cuts right to the point: Within the context of modern art, per Alberto Agazzani:

George Segal. George Segal occupe, parmi les artistes de sa génération, une place un peu à part. Né à New York, il assiste à l’émergence, dans les années 50, de l’Expressionnisme abstrait, contre lequel il décide de s’insurger. G. Segal commence une carrière de peintre figuratif, puis se dirige, dès 1961, vers la sculpture, moyen le plus apte à exprimer la réalité de la vie quotidienne. Il doit à son attrait pour les objets usuels manufacturés le fait d’être fréquemment considéré comme l’un des initiateurs du Pop Art. Pourtant G. Segal, au contraire des artistes de ce mouvement, rejette l’anonymat de la création, refuse l’intention de choquer et l’utilisation de la répétition.

Après avoir acquis une formation artistique au début des années 40 à la Cooper Union School of Art, George Segal décide d’entrer en 1947 au Pratt Institute of Design afin d’obtenir un diplôme lui permettant d’enseigner l’art. Ses peintures firent l’objet d’une exposition individuelle à la Hansa Gallery (New York) en 1956. LE DÉVALOIR. L'art au coin de la rue - L'Internaute Photo numérique. Répertoire et Agenda des artistes en art contemporain. Lacritique.org.