Le corium de Fukushima (1) : description et données. Corium : c’est le mot tabou de Tepco.
Pourquoi l’entreprise responsable de la plus grande catastrophe nucléaire au monde n’en parle jamais ? Tout simplement parce que c’est la matière la plus dangereuse jamais créée par l’homme, une sorte de magma incontrôlable et ingérable, aux conséquences incommensurables. Étant donné que beaucoup d’informations contradictoires circulent sur cette matière rare et mal connue, cet article va essayer de faire le point des connaissances actuelles.
On ne communique pas beaucoup sur le sujet dans le milieu du nucléaire, sauf entre experts. En effet, c’est la bête noire du monde de l’atome, car cette matière n’existe qu’en cas d’accident grave. Pour réaliser cet article, j’ai tiré beaucoup d’informations du forum technique de Radioprotection Cirkus. Version téléchargeable de l'article entier au format pdf (taille 400 Ko) Flamanville : l'EPR prend 4 années de retard dans la vue ! > Nucléaire. EDF a annoncé, mercredi 20 juillet, un retard supplémentaire de deux ans - portant à quatre ans le retard - sur le chantier du réacteur nucléaire de 3e génération EPR de Flamanville (Manche), dont la mise en service est désormais attendue en 2016.
Nucléaire : le nouveau coup d'éclat de Greenpeace. Des militants de Greenpeace se sont introduits, lundi matin, dans la centrale nucléaire de Nogent-sur-Seine, à 95 km au sud-est de Paris, a annoncé l'organisation écologiste, une "intrusion" confirmée par la gendarmerie.
Dans un communiqué, Greenpeace précise avoir pénétré vers 6 heures dans cette centrale nucléaire "pour faire passer le message que le nucléaire sûr n'existe pas". D'autres tentatives d'intrusion ont eu lieu, dans la nuit de dimanche à lundi, dans la centrale nucléaire EDF de Blaye, en Gironde, et dans le centre de recherches nucléaires de Cadarache, dans les Bouches-du-Rhône, a annoncé la direction de la gendarmerie.
Des échelles et des banderoles ont été retrouvées près des sites par les gendarmes, qui n'ont procédé à aucune interpellation. Le maintien du nucléaire entrainerait un coût de 746 milliards d’euros. Energie Tribune Avec un art consommé du scoop, le Figaro du jour donne la parole au Haut Commissaire à l’énergie atomique. Bernard Bigot plaide, avec foi, pour une France nucléaire. La somme des contre-vérités diffusées dans cette interview prêterait presque à sourire si elle n’émanait pas d’un personnage aussi influent. Ceci a amené Agir pour l'Environnement à effectuer un rapide calcul du coût du maintien du nucléaire. Grand économiste devant l’éternel, Monsieur Bigot n’hésite pas un instant à sortir sa grande calculette et appliquer « une règle de trois », estimant ainsi que si l’Allemagne évalue à 250 milliards d’euros sa sortie du nucléaire, le parc français étant plus de trois fois plus important, le coût français serait donc trois fois plus élevé… L’économie est une chose finalement assez accessible !
Or, que la France sorte ou non du nucléaire, la fermeture des réacteurs nucléaires qui arrivera tôt ou tard (espérons-le le plus tôt possible !) L’image des irradiés qu’on nous cache. En une seule image, OWNI propose un état des lieux global des contaminations provoquées par les installations nucléaires françaises au cours des dix dernières années.
Planque radioactive. Le nucléaire, c'est une bonne affaire sauf pour celui qui descend la poubelle.
Actuellement, près d'un petit village de la Meuse, un gigantesque chantier attend d'abriter sous-terre plus de 70.000 mètres cubes de déchets nucléaires. Areva se fait subtiliser des fûts d’uranium concentré - Nucléaire. "La Vérité sur le nucléaire", de Corinne Lepage : le non-choix du nucléaire. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Hervé Kempf "Bon, je m'lève, je m'casse" : c'est par ces mots élégants que, le 19 juin, le ministre de l'énergie, Eric Besson, quittait le plateau de l'émission télévisée "Capital", sur M6.
Les questions qui lui étaient posées étaient certes critiques à l'égard de l'énergie nucléaire, mais lui laissaient pleinement le temps de répondre précisément. Mais voilà : les nucléaristes sont devenus si dogmatiques qu'ils ne tolèrent plus le doute. Les mensonges du lobby de l’atome. L'EPR, chronique d'un chantier qui s'enlise. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric Le ciel s'assombrit encore davantage au-dessus de l'EPR de Flamanville (Manche).
L'annonce d'une nouvelle dérive financière du réacteur nucléaire de troisième génération, avec une réévaluation de 2 milliards d'euros de la facture, portée à 8,5 milliards, s'ajoute aux nombreux aléas qu'a connus le chantier depuis ses débuts il y a quatre ans. Tchernobyl : vingt-cinq ans après, le non-lieu qui dérange. Tchernobyl "n’a pas eu de conséquence sanitaire mesurable en France.
" (AFP) L’enquête sur l’impact du nuage de Tchernobyl en France s’est achevée hier par un non-lieu, dix ans après son ouverture. La cour d’appel de Paris a donc estimé que la catastrophe nucléaire de 1986 n’a pas eu de conséquence sanitaire mesurable en France. La chambre de l’instruction de la cour d’appel a en particulier mis hors de cause l’ancien patron du Service central de protection contre les rayons ionisants (SCPRI), le Pr Pierre Pellerin, seul mis en examen, pour "tromperie aggravée", en 2006 dans cette affaire. "L’association qui regroupe les victimes va se pourvoir en cassation contre cet arrêt pour avoir épuisé toutes les voies de recours", a dit Me Bernard Fau, l’avocat des parties civiles. "C’est une décision qui va laisser un goût amer du point de vue des victimes", a-t-il ajouté.