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Blues

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Lead Belly- Ain't It A Shame. Blind Lemon Jefferson-Long Lonesome Blues. Big Bill Broonzy-Cotton Choppin' Blues. CHRONOLOGIE NOIRE AMERICAINE. Big Bill Broonzy: Black, Brown and White. Take My Hand, Precious Lord [Live] Sonny Boy Williamson II - Eyesight to the Blind - 1951. Aretha Franklin: Son of a preacher man. Blues Brothers - Shake Your Tail Feather. Say It Loud, I'm Black & I'm Proud-James Brown. Billie Holiday - Strange Fruit. Louis Armstrong - (What Did I Do To Be So) Black And Blue - New York, 22.07. 1929. Tpe Rôle de la musique dans l'émancipation des noirs Afro-Amércains: TPE: Rôle de la musique dans l'émancipation des noirs Afro-Américains. Pendant la période de l'esclavage, la situation des noirs aux États-Unis n'est pas la même partout. Dans les états du Sud, le nombre d'esclaves est très important.

Ils ne sont pas instruits, on ne leur apprend pas l'anglais car ils ne sont pas considérés comme des êtres humains mais simplement destinés à effectuer un dur labeur comme dans les champs de coton. Dans le nord des États-Unis en revanche, les esclaves sont peu nombreux et leurs conditions de vie sont très différentes de celles du sud : ils vivent avec leurs maîtres, on leur apprend l'anglais et ils participent aux cérémonies religieuses protestantes. De nombreux esclaves réussissent à migrer du Sud au Nord afin d'y trouver de meilleures conditions de vie. - ils permettaient aux esclaves de mieux supporter leurs travaux difficiles, leur souffrance et l'ennui ; - ils furent un moyen de communication car ils ne pouvaient pas dialoguer entre eux ; Ces chants sont avant tout des chants d'espoir.

When Israel was in egypt land... Oh! Oh! James Brown - It's A Man's Man's Man's World. Otis Redding - (Sittin' On) The Dock Of The Bay. Bobby mcferrin sweet home chicago. Blues Brothers - Jailhouse Rock. Youtube. The Thrill Is Gone (original) - Roy Hawkins 1951.wmv. Is it because I'm Black, Lucky Peterson. Blues et esclavage. En parlant à la première personne, le chanteur de blues révèle l’identité du Noir aux yeux de l’Amérique. En tant qu’esclave, réduit au statut de possession matérielle à l’instar de la terre, des animaux et des machines agricoles il n’avait ni nom, ni parole. Le blues va acter le changement de statut du Noir après l’émancipation (même si sa condition n’est guère meilleure qu’avant) qui d’objet devient sujet. Il demeure de ce fait indissociable des jours sombres de l’esclavage du racisme et de la misère, héritage funeste sur lequel il s’est développé en tant qu’expression autonome.

Les premiers Africains sont débarqués en 1619 à Jamestown (état de Virginie). À la veille de la guerre de Sécession (1860) dont l’issue conduira à l’abolition de l’esclavage (1865), environ 4,5 millions de Noirs vivent aux Etats-unis dont 92,2% dans les états du sud, 7,7% dans le nord et 0,1% dans l’ouest (voir carte USA 1860). Texte : Gaby Bizien / Blues sur Seine. Paroles et traduction Robert Johnson : Sweet Home Chicago. Paroles et traduction de «Sweet Home Chicago» Sweet Home Chicago (Douce Ville Natale Chicago) Ooh, baby don't you want to go ? Ooh, bébé ne veux tu pas venir ? Ooh, baby don't you want to go ? Ooh, bébé ne veux tu pas venir ? Back to the land of CaliforniaRevenir sur les terres de CalifornieTo my sweet home ChicagoDans ma Douce ville natale ChicagoOoh, baby don't you want to go ? Ooh, bébé ne veux tu pas venir ? Contrepoint — Le blues : le social à l’oral.

Une connaissance superficielle du blues amène souvent à faire un constat contradictoire quant à sa fonction sociale : il serait soit une expression de la contestation et de la révolte, soit, au contraire, une musique de la dépression et du désespoir. L’importance sociale du blues avait été notée dès les années 1933 par la Bibliothèque du Congrès, qui commanda une grande étude ethnographique sur les musiques populaires [1][1] Lomax A., 1942, Folk Songs of The United States, Washington.... Pour dépasser les clichés à l’égard du blues, l’angliciste Robert Springer a étudié l’oral, à la base de cette musique [2][2] Springer R., 1999, Fonctions sociales du blues, Marseille,.... À partir de l’écoute de centaines de paroles de blues, il a repéré trois grandes fonctions qui permettent de comprendre l’impact de ce genre musical, ancré dans la tradition noire mais également générateur de sons et de rythmes mondiaux très contemporains. Notes Dont le titre signifie « Quand la digue cède ».

Barbara Hendricks : « Le blues, c'est le courage de protester » À 67 ans, la cantatrice explore les racines de la musique africaine-américaine et exalte la dimension politique et contestataire de ces airs de résistance. La Scala de Milan, l’Opéra de Paris, le Metropolitan Opera de New York… Depuis plus de quarante ans, sur les plus grandes scènes du monde, Barbara Hendricks donne le frisson aux amateurs d’opéra. Sous la direction de Maazel, Barenboïm ou Bernstein, la femme noire, née dans le Sud ségrégationniste des États-Unis, met sa voix exceptionnelle au service des plus grands compositeurs : Mozart, Puccini ou Verdi. Comme pour réunir le monde noir et le monde blanc. Il y a vingt ans, lors d’un passage au Festival de Montreux, elle a ajouté le jazz à son répertoire. Jeune Afrique : Il y a vingt ans, vous avez ajouté le jazz à votre immense répertoire classique. Cette démarche correspond-elle à un retour aux sources ? Barbara Hendricks : Dans une certaine mesure, oui.

Renouer avec le jazz vous a amenée à rencontrer le blues, dites-vous… Le blues. Fonctions sociales du blues - Robert Springer. Dossier - Genres musicaux : des clefs pour s'y retrouver. Chaque saison de nouveaux genres musicaux font leur apparition dans les chroniques de disques, dans nos programmes de salles de concert et dans la bouche des avertis musicophages. La faute et la force des «musiques actuelles», une vaste catégorie regroupant une diversité étourdissante de genres musicaux sans cesse renouvelés même quand on croit avoir tout inventé. Comment s’y retrouver, comprendre et re-connaître les principales caractéristiques de ces musiques, plus que jamais infiltrées dans notre quotidien, mais dont nous ne savons parfois presque rien ? Schéma synthétique des genres musicaux Utilisez le sommaire pour naviguer dans les chapitres ! Ce dossier du mois se pose la question des styles musicaux, observés en particulier par la lucarne des musiques actuelles.

Les musiques actuelles est une dénomination principalement politique du Ministère de la Culture. » retour au sommaire Blues - 20’s Combinaison des influences de gospel et de blues préfigurant le rock’n roll. Rock - 50’s. Site la musique afro americaine. Blues. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le blues est un genre musical vocal et instrumental, dérivé des chants de travail des populations afro-américaines apparues au Mexique et aux États-Unis au courant du XIXe siècle ainsi que des immigrés anglais, irlandais, écossais, espagnols, français, polonais et d'indiens Cherokee, gens de pauvres conditions qui exprimaient eux aussi leurs peines dans un genre de musique comparable. C'est un genre où le chanteur exprime sa tristesse et ses déboires (d'où l'expression « avoir le blues »).

Le blues a eu une influence majeure sur la musique populaire américaine, puisqu'il est à la source du jazz, du R'n'B et du rock 'n' roll entre autres. Étymologie[modifier | modifier le code] Le terme blues vient de l'abréviation de l'expression anglaise blue devils (« diables bleus »), qui signifie « idées noires ». Histoire du blues[modifier | modifier le code] W.

Blues urbain d'après guerre[modifier | modifier le code] Concert de Blues à Chicago, 2007. Le Blues - histoire de la musique noire américaine. Le Blues Le Blues est une forme musicale vocale et instrumentale, dérivée des chants de travail et des gospels des populations afro-américaines. Le blues a eu une influence majeure sur la musique populaire américaine, puisque l'on en retrouve des traces dans le jazz, les big bands, le rhythm and blues, le rock and roll, le hard rock, la musique country, la musique pop, et même la musique classique.

Les plus anciennes formes de blues provenaient du Sud des États-Unis, à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle ; elles utilisaient des instruments simples, tels que la guitare acoustique, le piano et l'harmonica. W.C. Handy fut l'un des premiers musiciens à reprendre des airs de blues, à les arranger et les faire interpréter par des chanteurs avec orchestres. Il fut également l'auteur de morceaux parmi les plus célèbres, tel le fameux Saint Louis Blues. Du point de vue des textes, les premiers blues consistaient souvent à répéter un même vers deux ou trois fois. Exemple :