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Les inspirations de la fantasy

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La mythologie nordique en Terre du Milieu – Partie I. En réponse à la question d’un de nos membres, voici un article concernant les parallèles qui existent entre l’univers de la Terre du Milieu et la mythologie nordique. Cet article ne se veut pas être une étude approfondie, ni une liste exhaustive, mais une réponse claire et relativement concise qui nécessite plusieurs petites digressions sur les anciennes traditions européennes : germanique, anglaise etc… Sachez que cet écrit s’adresse à tous, comme chacun des articles de Tolkiendrim (le peuple de Tolkien) : accessible, loin d’être ancré dans une idée élitiste, il vous donnera quelques pistes crédibles sur ce sujet, si vaste que l’on pourrait l’approfondir pendant des années.Le dossier sera divisé en plusieurs parties, afin de rendre sa lecture plus digeste.

Partie I – Les Inspirations littéraires La Saga des VolungsLe Kalevala J.R.R Tolkien, au gré de son inspiration, a trempé sa plume dans l’encre dense des mythologies nordiques et des légendes anglaises. L’anneau du Nain Andvari. Les réminiscences médiévales dans la fantasy. G. Duby, Dialogues avec Guy Lardreau, Paris, Flammarion, 1980. U. Eco, « The return of the Middle Ages », Faith in Fakes. Travels in Hyperreality, Londres,Vintage, 1986, p. 63. William Morris (1834-1896) est un romancier, poète, artiste et décorateur britannique. L’expression est empruntée à Roger Dragonetti, Le Mirage des sources : l’art du faux dans le roman médiéval, Paris, Seuil, 1987. D. A. Ibid., « Pourquoi interroger la fantasy aujourd’hui ? Outre l’Introduction à la paralittérature de D. A. Ibid. Cf. le site internet de Modernités Médiévales pour une riche bibliographie : Cf. La Chevalerie Ogier de Danemarche par Raimbert de Paris, poème du XIIe siècle publié pour la première fois d’après le ms. de Marmoutier et le ms. 2729 de la Bibliothèque du roi, éd.

F. Il faudrait peut-être nuancer cette affirmation dans le domaine des fictions arthuriennes. A. Ibid., p. 83. M. R. M. Dictionnaire raisonné de l’Occident médiéval, dir. U. A. W. Ibid., p. 338. J.