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Quelques graphiques suffisent à prouver que la sécu ne pourra pas survivre. La hausse de plusieurs millions des personnes de plus de 65 ans, combinée à la forte hausse des dépenses de santé de cette tranche d’âge, condamne à moyen terme l’assurance maladie telle que nous la connaissons.

Quelques graphiques suffisent à prouver que la sécu ne pourra pas survivre

Alerte Les personnes âgées « coûtent » énormément plus que le reste de la population. Crédit Reuters Ajouter au classeurSuivre ce contributeurLecture zen Intéressé par cet auteur ? Pour retrouvez facilement ses articles dans votre compte et recevoir une alerte à chacune de ses contributions : Lire ou relire plus tard Pour classer cet article et le retrouver dans votre compte : Besoin de vous concentrer Pour lire cet article dans sa version zen : Je m'abonne Peu avant les élections américaines, je discutais avec des amis de ce héros cool qui avait importé la sécurité sociale à la française – ce qui n’est pas le cas – dans cette jungle d’égoïsme barbare que sont les Etats-Unis.

Vous avez atteint le nombre d'articles que vous pouviez lire gratuitement ces 30 derniers jours Publicité Acrithène. La sécu, est elle un monopole, chapitre n°2. Mythe 1 : la Sécurité sociale est un acquis social plébiscité par tous les Français La réalité : La sécurité sociale fut élaborée par le (CNR), au sortir de la guerre.

La sécu, est elle un monopole, chapitre n°2

Elle est instaurée par un gouvernement provisoire non élu.Sorti d’un programme politique organisé par les communistes inféodés à l’URSS. Les professions agricoles, les salariés des régimes spéciaux n’y adhéreront pas. Il existait avant des caisses de retraite qui fonctionnaient très bien, mais le gouvernement de Vichy, avait détourné les provisions des assurances sociales vieillesse pour les donner aux « vieux travailleurs ». On peut parler en ce qui concerne la Sécurité sociale « d’abus de droit », puisqu’en en mai 1946, la proposition de Constitution de la IVe République est rejetée par référendum.

Mythe 2 : la Sécurité sociale, c’est l’État L’organisation de la Sécurité sociale est par construction indépendante de l’État. Il n’y a pas en France d’assurance maladie étatique comme dans certains pays. Le mensonge autour de la sécurité sociale (de 1986 à nos jours) Cette Belle Histoire commence en 1986 avec l’Acte Unique Européen qui prévoyait la libre circulation des personnes, des marchandises, des services et des capitaux à l’intérieur des Etats membres de la Communauté européenne.

Le mensonge autour de la sécurité sociale (de 1986 à nos jours)

La libre installation des personnes était cependant, en pratique, gravement entravée par l’existence de monopoles concernant la protection sociale dans certains pays de la Communauté européenne … En effet, un grand nombre de citoyens communautaires bénéficiaient, dans leur pays d’origine où cela était possible, d’assurances maladie ou de retraites privées.

Autrement dit, devant les inconvénients et les difficultés d’une installation dans un pays à monopole social, les citoyens communautaires risquaient fort de devoir y renoncer, faisant de tels pays des espaces interdits en pratique à la libre installation. Cette situation était évidemment inacceptable. M. Jospin, alors Premier Ministre, ne pouvait plus retarder l’échéance. Alors de quelle solidarité ? Alors de qui ? Les vilains mensonges de la Sécurité Sociale. Je le disais il y a quelques mois : le monopole de la Sécurité Sociale est définitivement tombé . Mais le plus difficile reste maintenant à convaincre les Français que c’est effectivement le cas. Et, comme on va le voir, du côté de l’institution collectiviste, tous les moyens sont bons pour cacher cette information, ou, pire encore, pour mentir et conserver ainsi le statu quo .

La soupe est trop bonne. L’ article que je viens d’évoquer expliquait essentiellement que l’avis motivé de la Commission Européenne établissait sans nul doute possible la nature des régimes français de sécurité sociale comme étant des régimes professionnels et non légaux. Bien évidemment, l’article avait suscité pas mal de réactions, probablement autant que lorsque certains, incrédules, prennent connaissance des épisodes actuellement relatés sur Contrepoints de la tentative d’un libéral de s’affranchir complètement des organismes collectivistes monopolisés français (le dernier est lisible ici ).