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Usages digitaux

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La Palestine devient membre à part entière de l'Unesco. Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Jusqu'à présent simple observatrice, la Palestine est devenue le 195e membre de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco). L'annonce a été officialisée lundi 31 octobre. Cette adhésion constitue une nouvelle avancée vers sa reconnaissance en tant qu'Etat, un statut revendiqué auprès de l'ONU. Mais elle a été accueillie froidement aux Etats-Unis, qui ont suspendu en fin de journée leurs subventions à l'Unesco. Les Etats-Unis s'apprêtaient à verser 60 millions de dollars à l'organisation onusienne en novembre et leur contribution représente 22 % du budget de l'ONU. Le département d'Etat s'est dit contraint par deux lois américaines du début des années 1990 qui interdisent en effet le financement d'une agence spécialisée des Nations unies qui accepterait les Palestiniens en tant qu'Etat membre à part entière, en l'absence d'accord de paix avec Israël.

Idées reçues sur les usages des technologies numériques – Compte rendu de la conférence du 11 Mai 2011 (SIANA) — Curiouser. Idées reçues sur les usages des technologies numériques – Compte rendu de la conférence du 11 Mai 2011 (SIANA) Le développement des technologies numériques s’accompagne de discours et d’imaginaires très négatifs, et nombre de ces discours sont caricaturaux et réducteurs. Ces « idées reçues » étaient justement l’objet d’une conférence organisée à l’ENSIIE le mercredi 11 mai dans le cadre de la SIANA 2011. Ces discours que l’on entend régulièrement peuvent servir de prétexte à la non-confrontation et au refus d’appréhender des problèmes de fond. Ainsi, les intervenants, spécialistes en sciences humaines, se sont attelés à débattre sur trois idées reçues très répandues : L’idée d’un univers virtuel étanche et désocialisant Antonio Casilli, sociologue/chercheur à l’EHESS et auteur des Liaisons numériques, fut le premier à intervenir : il revient sur l’idée reçue d’une séparation étanche entre les mondes virtuels et la réalité ; une séparation qui serait un facteur de désocialisation.

Comprendre Facebook (1/3) : Le rôle social du bavardage. On le sait depuis longtemps. Accéder à un service, ne signifie par pour autant savoir l’utiliser, le comprendre, ni même le maîtriser suffisamment pour être capable d’innover, de créer avec. Les outils numériques sont familiers de ces cloisonnements.

On peut-être né avec le numérique et ne pas en maîtriser les usages, on peut utiliser Facebook au quotidien sans comprendre l’étendue de son action. D’ailleurs, la plupart du temps, on n’en a pas besoin. Pas seulement, les dangers de son utilisation comme aiment à nous le répéter les grands médias de manière souvent simpliste ou certains experts avec plus de finesse (je vous renvoie au livre de notre collègue Jean-Marc Manach La vie privée un problème de vieux cons pour mieux comprendre la problématique de la vie privée à l’heure des réseaux sociaux, qui ne sera pas le sujet de cette série), mais plus encore le potentiel créatif que l’outil libère, son fonctionnement intrinsèque. Soit. La fonction phatique de l’internet Un si petit monde. Faut-il avoir peur des buzzwords. Curator, community management, influenceurs… De nombreux termes que votre logiciel de traitement de textes doit souvent souligner, et ce pour une raison simple : il s’agit de néologismes générés pour et par le web.

Ces « buzzwords » formant un jargon propre au web, sont souvent décriés mais toujours utilisés, alors voyons rapidement les pours et les contre de certains de ces termes. Buzzword est tout d’abord un buzzword… Chaque nouveauté, qui plus est lorsqu’elle peut revêtir un aspect monétaire (ou marketing) intéressant, doit pour se démarquer des autres apparaître comme totalement neuve, ou tout du moins adaptée à une réelle attente, de réels usages. Et le web à pour particularité de produire des nouveautés de manière quasi-exponentielle : que ce soit au niveau technologique ou au niveau des usages, l’adaptation de concepts vieux comme le monde ou encore le développement de réelles innovations de rupture nécessitent des termes appropriés pour que l’on se les accaparent mieux. Curator. L'Atelier: Disruptive innovation. L’autre confiance. Par Daniel Kaplan le 10/03/11 | 8 commentaires | 3,454 lectures | Impression En mai dernier, Daniel Kaplan, Francis Jutand et Henri Verdier signaient un article qui faisait état d’un certain nombre d’”étonnements” sur nos compréhensions des mécanismes de confiance numérique aujourd’hui.

On peut en retenir au moins trois. D’abord, la disjonction entre, d’un côté, une recherche incessante de sécurité technique et juridique et, de l’autre, des utilisateurs qui (dans les faits, sinon dans les enquêtes) semblent assez peu demandeurs : non seulement toutes les transactions en ligne se développent rapidement, sans interruption depuis plus d’une décennie, mais certains excès sécuritaires aboutissent plutôt aux effets contraires. Ce paradoxe explique sans doute le faible décollage du marché des “dispositifs de confiance” censés, sur le papier au moins, résoudre les problèmes de confiance que pose invariablement un internet acentré, où l’on ne sait par essence pas qui est notre interlocuteur. 1. 2. France Internet Usage and Telecommunications Report. Quel outil de curation pour votre marque ? — Curiouser.

Quel outil de curation pour votre marque ? Méthodologie Pour réaliser cette infographie, nous avons privilégié les outils qui permettent à la marque de se présenter comme expert en proposant une ligne éditoriale propre, nous avons donc écarté les outils de curation automatique. En effet, ces derniers ne permettent pas à l’utilisateur de contrôler ce qui est publié. Lors de nos observations, nous avons pu constater que parmi le nombre très important d’outils existants, peu sont en réalité directement utilisables par une marque car peu proposent une réelle éditorialisation et dans un but de publication : c’est à dire la possibilité de choisir exactement les contenus, de les catégoriser, les tagger, les annoter ou les commenter mais aussi d’être maître de leur mise en forme.

Nous avons étudié les outils que nous avions jugés adéquats selon plusieurs critères : La marge de manœuvre concernant l’éditorialisation Le niveau d’interaction possible des lecteurs En curaclusion Alix pour Curiouser. Julie Denouël et Fabien Granjon : Les usages en question. Dans Communiquer à l’ère numérique, Julie Denouël et Fabien Granjon qui dirigent cet ouvrage collectif, font une critique assez musclée de 30 ans de sociologie des usages des technologies de l’information et de la communication (TIC).L’occasion de revenir avec eux sur la manière dont les chercheurs regardent les usages du numérique, pour en pointer les limites et aussi les lacunes. InternetActu.net : D’où vient la sociologie dite « des usages », cette part de la sociologie qui s’intéresse aux pratiques des TIC ?

Fabien Granjon : Dès les premiers temps de la sociologie, dans les textes des pères fondateurs comme Emile Durkheim ou Marcel Mauss, on trouve trace d’un intérêt pour la technique et les objets techniques. Même si cette question est parfois un peu secondaire dans les œuvres pionnières, elle est toutefois présente. Pourtant, la sociologie va rapidement s’éloigner de cet intérêt singulier. . « On ne peut pas quantifier une réalité sociale uniquement à partir des traces d’usage » 1103_curation-et-marques. Netzsperren: Morozov zieht die falschen Schlüsse | Digital. Verschlüsseln ist leichter als einen Code zu knacken und das Netz nützt Dissidenten mehr als Unterdrückern, schreibt Cory Doctorow in einer Antwort auf Evgeny Morozov. Speichern Drucken Twitter Facebook Google + Ein Ägypter hält ein Schild hoch mit der Aufschrift "Facebook" | © John Moore/Getty Images The Net Delusion ist das erste Buch des in Weißrussland geborenen Politikautors und Bloggers Evgeny Morozov.

Auch sein Buch enthält im Kern einige sehr kluge Ideen. Anzeige Leider ist diese Botschaft versteckt unter einem Haufen unsortierter und schlecht argumentierter Angriffe gegen eine nebulöse "Cyber-Utopismus"-Bewegung. Morozov beginnt damit, dass er versucht, die Rolle Twitters für die Wahlen im Iran zu revidieren. Morozov dokumentiert sorgfältig die Tatsache, dass viele der drei Millionen ausgewanderten Iraner bei Twitter aktiv sind. Der Autor dokumentiert auch, dass Exil-Iraner durch Dienste wie Facebook Kontakt zu ihren Verwandten in der Heimat halten. Le premier virus sur PC a 25 ans, le Directeur du Laboratoire de Recherche de F-Secure retrace son histoire en vidéo depuis le Pakistan. En collaboration avec Gordon Fowler Le premier virus ayant infecté un PC a été découvert en 1986.

Et, curieusement pour aujourd'hui, ce virus contenait les contacts de ses auteurs au Pakistan. À l’occasion de cet anniversaire, Mikko Hyppönen, directeur du laboratoire de recherche de F-Secure, s’est donc rendu dans la ville de Lahore au Pakistan pour retrouver ces créateurs, deux frères, Amjad et Basit Farooq Alvi, qui sont aujourd’hui à la tête d’un FAI florissant (Brain Telecommunication Ltd.). F-Secure propose un reportage vidéo de dix minutes sur ce voyage. Dans ce petit film nommé « Brain – à la recherche du premier virus sur PC », les deux frères donnent pour la première fois une interview sur leur virus qui s’est répandu à l'époque à travers le monde via des disquettes. Welcome to the Dungeon (c) 1986 Basit & Amjad (pvt) Ltd. Mikko Hypponen cache mal son excitation d'enfant lors de cette enquête : « c’était incroyable. Brain partait donc d'une bonne intention.

Source : F-Secure. Infolab. Chaque mois, « Infolab » traitera d’une grande thématique autour des enjeux de l’information. Nous continuons le projet en nous focalisant ce mois-ci sur les aspects générationnels (l’étude a démontré que la notion de « génération Y » était a minima très contestable) et les nouvelles responsabilités en cours pour les médias vis-à-vis du traitement de l’information. Troisième contribution de ce thème : la marque sociale, par Pierre Bellanger, le fondateur et président de Skyrock. « Skyrock a pour vocation la libre expression populaire de la nouvelle génération. En radio, Skyrock est lapremière radio de France des moins de trente-cinq ans avec plus de quatre millions d’auditeurs chaque jour. Sur Internet, skyrock.com est le premier réseau social de blogs français et européen avec plus de 33 millions de blogs ». Une transaction humaine est toujours double. La révolution industrielle : le passage vers un monde de transactions entre anonymes La marque, un réseau de fait à maitriser.

Adobe met une couche d'analytique sociale à Online Marketing Suite. Répondre à l’injonction d’innover. Pas facile de comprendre ce qu’est l’innovation dans un monde mouvant et complexe. C’était pourtant l’un des défis de la session introductive de l’édition 2011 de la conférence Lift qui se tenait la semaine dernière à Genève. « Jusqu’à présent, les révolutions avaient toujours une structure, une organisation, des figures intellectuelles à leurs têtes… L’Egypte ou la Tunisie nous montrent un autre type de révolution, les “WikiRévolutions” », explique le célèbre Don Tapscott, professeur de management à l’université de Toronto, président du think tank Moxie Insight et surtout auteur (avec Anthony D.

Williams) du bestseller mondial Wikinomics et de sa suite, Macrowikinomics qui vient de paraître. Grâce aux médias sociaux, le coût de transaction de la collaboration a changé et ces médias ont bouleversé la façon dont les gens collaborent. En Tunisie, les gens par exemple prenaient des photos des snippers pour les dénoncer à l’armée qui les soutenait… Cette transformation semble positive. L’intelligence collective n’est pas l’apanage du web » Article » OWNI, Digital Journalism. Dans son acception moderne, l'intelligence collective recouvre l'interactivité entre des myriades d'individus. Pourtant, il existe une définition beaucoup plus physiologique.

Qu’entend-on généralement par “intelligence collective” ? Pour le monde du web, la messe est dite : c’est le produit émergent de l’interaction entre plusieurs milliers, voire millions d’individus, certains ne partageant avec les autres qu’une quantité minimale de leur réflexion (c’est la théorie du surplus cognitif chère à Clay Shirky, comme il l’a développe dans on livre éponyme ou chez TED). Et bien entendu, c’est le web lui-même qui est le média de choix de cette intelligence collective.

Cette définition repose sur certains postulats, pas toujours explicites : Plus on est de fous, plus on rit. La dynamique d’un couple créatif John Lennon... La nature du leadership au sein de ces couples est également difficile à déterminer. Entre Lennon et McCartney, la situation est encore plus ambiguë. ... Technologies et prostitution. La lecture de la semaine, il s’agit d’un article paru dans le numéro de février du magazine américain Wired. On le doit à Sudir Venkatesh, professeur de sociologie de l’université de Columbia, New York.

Et l’article s’intitule : “Comment les technologies ont transformé la prostitution à New York ?”. Si cette question rejoint les questions qu’on se pose aujourd’hui, c’est parce qu’il en va d’abord de “la forme d’une ville”, comme dirait Baudelaire. Image : Evolution de la prostitution à New York entre 1991 et 2010 via Wired. Venkatesh raconte dans son papier qu’il a commencé par s’intéresser aux effets qu’avaient sur la prostitution les efforts qui étaient fournis par les autorités locales pour ramener dans le centre de la ville les classes moyennes aisées, qui l’avaient largement désertée depuis des décennies. De fait, Venkatesh raconte avoir assisté à une transformation de la prostitution. Et, ajoute Venkatesh, la technologie a joué un rôle fondamental dans ce changement.