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"L'effet Lucifer"

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CIA Central Intelligence Agency. Cet obscur objet de haine et de désir : de l'individuation au leadership. Cet obscur objet de haine et de désir J'ai découvert par la newsletter du Monde Diplomatique la sortie de ce film remarquable à en juger par les extraits vidéo présentés : J'ai très mal au travail, cet obscur objet de haine et de désir, de Jean-Michel Carré.

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Le sujet de la déshumanisation de l'entreprise est redoutablement sérieux et grave pour saluer cette initiative. Cette ex-salariée de Moulinex qui témoigne, voir le site de la boutique du Monde Diplomatique, est d'une lucidité incroyable et d'une profondeur bouleversante. Toute personne qui exerce une responsabilité de vie ou de mort professionnelle sur ses collaborateurs, autrement dit manager ou dirigeant, a le devoir déontologique de regarder cet extrait. D'ailleurs, je l'intègre sur le champ à mon programme de Leadership que j'anime à HEC. C'est aussi la faute des hommes qui assument des responsabilités de management sans avoir la maturité requise.

Pourtant les modèles conceptuels et les outils existent. L'effet lucifer : de l'individuation au leadership. L'Effet Lucifer Pourquoi ou comment des hommes peuvent-ils se comporter de manière inhumaine, voire diabolique ?

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Cette pesante question n'a pas fini de hanter nos esprits et pour s'en alléger, le quidam, vous, moi, se rassurera en affirmant que lui, ô grand jamais, ne saurait commettre d'actes barbares. Philip Zimbardo, Pr de psychologie à Stanford, s'est passionné pour cette question. En 1971, il réalisait une expérimentation avec des étudiants comparables en tout point à des individus sains, de corps et d'esprit comme vous et moi. Le principe de l'expérience est simple : après une affectation aléatoire, certains étudiants deviennent des prisonniers, d'autres des geôliers.

Comme le montrent les images présentées dans sa conférence, les sévices commis par les militaires américains dans la prison d'Abu Ghraib illustrent parfaitement ce principe. Ceci dit, sans cherchez aussi loin. Posté par selfway le janvier 19, 2009 à 01:09 AM | L'Effet Lucifer TrackBack URL TrackBack de cette note: Banalité du mal. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Banalité du mal

La « banalité du mal » est un concept philosophique proposé par Hannah Arendt en 1963 dans son ouvrage Eichmann à Jérusalem. Rapport sur la banalité du mal. Le concept[modifier | modifier le code] Hannah Arendt, philosophe et spécialiste de théorie politique, juive allemande, réfugiée aux États-Unis, suit, en 1961 et 1962 en Israël, le procès d'Adolf Eichmann, criminel de guerre nazi, en tant qu'envoyée spéciale du New Yorker. Elle estime qu'Eichmann, loin d'être le monstre sanguinaire qu'on a décrit, est un homme tristement banal, un petit fonctionnaire ambitieux et zélé, entièrement soumis à l'autorité, incapable de distinguer le bien du mal.

Ce concept pose des questions essentielles sur la nature humaine : l'inhumain se loge en chacun de nous. Aujourd'hui l'imprégnation idéologique des exécuteurs est considérée comme plus importante que ce qu'en pensait Hannah Arendt dans les années 1960. Bibliographie[modifier | modifier le code] L’effet Lucifer. Par Yann • 6 sept, 2011 • Catégorie(s): Culture Dernièrement, ce documentaire est passé sur Arte.

L’effet Lucifer

L’auteur utilise les résultats de l’expérience de Stanford pour tenter une explication sur ce qui s’est passé à Abu Grahim. L’expérience de Stanford et Abu Ghraib Pour Arendt la seule possibilité d’écarter ce “mal” c’est de continuer à “penser” (c’est-à-dire s’interroger sur soi, sur ses actes, sur la norme) La banalité du mal (4) Ces expériences vont complètement à l’encontre d’une idéologie à la mode – car simpliste – qui pense qu’on peut détecter les délinquants dès leur plus jeune âge. . (1) Expérience de Milgram (2) I comme Icare Milgram (3) Prisonniers pour la Science (4) Banalité du mal Voie Militante. The Lucifer Effect: Ron Paul and the Stanford Prison Experiment. The Lucifer Effect by Philip Zimbardo is an in depth study of mankind’s capacity for evil, beginning with the complete treatise on the Stanford Prison Experiment, taking us through numerous similar studies on obedience and the corrupting influence of authority, and ending with the atrocities committed by US soldiers in Abu Ghraib.

The Lucifer Effect: Ron Paul and the Stanford Prison Experiment

But as I was reading, I kept thinking of Ron Paul and the ongoing controversy between the libertarians and anarchists as to whether supporting his campaign is the right thing to do. I think this book has settled the issue for me, as I’ll explain as we go on. Although I started with the paperback, I really can’t sing the praises of the audiobook enough. A significant portion is actual transcripts from the experiment, and the narrator, Kevin Foley is a skilled voice actor that turns the book into a radio play with different voices for each character. L'effet Lucifer comprendre comment des gens ordinaires deviennent des monstres par philip zimbardo.

CIA Central Intelligence Agency.