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"Los contras"

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CIA and Contras cocaine trafficking in the US. Central Intelligence Agency The involvement of the United States Central Intelligence Agency (CIA) in cocaine trafficking in Central America during the Reagan Administration as part of the Contra war in Nicaragua has been the subject of several official and journalistic investigations since the mid-1980s.

CIA and Contras cocaine trafficking in the US

Early reports[edit] "Once you set up a covert operation to supply arms and money, it's very difficult to separate it from the kind of people who are involved in other forms of trade, and especially drugs. There is a limited number of planes, pilots and landing strips. By developing a system for supply of the Contras, the US built a road for drug supply into the US. " In 1984, U.S. officials began receiving reports of Contra cocaine trafficking.

In 1985, another Contra leader "told U.S. authorities that his group was being paid $50,000 by Colombian traffickers for help with a 100-kilo cocaine shipment and that the money would go 'for the cause' of fighting the Nicaraguan government. " Plouto-narco-cratie. CIA Central Intelligence Agency. Émirat du Qatar. Les gangs armés par des puissances étrangères tuent des civils. MI6. Armes made in Israel pour les Contras syriens de l’Oncle Sam ? Le fait mérite d’être noté :jusqu’à une date récente, l’État hébreu ne s’était guère fait remarquer sur le volet syrien de ce que nos media ont – un peu abusivement, il est vrai – appelé les « révolutions arabes ».

Armes made in Israel pour les Contras syriens de l’Oncle Sam ?

La (relative) prudence hiérosolymitaine n’était pas infondée. Les Israéliens estimant notamment le comportement de Washington sur le sujet comme essentiellement « ostentatoire ». Le veto russe a, semble-t-il, passablement durci la position israélienne. Le Premier ministre Binyamin Nétanyahu haussant le ton. Tout comme d’autres personnalités hiérosolymitaines. Les pays de l'ALBA dénoncent à leur tour l'ingérence des « Contras » en Syrie. Dans un communiqué publié en marge du XIème sommet de l’organisation, les 9 États membres de l’ALBA (Alliance Bolivarienne pour les peuples de notre Amérique) ont rejeté ce dimanche la « politique systématique d’ingérence et de déstabilisation » qui cherche à « imposer par la force un changement de régime au peuple syrien ».

Les pays de l'ALBA dénoncent à leur tour l'ingérence des « Contras » en Syrie

Contras et reContras nicaraguayens (1982-1993) : réflexions sur l'action armée et la constitution d'acteurs politico-militaires. Création des Contras au Nicaragua. « Contras » et « compas », une même amertume, par Raphaëlle Bail. Héros national de la lutte anti-impérialiste des années 1920, Augusto Cesar Sandino les appelait les « frontières oubliées du Nicaragua ».

« Contras » et « compas », une même amertume, par Raphaëlle Bail

Quatre-vingts ans après, les régions du nord se consolent de leur isolement en occupant une place essentielle dans l’imaginaire collectif du pays : elles furent, dans les années 1980, le théâtre des combats les plus acharnés entre l’Armée populaire sandiniste (EPS) et la Résistance nationale, dernière appellation des contre-révolutionnaires, plus connus sous le nom de contras. Témoins de luttes fratricides, las montañas, zone montagneuse pelée aux forêts mutilées par les coupes sauvages et au sol noirci par les brûlis, abritent désormais des démobilisés des deux camps.

Redevenus paysans, ils cultivent un peu de terre et attendent toujours la construction des logements, écoles et centres de soins promis... il y a plus de dix ans. Taille de l’article complet : 2 228 mots. Résister aux milices armées soutenues par l’étranger est une question de survie pour le peuple syrien. Victime de milices islamistes violentes qui terrorisent les gens, la population syrienne craint ces opposants armés qui sèment la peur et le chaos.

Résister aux milices armées soutenues par l’étranger est une question de survie pour le peuple syrien

L’écrivaine syrienne Nadia Khost — auteur de nombreux ouvrages d’essais et de nouvelles portant sur l’histoire, l’architecture, la conservation et la protection du patrimoine de la Civilisation Arabe — vit à Damas. Ce qu’elle nous dit ici, sur ce qui se passe véritablement en Syrie, doit être pris très au sérieux. Son témoignage ne correspond en rien à la version des faits qui nous est rapportée par de prétendus « grands reporters » français. Il n’y a plus de fioul à Alep… les vendeurs ne peuvent que crier leur détresse aux observateurs délégués par la Ligue Arabe : « Nous sommes des travailleurs démunis, les bandes armées coupent les routes, volent le fioul, dérobent ou détruisent nos véhicules… quand ils ne nous tuent pas ! ».

En effet, l’un des buts de l’assassinat de soldats et de policiers est justement la généralisation du chaos. Le rapport de la Ligue Arabe donne des preuves de l’implication de la CIA, du MI6 et du Mossad derrière les violences en Syrie. Des extraits du rapport des observateurs de la Ligue Arabe en Syrie montrent clairement que les médias ne disent qu’une partie de l’histoire et exagèrent la violence exercée par le gouvernemnt Al-Assad et ses forces de l’ordre.

Le rapport de la Ligue Arabe donne des preuves de l’implication de la CIA, du MI6 et du Mossad derrière les violences en Syrie

Affaire Iran-Contra. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Affaire Iran-Contra

Contras. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Contras

Les Contras (terme espagnol signifiant « contre-révolutionnaires »), appelés aussi Résistance nationale, étaient des groupes de lutte armée opposés au gouvernement sandiniste du Nicaragua qui a succédé à la chute, après une guerre civile, du dictateur Somoza, au pouvoir depuis cinq ans. Historique[modifier | modifier le code] Initialement soutenus par la dictature argentine de Videla (entre autres car les mouvements activistes de gauche argentins participèrent à la guerre civile au Nicaragua de 1979 et à l'assassinat de l'ancien président Somoza[1]) et la CIA, les Contras utilisaient les méthodes de guérilla et opéraient des raids contre l'économie et l'administration, notamment dans le nord du Nicaragua à partir de bases arrières situées au Honduras.

En , ces groupements prennent le nom de RN (Résistance nicaraguayenne)[3]. Le , le président Daniel Ortega décide la suspension du cessez-le-feu avec la Contra antisandiniste.