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Crise financière de 2008 - Le soutien de la Fed aux grandes banques a atteint 1200 milliards. Au plus fort de la crise financière, en décembre 2008, les prêts effectués par la Réserve fédérale américaine aux grandes banques de Wall Street et d'ailleurs totalisaient 1200 milliards, révèle un ouvrage de plusieurs mois réalisé par l'agence d'information Bloomberg.

Le travail de Bloomberg, basé sur l'analyse de 29 000 pages de documents obtenues en vertu de la Loi d'accès à l'information et de 21 000 transactions, brosse un portrait détaillé de la relation entre la Fed et les banques d'affaires au moment même où plusieurs établissements affirmaient à leurs actionnaires que leurs finances étaient solides. Le plus gros bénéficiaire a été la banque d'affaires Morgan Stanley, dont les emprunts ont totalisé 107,3 milliards, selon les données colligées par Bloomberg. «Presque tous nos programmes d'urgence ont été fermés. Banques canadiennes. Max Keiser: dégrader la dette US, exactement ce que veut Wall Street S/T - une vidéo Actu et Politique. Accord sur la dette américaine : Les peuples du monde en sursis par Chems Eddine CHITOUR. Henri Jeanson, realisateur Il y a une semaine, le sort peu enviable du peuple grec – qui subit un nième plan d’austérité- tenait en haleine l’Europe.

Ce qui a fait dire au ministre des Finances italien Giulio Tremonti, le 15 juillet 2011 : « En Europe, nous avons un rendez-vous avec le destin. C’est la politique et non plus la finance dont nous pouvons attendre le salut. Les politiciens ne peuvent plus commettre d’erreurs. En France, l’annonce par François Fillon d’un budget pour 2010 avec le déficit record de 81,5% du PIB a provoqué de nombreuses réactions. Un autre « Titanic » est en train de prendre eau ; Il s’agit des Etats-Unis dont on découvre le déficit abyssal : 14000 milliards de $. L’origine de tous les problèmes remonte au 15 aout 1971. À partir de cette date, la Réserve Fédérale des États-Unis ne garantit plus la conversion de ses crédits contre une quantité certaine de métal.

Alors que le monde entier a les yeux rivés, écrit J. Nous voilà avertis ! C. Décote des États-Unis - Efforts concertés pour limiter la chute boursière. Les grandes puissances d'Europe, d'Asie et d'Amérique se sont activées pour affronter l'ouverture des Bourses ce matin, la première depuis que Standard & Poor's (S&P) a abaissé la note de crédit des États-Unis.

Une nouvelle semaine d'incertitude sur les marchés s'annonce. De Tokyo à Berlin, les chefs d'État et les grands argentiers se sont concertés pour limiter les dégâts que causera inévitablement la dévaluation de la note souveraine américaine de AAA à AA+ vendredi dernier, alors que les tensions sur la dette dans la zone euro sont aussi des plus fortes. Les places financières du Moyen-Orient ont été les premières à réagir à la décote historique, et l'on craint un portrait similaire, soit une lourde chute, en Asie, en Europe et en Amérique du Nord.

La Bourse israélienne a perdu 7 % à la clôture hier, bien que les autorités aient retardé l'ouverture de 45 minutes pour aider les investisseurs à se ressaisir après une forte baisse de 6 % en préouverture. Le G7 et le G20. Standard and Poors abaisse la note triple A des US. On y est. C’est tombé cette nuit. Avant Reuters et AFP, Tahiti et la Suisse nous envoient ce signal de détresse : L'audace a été accomplie. Le Dieu est déboulonné. La célèbre agence de notation Standard and Poor's, qui obéit à on ne sait quel clan de Wall Street, vient de changer le triple AAA des US en double AA+ !!! Vous allez me dire qu'ils le méritent. Non, ils ne le méritent pas, ils le cherchent. Nous, on nous fait croire que c'est un cataclysme. Mme Lagarde, la très honorable correspondante du FMI et amie de Dédé la sardine, va-t-elle encore demander que le dollar ne soit plus la monnaie de référence ? Pendant ce temps, statu quo.

Les banques veulent encore et toujours biberonner. Ainsi Fanny Mae a encore réclamé vendredi 5 août 5,1 milliards de dollars au Trésor pour éponger son déficit. Bref, FANNIE MAE A REMBOURSÉ 14 MILLIARDS DE DOLLARS SUR 104 PRÊTÉS. Mais ils sont pleins d'espoirs, surtout quand ils touchent leurs bonus de Noël. S'ils le pensent ! Mais ce n'est pas tout. Ah !