L’innovation en France et son financement, débat au Camping. Innov'Acteurs. Everything is a Remix Part 4. Freins/critiques. Incitations/propositions. Art et innovation. (épisode 3 / 7) Après avoir créé des problèmes et désordonner, il s'agit maintenant d'explorer la délinéarisation des projets.
On a trop souvent tendance à faire du management linéaire alors que les processus de l'art et du design exploratoire sont tout sauf linéaires! Ce troisième épisode présente un 3ème point cardinal imaginaire. A chacun des quatre points cardinaux correspond une singularité partagée par les créateurs en art, design et recherche. Pour mémo, ce texte est issu d'un article paru dans les "Ateliers de la Recherche en Design". Cette simple première affirmation (la variabilité incessante du temps pensé comme un invariant objectivable) permet déjà de ne pas enfermer la notion de processus de création (ou de recherche) dans un mode seulement linéaire, ce qu'on a tendance à faire dans un "management-project" de R&D.
Ce bricolage ingénieux a été produit voici quelques années. [fig.9] à g. : DLP(R) Pico-Projector intégré dans un prototype de téléphone mobile (1) Les Mardis de l'Innovation. Fraunhofer-Gesellschaft. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Fraunhofer-Institut Schmallenberg La Fraunhofer-Gesellschaft est un organisme allemand spécialisé dans la recherche en sciences appliquées. Son nom vient du physicien Joseph von Fraunhofer. Il regroupe 57 instituts répartis sur 40 sites à travers l'Allemagne, chacun spécialisé dans un domaine de recherche particulier et emploie 22 000 personnes en 2012[1] ce qui en fait l'un des principaux organismes de recherche au niveau international. Son financement est assuré en partie par l'État (le gouvernement fédéral ainsi que les Länder « possèdent » l'organisme), mais les deux tiers du budget proviennent de contrats de recherches passés avec des industriels.
Le nom officiel est Fraunhofer-Gesellschaft zur Förderung der angewandten Forschung e.V. Les instituts[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Portail des sciences.
Rapports. Une vidéo explicite sur la guerre des brevets. Avec les brevets, il est possible de s’approprier une idée vague et assez intangible, et ainsi tenter d’empêcher la concurrence de copier nos idées. Si ce système a été mis en place pour protéger à juste titre les inventions nécessitant de lourds investissements, ces brevets sont parfois utilisés par des entreprises dont le seul but est de posséder ou de racheter des brevets afin de traîner devant la justice ses concurrents pour réclamer de lourds dommages et intérêts, et aussi pour tenter de freiner l’innovation.
Voici une vidéo (en anglais) exprimant bien les problèmes posés aujourd’hui par les guerres de brevets : Et voilà un bon exemple de l’absurdité de ce genre de guerre : Apple a déposé un brevet sur le fait de faire glisser une image pour déverrouiller un écran, et tente d’interdire à la vente les produits Motorola (qui a été racheté par Google) en passant par la case justice.
Un moyen détourné de mettre des bâtons dans les roues à la concurrence, Android étant la principale cible…