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La « triade impérialiste » : Europe, États-Unis, Japon

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Porte-flingues. La machine de guerre américaine. La transcription intégrale de l'interview de Vladimir Poutine et les « coupes » scandaleuses des médias mainstream français. Voici la transcription de l'interview de Poutine d'hier. C'est la traduction de la version intégrale issue du site du Kremlin (ou ici en russe, ou là). © Inconnu En effet, pour faire tenir cette interview de 41 minutes en 24 minutes, TF1 a sabré largement dans certaines parties. Comme il a été décidé de couper des éléments essentiels sur la Crimée, l'opposition dans les médias français, et de laisser des propos sans intérêts genre sur la langue qu'il utilise avec Hollande, le mot censure me semble adapté - vu qu'il y a rétention d'informations importantes qui éclaireraient le public français. Tout est donc traduit ici - les passages censurés sont en exergue - à vous de voir s'ils méritaient de l'être...

Question - Bonsoir, M. le président. Vladimir Poutine - C'est un événement important pour l'Europe et le monde entier. Question - Justement, vous avez, avec la Russie, votre place sur les plages de la Normandie. Vladimir Poutine - Non, bien sûr. Vladimir Poutine - Preuves ? Oligarchie euro-atlantiste. Séisme : Russie et Chine abandonnent officiellement le pétrodollar. BREIZATAO – ETREBROADEL (28/08/2014) Après que Vladimir Poutine ait annoncé le 14 août dernier que la Russie voulait désormais vendre son gaz en devises nationales et non plus en dollar US, il n’aura pas fallu attendre longtemps pour que Moscou mette au point un accord global avec la Chine allant en ce sens.

Selon RIA Novosti qui cite la revue Kommersant, le gouvernement russe a d’ores et déjà expédié deux navires vers l’Europe avec à leur bord 80 000 tonnes de pétrole en provenance de Novoportovskoye, un champ d’extraction situé dans l’Arctique. Ces deux livraisons seront réglées en roubles et non en dollars, du jamais vu. La Russie livrera aussi du pétrole via le Pipeline Est-Sibérien / Océan Pacifique (ESOP) à destination de la Chine qui sera réglé en yuans chinois.

Selon Kommersant, il s’agit là d’une mesure de “protection” de la Russie consécutive aux sanctions prises par les USA à son encontre. La guerre de la finance privée. Le néoconservatisme néolibéral. Mecanisme de la dette publique, néoliberalisme et pouvoir de classe. Une des forces de l'argument du remboursement de la dette publique est l'apparente neutralité de la mesure. Rembourser la dette n'est qu'une question comptable dépourvue de tout agenda caché. « Il nous faut rembourser la dette car un État ne peut vivre au delà de ses moyens ». Imparable comme position. Pourtant, en creusant un peu, il est clair que l'analyse comptable permet d'occulter une vision en termes de classe, pourtant au cœur de la gestion de la dette telle qu'elle se fait depuis plusieurs décennies. Si l'utilisation de la dette comme moyen de domination n'est pas neuve |1|, les années 70 et le ralentissement de l'économie dans les pays du premier monde vont voir l'argument du remboursement de la dette être utilisé par les grandes puissances, avec un double objectif rapidement atteint : la mainmise sur les territoires nouvellement indépendants (le tiers monde) et la restauration du pouvoir de classe dans les économies dites du premier monde.

New-York, nous voici ! Notes : L’aveu US et les accords transatlantique (TTIP, TAFTA, GMT) Le terrorisme est devenu l’essence de la politique intérieure et extérieure des USA. Le double jeu américain avec le Calife. Thierry Meyssan, qui est pour beaucoup le diable, mais pour d’autres, dont nous sommes, un consultant politique généralement bien informé (d’autant mieux informé qu’il refuse de s’informer exclusivement auprès des sources mainstream américano-américaines), confirme dans un article publié par le Réseau Voltaire ce que beaucoup soupçonnaient sans en avoir de preuves précises : les États-Unis, qui se considèrent plus que jamais en guerre contre la Russie, et plus récemment en guerre contre la Chine, s’efforcent d’utiliser les djihadistes présents dans certaines parties de la Russie et de la Chine pour déstabiliser ces deux pays, en les engageant dans des guerres civiles internes épuisantes.

Concernant la Russie, la manœuvre a été entreprise en appuyant les indépendantistes musulmans tchétchènes, lesquels ont multiplié les attentats au cœur de la Russie. Dans les deux cas, Washington ne se met pas directement en avant. Jean-Paul Baquiast Source : Qui compose l’« Émirat islamique » ? Le retour du plan US de remodelage du « Moyen-Orient élargi », par Thierry Meyssan. Le calife Ibrahim Le président Obama a annoncé, lors d’une allocution télévisée le 10 septembre 2014, la poursuite de la stratégie imposée à son pays par les putschistes du 11 septembre 2001 : le remodelage du « Moyen-Orient élargi » [1]. Ce projet, que l’on croyait abandonné depuis la défaite de Tsahal contre la Résistance libanaise, en 2006, consiste non seulement à diviser les grands États de la région en une multitude de petits États non-viables, mais aussi à les rendre ethniquement homogènes, ce qui suppose de vastes déplacements forcés de population. Dans un article étonnant, écrit le 13 septembre 2001 pour la revue de l’Armée de terre, Parameters [2], le colonel Ralph Peters observait que Washington n’a rien à craindre de fondamental du terrorisme et qu’il ne doit pas hésiter à en faire usage.

Première partie : expulsion de la population de Gaza Cet été, la première partie du plan actuel a échoué à Gaza. Seconde partie : nettoyage ethnique en Irak Al-Qaïda et l’Émirat islamique. Les contre-révolutions. Les États-Unis et le CCG bombardent des objectifs inconnus en Syrie. Le 23 septembre 2014, les États-Unis et des membres du Conseil de coopération du Golfe (Arabie saoudite, Bahrein, Emirats arabes unis, Jordanie et Qatar) ont bombardé des objectifs terroristes en Syrie.

Officiellement, il s’agissait de détruire les centres de commandement de l’Émirat islamique. Les bombardements ont principalement été effectués depuis le Golfe persique sur la ville de Raqqa. Or, l’Émirat islamique s’était retiré de Raqqa deux jours auparavant et avait avancé en prenant une vingtaine de villages kurdes syriens. Il semble que le véritable objectif n’était pas l’Émirat islamique, mais une autre entité nommée par le Renseignement US le « Groupe Khorasan ». La Fédération de Russie a dénoncé une violation de la souveraineté syrienne, cependant la presse états-unienne assure que le raid avait été annoncé d’une part à l’ambassadeur Bachar el-Jafari à l’Onu et d’autre part à l’opposition syrienne à Paris (considérée comme représentant légitime du peuple syrien) qui a accepté. Milieux djihadistes. Émirat du Qatar. Oligarchie euro-atlantiste. Les guerres de l'ombre : france et autres. Avertissement au monde : Washington et ses vassaux de l'OTAN et de l'UE sont devenus fous (Paul Craig Roberts) - Le-Blog-Sam-La-Touch.over-blog.com.

Avertissement au monde : Washington et ses vassaux de l'OTAN et de l'UE sont devenus fous. Article originel : Warning to the World: Washington and its NATO & EU Vassals are Insane Par Paul Craig Roberts Traduction de SLT Herbert E. Meyer, un dingue qui fut pendant un temps assistant spécial du directeur de la CIA sous l'administration Reagan, a écrit un article appelant à l'assassinat du président russe Vladimir Poutine. Si nous pouvions "le faire partir du Kremlin les deux pieds devant avec un trou derrière la tête, ce serait bien pour nous. " Comme l'illustre très bien ce fou de Meyer, la folie que Washington a déversé sur le monde ne connaît plus de retenue. De toute évidence, Poutine n'a pas émis de menace. Le mensonge que la marionnette de Washington, Barroso, a fait n'est pas digne d'une personne sérieuse.

Selon la règle selon laquelle toute personne qui sert de Washington est valorisée, le numéro Rasmussen a été promu. Oui, les nazis. "M. Exclusif | Comment les États-Unis ont façonné le Monde en 2014 ? Le Nord de l’Irak est dévasté depuis des semaines par les troupes du « califat islamique », y voyez vous un lien avec les méthodes que vous venez d’expliciter ? Dans le cas de l’EIIL et de l’EI, nous savons désormais de source sûre que les gouvernements occidentaux, dont le notre, ont participé à l’armement et à la formation des troupes rebelles syriennes qui s’opposaient à Bashar Al Assad. Comme vous le savez, une partie importante d’entre eux était constituée de takfiristes excessivement violents, que l’on retrouve aujourd’hui en Irak, ce qui n’est pas sans nous rappeler les récents troubles que l’on a pu observer au Mali.

Cela m’a été confirmé personnellement par des amis que j’ai gardé dans le renseignement qui m’ont confirmé l’origine américaine d’une partie de l’armement des djihadistes. L’on voit également apparaître ici et là sur de nombreuses photographies notre fameux fusil d’assaut français, le FAMAS. Deux possibilités s’offrent alors à nous :

0tan-Gladio. Sommet Afrique-USA : une course pour le contrôle des ressources africaines. Les 5 et 6 août, la capitale des États-Unis, Washington, a été le lieu d'un évènement historique : le premier Sommet de chefs d'Etat d'Afrique et des États-Unis. La démocratie et les droits de l'homme : grands absents du Sommet La démocratie et les droits de l'homme ne seront pas parmi les objectifs du Sommet, en dépit de la propagande habituelle des États-Unis. En effet, de nombreux dictateurs patentés et violateurs des droits humains feront partie des chefs d'État qui sont invités à Washington. Il serait fastidieux de les citer tous.

Mais parmi eux, on comptera Paul Biya du Cameroun, Idriss Deby Itno, du Tchad, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, de Guinée Équatoriale, au pouvoir depuis 1979, après avoir assassiné son propre oncle ! Et que dire alors de Blaise Compaoré du Burkina Faso, assassin de Thomas Sankara et d'autres valeureux fils du pays des hommes intègres ? La course pour le contrôle des ressources africaines L'ombre de la Chine Le génocide du peuple palestinien entachera le Sommet.

La "FrancAfric"