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Enquête du CNISF Les ingénieurs et la crise. Vendredi 9 octobre 2009 12 % des ingénieurs travaillant dans les télécoms ou les SSII craignent de perdre leur emploi en 2009, soit près de 1 sur 8. Cette proportion plutôt élevée correspond exactement à celle observée sur l'ensemble des secteurs (Les ingénieurs préoccupés pour leur emploi). C'est ce qu'indique la 20e enquête des Ingénieurs et Scientifiques de France. Pour un ingénieur sur deux, l'année 2009 devrait être pire que 2008, une proportion qui traduit le niveau d'inquiétude actuel. Le salaire et ses compléments constituent le premier critère de choix d'une entreprise, mais ils ne se détachent pas significativement d'autres facteurs comme la possibilité d'évoluer ou d'effectuer des missions intéressantes.

Les ingénieurs considèrent être plus impliqués dans diverses activités que l'on peut classer dans une rubrique innovation. L'enquête donne également des indications sur les salaires et leur répartition en fonction des catégories d'age. PDF à télécharger > Observatoire de l'emploi des ingénie. SSII : La stratégie de Pure Player pour lutter contre la Crise. Steria décroche le plus gros contrat de son histoire en France. 01net. le 03/09/09 à 16h45 A l'occasion de sa conférence de résultats semestriels, Steria France a officialisé l'annonce du plus gros contrat jamais signé par la société de services informatiques. D'une valeur de 100 millions d'euros sur quatre ans, il porte sur l'infogérance d'exploitation du système d'information (SI) pour la téléphonie mobile – grand public et entreprise – de SFR.

L'opérateur a confié à la SSII la gestion de 1 500 serveurs hébergeant plus de 330 applications. L'appel d'offres a été découpé, à l'origine, en deux lots, tous deux remportés par la SSII. « Nous avons décidé dès le départ de positionner notre offre sur l'ensemble de ces lots pour démontrer la continuité de services et les gains de productivité que Steria pouvait apporter en ayant la responsabilité de l'ensemble du périmètre », indique Olivier Vallet, directeur général délégué de Steria France. Une partie de la supervision assurée depuis la Pologne.

L'ingénieur peut aider à préparer l'après-crise. 01net. le 08/10/09 à 19h06 Les années bling-bling ont mis à mal le statut de l'ingénieur au profit des métiers plus clinquants et rémunérateurs de la finance, de la communication ou du marketing. La crise pourrait le réhabiliter. Plus d'un an après le retournement de conjoncture, les ingénieurs tiennent en effet leur revanche. Pour 32 % d'entre eux, sondés par le Conseil national des ingénieurs et scientifiques de France (CNISF), leur entreprise va sortir de la crise indemne et même, renforcée pour 30 % des sondés.

Et, ce, en partie grâce à eux. Selon cette même étude, les ingénieurs ont, en effet, une forte conscience du rôle qu'ils jouent dans la préparation à la sortie de la crise grâce à leur capacité d'innovation : 64 % estiment « participer aux réflexions à moyen terme sur les nouveaux produits, process ou services » alors qu'ils n'étaient que 46 % à avoir cette perception en 2004. Remplir toutes les fonctions de l'entreprise Un « artiste » qui doit peser sur le débat citoyen. Rentrée morose pour les SSII - Informatique.

Confrontées à de fortes pressions tarifaires, les grandes sociétés de services hexagonales, Altran, GFI, Sopra… ont vu leur chiffre d'affaires reculer durant les six derniers mois. Les perspectives restent sombres pour les trimestres à venir. Malgré les signes d'une légère accalmie sur le marché des équipements (Dell et Intel viennent coup sur coup de publier des résultats sensiblement supérieurs aux attentes des analystes), les mauvaises nouvelles continuent de s'accumuler du côté des sociétés de services informatiques et de conseil en technologies. Derniers exemples en date : GFI (10 000 collaborateurs) a publié hier une perte nette de 11 millions d'euros pour le premier semestre 2009, contre un bénéfice de 10,5 millions d'euros à la même période un an plus tôt. Son chiffre d'affaires est en recul de 2,9% sur cette période, à 367 millions d'euros.

Le conseil en technologie ne fait pas mieux. Prix en baisse Christophe Dutheil. Tony Saporito, 28 ans, ingénieur en SSII. EXTERNALISATION RH: Hausse de 4,6% du marché de l'externali. Dans son étude "France 2009 - le marché de l'externalisation informatique", le cabinet Pierre Audoin Consultants (PAC) table sur une augmentation de 4,6% du marché de l'externalisation IT (hors BPO et tierce maintenance applicative). Celui-ci devrait s'établir à à 6,2 milliards d'euros. Ces prévisions pour 2009 font toutefois état d'un ralentissement par rapport à l'année 2008 où le marché de l'infogérance, portant sur un peu moins de 6 milliards d'euros, avait poursuivi sa croissance (+5,7%) selon PAC. L'outsourcing IT continue également d'accroître sa part dans la sous-traitance en service puisqu'en 2009 le marché atteint 36% de l'ensemble de la sous-traitance IT.

Il s'agit d'un mouvement de fond, commencé il y a plus de 30 ans et qui devrait se poursuivre dans les années à venir selon PAC. Dans son étude, PAC présente les évolutions leviers qui caractérisent aujourd'hui ce marché: - Un temps d'avant vente encore rallongé avec des délais toujours très longs dans la prise de décision ; Altran Technologies s'envole suite à une recommandation à l.

SSII et éditeurs connaissent une forte hausse des défaillances d. 01net. le 30/09/09 à 16h16 Peu à peu les SSII de taille modeste rendent les armes. La crise économique amenuise les défenses des plus volontaires. La société d'assurance-crédit Euler Hermes SFAC qui publie régulièrement des études sectorielles, enregistre ainsi une hausse des défaillances de 16 % sur un an, dans le secteur du logiciel et des services informatiques par rapport à l'année précédente, à la même période. Au 31 août 2009, elle comptabilise 1 001 sociétés en redressement ou en liquidation judiciaire, ou encore en procédure de sauvegarde.

Vers une consolidation du secteur Mais l'inquiétude principale provient de la poursuite de cette augmentation des procédures de redressement judiciaire ou de sauvegarde durant l'été. « L'accalmie habituelle pendant cette période n'a pas eu lieu », relève Didier Moizo. Ares excepté, les grandes SSII qui ont publié des résultats semestriels honorables ne semblent pas trop affectées par ce durcissement des conditions de marché. Atos négocie le rachat de l'italien SIA SSB. Alten bondit, pas de mauvaise surprise sur les résultats. Alten, société de service et d'ingénierie informatiques, a accusé au premier semestre un effondrement de son bénéfice net, à 200.000 euros euros, contre un profit de 29,8 millions d'euros un an plus tôt, soit une chute de 99,7%. Le chiffre d'affaires du groupe s'élève à 443,4 millions d'euros, en progression de 5,6% mais en recul de 8,4% à périmètre constant.

Le résultat opérationnel après restructurations chute de 85,7% à 6,6 millions d'euros, soit une marge de 1,5% du chiffre d'affaires. Le groupe dépasse légèrement ses propres attentes avec une marge opérationnelle avant restructurations à 5,8%. Alten tablait sur une marge comprise entre 5% et 5,5%. Mais celle-ci est divisée par deux par rapport à l'an dernier. Alten indique que le secteur automobile, qui compte pour 15% à 20% des ventes, a été particulièrement touché, tandis que l'aéronautique et l'énergie ont progressé.

Les dérives de la rupture conventionnelle en SSII. Deux tiers des informaticiens prêts à changer d’employeur. 01net. le 23/09/09 à 11h32 Fort désir de mobilité chez les informaticiens. Les informaticiens rongent leur frein. Selon une étude du cabinet Expectra ciblant les aspirations des informaticiens, plus de deux tiers des professionnels en poste souhaiteraient changer prochainement d'entreprise, dont un peu plus de 38 % dans les six mois à venir. Ce résultat est paradoxal dans une période de crise économique où les salariés sont d'habitude plutôt enclins à la frilosité. Une vision de l'avenir revue à la baisse En fait, les deux notions – évolution de carrière défavorable et désir de mobilité – sont intimement liées. « Les informaticiens ont une vision plus modeste de leur avenir tel qu'il se dessine actuellement au sein de leur entreprise.

Les conditions de travail moins épanouissantes engendrées par la conjoncture ne sont pas non plus étrangères à ce souhait de changer d'employeur. Les commerciaux plutôt épargnés Certaines catégories de personnel restent toutefois épargnées. Technologia : «  Les SSII connaissent une recrudescence de suici. La pandémie pourrait faire perdre jusqu’à 250 000 euros à une SS. 01net. le 18/09/09 à 16h15 Jean-François Fellmann, fondateur d'Océane Consulting Cofondateur d'Océane Consulting, Jean-François Fellmann, 37 ans, est prêt à combattre la grippe A. La SSII, qui emploie une cinquantaine de salariés pour un chiffre d'affaires de 3,5 millions d'euros, a pris toutes les mesures pour enrayer la pandémie.

A commencer par le fameux plan de continuité d'activité. En revanche, le virus H1N1 pourrait avoir un impact non négligeable sur le compte d'exploitation. Un pic à 40 % d’absentéisme pendant deux semaines Il en va tout autrement de l'activité, élément moteur d'une société de services. Ne cédant pas au pessimisme, Jean-François Fellmann estime que le profil de son effectif le préserve du pire. « Nos consultants sont des hommes, jeunes, célibataires à 90 %. Quant aux compétences clés de l'entreprise, leur « sort » est déjà réglé. La crise déclenchera un mouvement de consolidation dans les SSII.

Alten ne voit pas encore de vraie reprise dans les SSII. Informatique : on cherche des JD + trois ans d'expérience. Les recruteurs sur le salon Pour finir, j'ai épluché pour vous le précieux catalogue officiel du salon lesjeudis.com du 24 septembre pour y repérer les (plus gros) recruteurs : Et puis : Acial, Airial Conseil, B2EN, Babel Informatique, BT, Cast, Cegedim, Codra, Cognitis France, Crédit du Nord, Direction générale des Finances publiques (100 postes), EI-Technologies, Euriware, GDF Suez, Genigrah, Groupagora, Crédit Agricole, Groupe Helice, Harvest, ITG Conseil SI, La Poste, Logware, Mc2I Groupe, Neo-Soft, pixmania.com, Protectic Ingénierie, Sapiens consulting Groupe, Seriacom Groupe, SmartTrade, Telindus France, voyages-sncf.com. Altran : le plan de départs volontaires suspendu par la justice.

Cap Gemini voit une reprise dans les services financiers. Consultants : travailler moins pour gagner plus ? Un logiciel de simulation permet aux professionnels du conseil de déterminer comment arbitrer entre acquisition de nouvelles compétences et coût du service. Quand une société fait appel à un cabinet pour combler un besoin d’expertise, elle se trouve rarement capable - par définition - d’évaluer cette expertise. Un raisonnement cynique voudrait alors qu’il soit tentant pour les consultants de tromper leurs clients sur la teneur réelle de leur niveau de compétence. Autre avantage, choisir de ne pas se maintenir à la pointe des connaissances techniques permet de réaliser des économies qui peuvent ensuite être reportées sur les prix.

Les chercheurs de l’université du Luxembourg ont mené des travaux visant à évaluer quand cette stratégie s’avère effectivement plus rémunératrice que celle qui consiste à développer constamment ses connaissances. Le résultat de leur recherche est un logiciel de simulation qui établit la stratégie la plus profitable. La double vie des prestataires de services. Affectés à une mission bien précise, ils sont employés légalement par une entreprise, mais travaillent au sein d'une autre société, parfois même de plusieurs.

Les prestataires de services mènent une "double vie" au travail pour le moins enrichissante. Le recours à des prestataires de services est une pratique qui se généralise. Des missions longue durée Assistante de gestion financière, Marie-Anne, 38 ans, est à 100 % en clientèle: embauchée par Global Project, une petite société de prestation de services spécialisée dans le transport routier et ferroviaire, elle travaille pour le compte et dans les locaux de la RATP. Elle s'occupe du suivi financier d'un projet et d'un marché passé avec un industriel. Un double rapport hiérarchique Marie-Anne est en mission à la RATP pour une durée de deux ans.

Une intégration progressive Des responsabilités différentes L'avantage de travailler dans une multinationale en tant que prestataire? Une organisation bien pensée. Externalisations : SFR en donne plus pour économiser plus. Réduire les coûts mais surtout fournir une plus grande réactivité des systèmes pour amener rapidement de nouvelles offres sur le marché : tels sont les objectifs qu'avait fixé SFR aux prestataires pour le contrat de pilotage de ses infrastructures, selon Olivier Vallet, le directeur général pour la France de Steria (en photo ci-contre).

La SSII a remporté ce contrat (dit Cap 5) de 100 millions d'euros sur quatre ans. "Le plus gros contrat jamais signé par Steria France", s'était réjoui le gérant de Steria, François Enaud, à l'occasion de la publication des résultats semestriels de la société en début de semaine. La prestation, qui emploiera environ 300 personnes chez Steria, couvre 1 500 serveurs (Unix, Solaris, Wintel) et les environnements grands systèmes (MVS), pour un total de 330 applications.

Le contrat porte sur l'ensemble des systèmes d'information de l'activité mobile de SFR (marketing, ventes, CRM, facturation, systèmes de gestion interne sous SAP...). En complément :