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Restaurant

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Music : Jacques Dutronc - La fille du père Noël. Ito, le bar à tapas japonais qui claque. Ça fait presqu’une année que je reluque cet Izakaya (littéralement bar à tapas mais dont la signification et l’usage quotidien se rapproche plutôt de celle du pub anglais qui, comme chacun le sait, a été déterminant dans la construction et la structuration de la société britannique post-coloniaste et pré-thatcher par la quantité de bière qui coule dans les gosiers…).

Ito, le bar à tapas japonais qui claque

Bref. Je l’ai vu se construire à la place d’un resto marocain ; le jour de son ouverture, il affichait déjà complet. Je l’ai vu s’agrandir, annexer le numéro 4 et continuer à me faire de l’œil. Mais à chaque fois que j’ai composé le numéro, je me suis trouvée confrontée au fléau parisien qui frappe les bonnes adresses : « désolé… » Finalement, il a fallu une soirée de novembre plus tardive que les autres pour pouvoir, enfin, lui rendre visite et vérifier que l’intérieur était bien aussi appétissant que ne laissait présager l’extérieur.

Tien Hiang - Paris - Végétarien & végétalien. Mamie Green. Nouveau restaurant juste en face du square Louis Majorelle du 11ème.

Mamie Green

Un endroit tranquille pour faire une pause et découvrir de délicieux plats fait maison. Cette « cantine verte » vous accueille avec le sourire et vous propose une carte presque entièrement bio en toute simplicité. Deux plats sur quatre sont végétaliens, coté desserts c’est végétarien, comme le crumble aux pommes bios et le fondant bio choco. Données cartographiques. Restaurant Restaurant Pierre-Sang Boyer à Paris. Meilleur comptoir Guide 2013 Pas de carte, pas de réservation, pas de téléphone, pas de table.

Restaurant Restaurant Pierre-Sang Boyer à Paris

Enfin si, un grand comptoir, quand même, pour poser les assiettes. Et surtout beaucoup de monde qui attend son tour et qu’il faut devancer en arrivant à 19 heures pour être sûr d’avoir une place. La « cuisine d’instinct » de Pierre-Sang Boyer (ou celle de son second, puisque cette fois, le chef était pas là), celle qui change tous les jours en fonction de ce qu’il rapporte des commissions, fait recette. Restaurant Kiku à Paris. Kiku n’est pas un japonais comme les autres.

Restaurant Kiku à Paris

Certes, la zénitude des lieux est absolue, juste zébrée de quelques origamis et de chatoyants bocaux de liqueurs de fruits maison (8,20 € le verre). Mais la cuisine y phosphore singulièrement, en mode francophile… Dans le menu à 35 € : superbes sashimis de bar façon Kiku traités en mi-cuit (ou de très graphiques chirashis) ; marmite de poissons épicés aux légumes, en bouillon profond, où bar, saumon, barbet et dorade babillent avec feuilles de blettes, tofu, shitakés, etc. ; bavarois à la vanille et coulis de prunes salées… Bière Asahi à 7 €, coteaux-d’aix rosé Château de Beaupré à 6,50 € le verre, 27 € la bouteille. Formule 27 € (midi), menu 35 €. Avis aux amateurs pressés : au 54, Simplement Kiku fait dans le bentô sur le pouce. // G.D.

Restaurant Le Café Caché à Paris. Ceux qui sont là l’ont trouvé !

Restaurant Le Café Caché à Paris

Attablés dans le patio à faux gazon ou sous le squelette de bois de Sébastien Wierinck, les familles à marmaille, les couples sans et les tablées d’amis goûtent l’ambiance de ce bistrot contemporain planqué dans un coin du Cenquatre. Restaurant Ito à Paris. Un concentré de Japon kill-billesque en plein South Pigalle.

Restaurant Ito à Paris

Mobiliers origami, lampions chics, bambou marqueté, photos de ciné, mélopées yéyé version Soleil Levant, l’isakaya de Rafael et Vincent-John délivre mets délectables et spirits nippons. Le chef, Victor Magsaysay (ex-Saké Bar), et son second, Takemoto Luu, envoient leurs tapas japonaises à des gourmands affûtés : transcendantal risotto lacté au saké et nimono (légumes cuits au kombu dashi) ; superbe mignon de porc et kampyo (cucurbitacée locale) oint d’une huile au basilic ; teriyakesque cabillaud amareto ; entêtant chou-fleur sauté croquant façon chahan (taillé grain de riz) ; fraise malicieuse, chocolat noir et poivre vert, frappée d’un sorbet au saké… Et pour faire tinter le cristal ?

RESTAURANT et BRUNCH BIO - ROSE BAKERY -PARIS 12 - PARISOBIOTIFUL. A la Maison Rouge Depuis le 22 octobre 2010, La Maison Rouge accueille dans ses murs Rose Bakery Culture : un projet spécifique, porté par le décorateur- scénographe Emilie Bonaventure, et qui consiste à faire découvrir aux visiteurs du restaurant, à chaque saison nouvelle, un nouveau décor, conçu par be-attitude, dont les éléments seront réalisés avec des prototypes, des créations spécifiques, des éditons en série limitée, des objets chinés et réinventés, parfois en résonance avec les expositions de la fondation.

RESTAURANT et BRUNCH BIO - ROSE BAKERY -PARIS 12 - PARISOBIOTIFUL

Créée à l’initiative d’Antoine de Galibert, dans une ancienne usine construite autour d’un pavillon d’habitation, située au 10 boulevard de la Bastille (12e), La maison rouge a pour vocation de promouvoir la création nouvelle, à travers ses expositions temporaires : 3 à 6 par an, de février à mai, de juin à septembre et d’octobre à janvier. Un espace de plus de 1000 m2, avec patio, vestibule, et un lieu réservé aux personnalités de l’Art et de la Pensée, appelé La Suite.