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Economie

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Cradle to Cradle C2C. INNOVATION EN INTELLIGENCE COLLECTIVE(Ref : IC_1)--------------Un World Café, correctement facilité, peut-être utilisé pour :Faire émerger la vision ou la stratégie d’une organisation ou d’un groupe,Innover en intelligence collective,Développer une transparence, une confiance et un esprit collaboratif au sein d’un groupe qui puisse persister en dehors des « World Café ».Il est important de noter que la puissance et l’efficacité d’un World Café reposent sur l’émergence d’une intelligence collective et que le World Café est conçu pour offrir la structure à cette émergence. De nombreuses expériences et études scientifiques ont démontré que, dès que les personnes cessent de porter leur attention sur leurs peurs et ambitions personnelles (leur ego), elles cessent d’être dans la confrontation et commencent à collaborer dans un but commun.

--------------Objectifs Organisme de FormationIntegral Vision est un organisme de formation, enregistré sous le numéro 11 75 49014 75. Tout public. Des monnaies et des Dieux. Avec un peu d’intuition, nous savons que des phénomènes monétaires inattendus se préparent. Il y aura d’immenses ajustements puisque nous vivons à crédit d’une dette publique dont le remboursement est repoussé d’années en années. Il faut donc réfléchir au sens de la monnai car je crains qu’un jour, la monnaie perde "sa" valeur. Ce jour-là, ce sera un profond aggiornamento. Ceci étant, le sujet du phénomène monétaire est obscur.

Il est même ténébreux. Parfois, je suis saisi par l’effroi de sa vacuité. Qu’y a-t-il derrière ce dernier ? Dans les évangiles, Jésus range l’argent parmi les puissances qui asservissent l’homme. Cette affirmation rappellerait-elle que Dieu et la monnaie sont peut-être de fragiles équivalents sociologiques ou, au contraire, des formulations antagonistes ? La monnaie serait-elle la déclinaison humaine indispensable à la divinité, puisque toute religion est fondée sur la charité et le don…de monnaie. Dieu et la monnaie ne seraient-ils finalement que deux artefacts ? Triarticulation. Inspire Institut, réconcilier développement économique et biosphère. | Réconcilier développement économique et biosphère. De Google à Facebook.

XEnvoyer cet article par e-mail Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Classez le dans vos favoris en cliquant sur l’étoile. Vous pourrez le lire ultérieurement (ordinateur, tablette, mobile) en cliquant sur « votre compte » Fermer Réseaux sociaux De l’Internet de la recherche à l’Internet de la recommandation Il y a quelques semaines Facebook rachetait Instagram pour 1 milliard de dollars. Sur la photo, des ouvriers réparent une immense turbine de moteurs d’avion. A ce jour des dizaines de grands groupes, essentiellement outre-Atlantique, ont investi ce nouveau terrain de communication. Le social media ne se résume plus aux seuls Facebook, Twitter et autres YouTube. Web social, le phénomène relève du sociétal “C’est une certitude, les réseaux sociaux prennent de plus en plus de place dans la vie des internautes, constate Cédric Deniaud, cofondateur de l’agence de conseil The Persuaders.

Signe de l’engouement, les deux tiers des utilisateurs s’y connectent quotidiennement. La clé ? Manifeste Au delà de la Servitude.

Organisations

CASTORIADIS. Autonomie et hétéronomie individuelles et collectives. Les fonctions de la vie imaginaire. Michèle Ansart-Dourlen Cornelius Castoriadis (1922-1997) a fait des études de philosophie et d’économie à Athènes avant d’arriver en France en 1945. Après sa rupture avec le mouvement trotskyste, il a fondé avec Claude Lefort la revue « Socialisme et barbarie », en 1948, consacrée à la critique du marxisme par ces anciens marxistes, et à l’analyse du totalitarisme soviétique. Après la dissolution de cette revue, en 1965, il s’est consacré à des travaux personnels et a enseigné, à partir de 1980 à l’Ecole des Hautes études en sciences sociales.

Parallèlement, il a exercé la psychanalyse depuis 1975. La notion d’autonomie est un thème central dans l’œuvre de Castoriadis ; il l’a analysée d’un point de vue philosophique, socio-politique et psychanalytique, -ces différentes approches étant selon lui indissociables. Néanmoins, l’originalité de Castoriadis est de souligner le double aspect, et l’ambivalence de l’imagination radicale, apparente dans le rôle socio-politique qu’elle remplit.

Elinor Ostrom ou la réinvention des biens communs. Première femme à obtenir un Prix Nobel d’économie (en 2009) pour ses développements sur la théorie des communs [1], Elinor Ostrom est décédée ce mardi 12 juin, à l’âge de 78 ans. Chercheuse politique infatigable et pédagogue ayant à cœur de transmettre aux jeunes générations ses observations et analyses, elle avait, malgré sa maladie, continué son cycle de conférences et la rencontre avec les jeunes chercheurs du domaine des communs au Mexique et en Inde. Récemment encore, elle exprimait son sentiment d’urgence à propos de la conférence Rio+20 qui se déroule actuellement [2]. Une conférence durant laquelle le terme de « communs » devient un point de ralliement, jusqu’à figurer dans le titre du « Sommet des Peuples pour la justice sociale et environnementale en défense des biens communs ».

Leçons de l’histoire De la tragédie à l’écologie Elinor Ostrom a mis en place un cadre d’analyse et de développement institutionnel destiné à l’observation des communs. Les communs du numérique. Grain_a_moudre.

Vidéo économie

L’économie du partage face au modèle économique dominant | Mutinerie : Libres ensemble. Il faut parfois savoir revenir aux fondamentaux. Particulièrement dans les périodes de crises structurelles comme celles que nous traversons aujourd’hui et qui remettent directement en cause les bases mêmes de nos économies. Nous ne pourrons pas comprendre ce que signifie économie du partage si l’on ne se demande pas d’abord ce que le mot « économie » veut vraiment dire. Je m’en tiendrai à la définition de Wikipédia qui me paraît être assez juste et inspirante : L’économie est l’activité humaine qui consiste en la production, la distribution, l’échange et la consommation de biens et de services. Si l’on s’intéresse aux modifications structurelles que l’on doit apporter à nos économies, il faut se poser des questions telles que : Comment produit-t-on ?

Je me suis demandé si nous pouvions comparer point par point le modèle économique dominant issu des théories classiques avec l’économie du Partage, modèle émergeant et prometteur mais qui doit encore prouver sa validité.

Économie mondiale