Les enfants fantômes, un défi pour l'Afrique - Présidentielles 2 – Une priorité absolue : du social à l’école. Il est bien dommage que la campagne électorale ait été préemptée par les turpitudes financières de certains de ceux qui, sans vergogne, aspirent à nous gouverner en appelant à la rigueur après avoir apparemment singulièrement violé la loi et la morale.
Il reste difficile dans ce contexte d’aborder, en allant au fond, les vrais sujets auxquels nous sommes confrontés. Tout au plus peut-on les identifier et esquisser des pistes quand il faudrait, souvent dans les meilleurs délais, dès le début du quinquennat prendre des décisions. L’une est majeure de longue date à mes yeux : venir aider très tôt les jeunes enfants d’évidence en difficulté. C’est à peine si les pouvoirs publics sortant en prennent conscience et – je veux paraître optimiste – que ceux qui leur succéderont aient amorcé la réflexion sur le sujet. Encore faudrait-il que ces services sociaux soient informés sans tarder que de très jeunes enfants, et par-delà leur famille, rencontrent de sérieuses difficultés. Qui est le Prix Nobel de la paix Kailash Satyarthi ? L'ingénieur électricien indien de 60 ans est une figure discrète du combat pour les droits des enfants exploités.
Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Inconnu du grand public en Occident, l'Indien Kailash Satyarthi, qui a reçu le prix Nobel de la paix, vendredi 10 octobre, avec l'adolescente pakistanaise Malala Yousafzai, est une figure discrète du combat pour les droits des enfants. C'est donc, logiquement, aux « millions d'enfants qui souffrent » que l'ingénieur électricien de formation de 60 ans a adressé ses premiers mots en apprenant que son engagement était récompensé. « L'honneur va à l'ensemble des citoyens de l'Inde.
Je vais poursuivre mon travail pour le bien des enfants », a ajouté cet admirateur de Gandhi. Il raconte que le déclic a eu lieu chez lui dès l'âge de 6 ans, lorsqu'il a vu un garçon de son âge sur les marches de son école en train de brosser des chaussures avec son père. M. Tenter la « parentalité positive » contre la violence éducative.
A l'occasion de la journée de la non-violence éducative, rencontre avec des parents qui cherchent une autre voie pour leurs enfants.
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Anne-Aël Durand A l'occasion de la journée de la non-violence éducative, le 30 avril, rencontre avec des parents qui cherchent une autre voie pour leurs enfants, entre la fessée et le tout-permissif. « Les craies sont par terre, elles doivent être rangées. Viens, nous allons le faire ensemble. » Fanny prend Loane, 6 ans, par la main, s'accroupit et commence à ramasser les craies de couleur éparpillées sur la terrasse. Sa fille l'imite, accompagnée de Kim, 3 ans. . « Habiletés de langage » et règlement sur le frigo Fanny Voirol s'inscrit alors à des ateliers de parentalité positive, fondés sur la méthode de Faber-Mazlich, deux auteures qui ont popularisé aux Etats-Unis les travaux du psychologue Haïm Ginott.
Fanny Voirol fréquente aujourd'hui un nouveau groupe, L'Atelier des parents. “On mise tout sur notre enfant” Fessée : la France devient le 52e pays à l’interdire. La Suède a été le premier Etat à légiférer contre les châtiments corporels sur les enfants, désormais interdits dans la majorité des pays d’Europe, ainsi qu’en France depuis le 22 décembre.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Anne-Aël Durand Le Parlement français vient d’entériner l’interdiction de la fessée. L’article 22 du projet de loi « égalité et citoyenneté » adopté le 22 décembre prévoit « l’exclusion de tout traitement cruel, dégradant ou humiliant, y compris tout recours aux violences corporelles ». 20 novembre, Journée internationale des droits de l’enfant ! DROITS DES ENFANTS : ETAT DES LIEUX.