Tableau des transferts Premier League. Nottingham Forest – Derby County : focus sur le East Midlands derby. La rivalité Comme son nom l’indique, le derby entre Forest et Derby est d’abord celui d’une région : les East Midlands. 22,6 km séparent les deux villes, Nottingham étant le plus au nord. C’est même un derby à trois en considérant Leicester qui a faussé compagnie à ses deux ennemis pour aller dans la cour des grands, en Premier League. Avant les années 70, la suprématie régionale était plus disputée entre Forest et les Foxes.
Mais si jusqu’aux années 20 les deux clubs ont l’habitude de s’écharper sur le terrain, ils ne feront que se croiser de relégation en promotion et oublieront presque qu’ils se détestent, même si aujourd’hui encore certains supporters Reds ont la gorge serrée lorsqu’ils voient Wes Morgan, l’enfant du club, diriger la défense de Leicester dans l’élite. Dans les années 70, la rivalité Forest/Derby renaît tel le phénix de ses cendres lorsque Brian Clough et son éminence grise Peter Taylor reprennent Forest en 1975. L’histoire Vue de l’intérieur Le bilan Les supporters. Barclays Premier League. Fantasy Premier League - The official fantasy football game of the Barclays Premier League. PREMIER LEAGUE EN VIDÉO.
Premier League sur Twitter | @Gwilbreuf... Scottish Championship : la vraie Premiership. Avant de faire les pronostics, présentons le championnat en lui même. La Scottish Championship est composée de 10 équipes, qui se rencontrent quatre fois. À la fin de ses 36 journées il y a : - Le premier qui est promu directement - Le quatrième rencontre le troisième en match aller-retour.
Le vainqueur rencontre l’équipe deuxième du championnat. - Le vainqueur de ce match rencontre l’avant dernier de Premiership. Le gagnant est en Premiership, le perdant en Championship. Ça, c’est pour la montée. Pronostic 1 – Rangers (champion et promu) 2 – Hearts (barragiste pour la montée) 3 – Hibernian (barragiste pour la montée) 4 – Falkirk (barragiste pour la montée) 5 – Raith Rovers Alors, pour la première place, le duel va être très disputé. Car de l’autre côté, Heart of Midlothian est en plein renouveau. Reste à savoir si les Rangers ne vont pas craquer en route vu les problèmes en interne : finances, relations exécrables entre le board et les fans… Ah Cowdenbeath ! Angleterre - Que nous réserve la Premier League cette année ? Ils seront au rendez-vous : Arsenal Douze ans. À l’époque, Alex Oxlade-Chamberlain n’avait pas encore soufflé ses onze bougies, les supporters se donnaient encore rendez-vous devant les travées de Highbury et leurs liquettes blanche et rouge étaient floqués des noms de Fredrik Ljungberg, Ray Parlour ou encore Nwankwo Kanu.
Autant dire que pour certains, voir Arsenal soulever le trophée de la Premier League s’apparente à des souvenirs de jeunesse. Devenu l’éternel loser du championnat, les Gunners comptent bien mettre un terme à ces douze ans de disette. Et cette année, ils semblent plus que jamais parés pour grimper sur le toit de la Premier League. D’autant qu’habitué à voir ses joueurs très courtisés lors de chaque mercato, le club Londonien est cette fois passé entre les balles. Les stars (Sanchez, Cazorla, Walcott) sont toujours là et les jeunes pépites (Coquelin, Chamberlain, Bellerin) continueront leur progression du côté de l’Emirates. L’équipe surprise : Stoke City. Quel mercato pour les gros de la Premier League ? Quel mercato pour les outsiders de la Premier League ? Quel mercato pour les petits poucets de la Premier League ?
Etude statistique : les chiffres de Premier League. Les gardiens Remparts infranchissables ou murets brinquebalants, le microcosme des gardiens de Premier League est pour le moins disparate. Toutefois, il est bon de s’écarter des jugements hâtifs et autres raccourcis voulant que les meilleurs gardiens évoluent dans les meilleurs clubs. Pour preuve, le classement des clean sheet et arrêts, où Lukasz Fabianski apparaît à deux reprises.
Paradoxalement, Rob Green est le gardien ayant encaissé le plus de buts en ce début de saison (22) mais est le deuxième en terme d’arrêts décisifs (39) Le gardien polonais, arrivé libre d’Arsenal cet été, a réussi à s’imposer à Swansea sans faire de bruit, dominant le classement des arrêts (40), où les références Lloris (28), De Gea (28), Hart (26), Courtois (22) et Forster (20) paraissent bien loin. Preuve que les clean sheets de Swansea sont surtout dus aux performances de leur portier. Le défi physique, objectif ultime en Premier League Eden Hazard est aussi une référence en la matière. De la stat en vrac. Le Boxing Day, il y en a pour tous les goûts. Pour beaucoup, la fin d’année est synonyme de moments où la joie, la bonté et la solidarité sont de mise.
Selon les us et coutumes de chacun, la manière de profiter de cette période diffère : c’est ce qu’on nomme la tradition. Pour une grande partie des pays appartenant au Commonwealth, le lendemain du jour de Nöel est férié et quasiment tout aussi important que le 25 décembre lui-même. Ce jour est plus communément connu sous le nom de Boxing Day. De nos jours, de plus en plus de personnes rapportent instinctivement ce terme à la période durant laquelle les clubs britanniques enchainent trois à quatre matchs en l’espace d’une semaine.
Pourtant, il est difficile d’être critique envers eux tant l’origine du Boxing Day divise. D’où viens-tu Boxing Day ? Nombreux sont les historiens en désaccord sur l’origine exacte de ce « jour des boîtes ». Pour les autres, il s’agirait d’un jour férié où les valets, esclaves et autres employés allaient rendre visite à leurs familles. Hat-Trick livre ses pronostics sur la Premier League. Teenage Kicks » Blog Archive » Premier League : le Top XI alternatif. Je profite de mon retour de vacances et de la mini trêve - because le traditionnel 32è de FA Cup - pour me poser et passer en revue les cracks à mi parcours (20 journées disputées). Avec quelques flops en dessert. Avertissement : histoire de ne pas se retrouver avec un XI fortement connoté Big Four* vu et revu dans les médias anglais, ce qui serait un poil rasant vous en conviendrez, j’ai sélectionné pour l’essentiel des joueurs moins médiatisés.
[*celui de ces trois dernières saisons, à savoir Man City, Man United, Chelsea et Arsenal - avec les De Gea, Y. Touré, Hazard, Sanchez, Agüero, etc. Les infos blessure, rumeurs transfert & prolongation contrat et autres éléments liés à l’actu sont censés être corrects à la date de rédaction de l’article (week-end du 3-4 janvier).
[Comme d'hab', cliquez sur les photos pour les agrandir, en général ça marche] Mon Top XI à moi Costel Pantilimon (Sunderland) - gardien Contrairement aux apparences, « Pants » n’a pas bidé. Un cas ce Cattermole (26 ans). L'équipe type des anti-héros de Premier League. L’équipe type de la mi-saison en Premier League. Le XI Hat-Trick Le gardien David De Gea (Manchester United, 24 ans) Assurance, réflexes, sang-froid face à une défense souvent recomposée et surtout efficacité, l’Espagnol a bouclé quatre mois et demi très convaincants, surtout lorsque l’on se penche sur ses difficultés d’adaptation. Sans conteste le joueur majeur des Red Devils.
Les défenseurs Pablo Zabaleta (Manchester City, 29 ans) L’Argentin reste dans la lignée de ses saisons précédentes. Ashley Williams (Swansea, 30 ans) Plus concentré que l’an passé, Williams est davantage mis à contribution dans les duels, sans doute à cause du départ de Chico Flores. John Terry (Chelsea, 34 ans) Sobre, efficace, régulier. Aaron Cresswell (West Ham, 25 ans) Des débuts timides, puis des va-et-vient incessants sur son côté gauche avec sa qualité de centre déjà remarquée à Tranmere et Ipswich.
Le milieu Nemanja Matic (Chelsea, 26 ans) Parfois un peu distrait dans le replacement, le Serbe est tout bonnement excellent dans les grands matchs. L’attaque. Hat-trick. Offside ! Foot anglais. Kickoff | Le vrai foot sauce british. Teenage Kicks. Robin Friday (1952-1990), terrassé par un arrêt cardiaque dû à une overdose d’héroïne, aurait pu être un grand du football anglais. Au lieu de ça, il a été son enfant terrible le plus givré. Paolo Hewitt, journaliste, et Paul McGuigan, l’ex bassiste d’Oasis, ont retracé son incroyable histoire dans un livre paru en 1997, The greatest footballer you never saw.
The Robin Friday story. Un bouquin qui consiste en une série d’interviews et témoignages de proches et d’anciens coéquipiers, le tout accompagné de coupures de presse ainsi que d’interventions d’historiens des deux clubs où il évolua (Reading FC et Cardiff City, élu Player of the Century de ces deux clubs en 2000). Le tournage du film dédié au « Janis Joplin » du football (il fut aussi surnommé « Le Keith Richards du football ») commencera en août au Pays de Galles et ce biopique devrait sortir début 2015 (l’inclassable Russell Brand pourrait interpréter le rôle principal). ALF FRIDAY : Ouais, on habitait tous chez elle. A suivre. MyPremierLeague. L’histoire des stades londoniens : Arsenal (épisode 1) Emirates Stadium Autre nom : Ashburton Grove Année de création : 22 juillet 2006 Capacité : 60 338 Affluence record : 60 161 (3 novembre 2007, Arsenal – Manchester United) Architecte : Robert McAlpine ltd, HOK Sport, AYH & Buro Happold Prix des places : de £26 à £126 (selon l’importance du match) Quartier : district d’Islington (Grand Londres) Arrêt (métro) le plus proche : Holloway Road, Finsbury Park railway station Coût de construction : 470 millions £ Les avis Un fan de QPR « Dedans, c’est aussi imposant, mais tout se ressemble, c’est un peu dommage. » Un fan de Bolton « Ma première impression fut « Wow », ça ressemble à Wembley.
Les sièges sont rembourrés, tout un confort. Ce qui est énervant par contre, ce sont les stewards qui vous demandent de vous asseoir toutes les deux minutes. » Jean-Michel Rouet, ex-responsable du football britannique à L’Equipe « Le problème de ce grand stade, c’est que très souvent on voit des trous dans les tribunes, en particulier chez les abonnés. Premier League : récapitulatif du Deadline Day. Premier League : Focus sur les nouvelles têtes (1/2) Cristian Gamboa (Rosenborg → West Bromwich Albion) Par Nico Faure (@Nicomentarista), créateur du site lecoinsudam.fr, site d’information sur le football sud-américain « Il a débuté sa carrière professionnelle dans son pays natal, en portant les couleurs de Liberia, avec qui il disputera 13 matches du Campeonato de Invierno (première partie du championnat du pays), lors de la saison 2009/2010.
Après de belles prestations lors de la Coupe du Monde des moins de 20 ans en Égypte et une belle quatrième place finale, il va vite s’envoler pour l’Europe et rejoindre le club norvégien de Fredrikstad et changer complètement de climat. GamBolt, comme on le surnomme avec sa sélection de par son incroyable vitesse, devra aussi s’adapter aux demandes tactiques de la Premier League, mais son jeune âge et ses racines forgées en Scandinavie lui permettront sûrement de ne pas partir de zéro Modou Barrow (Östersunds FK → Swansea) « Franchement, c’est un top joueur. Sadio Mané (Red Bull Salzburg → Southampton) Premier League : Focus sur les nouvelles têtes (2/2) Toby Alderweireld (Atlético Madrid → Southampton) Par Julien Denoël (@JulienDenoel), rédacteur sur sharkfoot.fr et amateur de football belge « Né en 1989, ce défenseur fait ses armes chez les jeunes dans la très réputée école des jeunes du Germinal Beerschot Antwerpen (coucou Dembélé, Nainggolan, Van Damme, Vertonghen…), avant de migrer à 15 ans à l’Ajax d’Amsterdam, où la formation possède une réputation bien supérieure.
Il fait ses débuts en équipe première à 19 ans. Entre 2008 et 2013, il jouera 129 matchs toutes compétitions confondues, devenant un pion essentiel de l’effectif amstellodamois dans l’axe de la défense. Pourtant, cet axe du jeu qui lui va si bien, Alderweireld doit l’abandonner en sélection nationale belge, où on lui préfère le poste d’arrière-droit. Hésitant à ses débuts, il finira par s’y imposer, en faisant parler son sens du placement. Son transfert à l’Atlético Madrid l’an dernier fût un véritable échec. À Southampton, il arrive dans un effectif saigné à blanc. Premier League : les tops du marché estival selon Hat-Trick. Top 10 : Les pépites suivre cette saison en Premier League - Angleterre. Les 10 nouvelles gâchettes de Premier League (1/2) Malgré l’échec cuisant des clubs anglais en coupe d’Europe la saison dernière, la Premier League devrait une nouvelle fois être le championnat le plus attrayant du vieux continent.
Les clubs n’ayant pas hésité une fois de plus à investir des sommes mirobolantes afin de consolider des effectifs déjà pour la plupart pléthoriques. Si les folies des tops clubs anglais ne surprennent plus personne, on voit que les clubs de second rang n’hésitent plus à miser plus de 10 millions d’euros sur un joueur. Et dans ce marché des transferts complètement fou, un poste est souvent mis au centre des priorités, celui d’attaquant. Si les Van Persie, Suarez, Aguero et autres Benteke devraient martyriser les défenses de Premier League cette saison encore, ils devront cependant opérer avec une concurrence accrue s’ils veulent bien figurer au sein du classement des buteurs.
Car en effet, ce ne sont pas moins de 10 « top-strikers » qui viennent de débarquer dans le Royaume lors du mercato estival. Les 10 nouvelles gâchettes de Premier League (2/2) Arrivées cet été en provenance de toute l’Europe, on devrait les voir trainer chaque weekend dans les surfaces de réparation anglaises. Elles, ce sont les 10 nouvelles gâchettes de Premier League. Samuel Eto’o – Chelsea – 0€ Disposé à dépenser une jolie somme afin d’enrôler un attaquant de classe internationale, Chelsea s’est positionné sur de nombreux dossiers lors de ce mercato estival.
Mais face à la puissance économique du PSG et de Monaco et face aux refus à répétition de Manchester United concernant Wayne Rooney, les blues ont surpris leurs supporters en annonçant l’arrivée de Samuel Eto’o. Si le camerounais fut un immense joueur, on peut cependant se poser des questions sur son état de forme actuel.
En effet, l’ancien joueur de Barcelone n’a jamais réussi à devenir le taulier annoncé en Russie. Ricky Van Wolfswinkel – Norwich City – 10M€ C’est l’histoire d’un prodige néerlandais au nom imprononçable qui décide de quitter les terrains d’Eredivisie pour le soleil de Lisbonne. Derby County, béliers ascendant taureaux - Angleterre. En quoi c’est culte ? L’histoire de Derby County débute en 1884, mais mérite vraiment qu’on s’y intéresse seulement à partir de 1967. Avant cette date, pas grand-chose à retenir de ce modeste club aux modestes ambitions, qui était seulement parvenu jusqu’alors à chiper la première FA Cup de l’après-Seconde Guerre mondiale, s’imposant 4-1 après prolongation lors de la finale disputée à Wembley face à Charlton.
S’ensuivent d’anonymes saisons en élite, une relégation en 1953 et même une seconde en troisième div’ deux ans plus tard. Puis, vite, c’est le retour au deuxième échelon national, où les « Rams » (les Béliers, le logo du club) stagnent une décennie. Nous voici donc en 1967 et le jeune Brian Clough, 32 ans à l’époque, est engagé au poste d’entraîneur. L’accompagne Peter Taylor, qui était déjà son assistant lors de sa première expérience comme technicien, à Hartlepool. Les deux larrons mettent une seule saison à s’adapter à leur nouvelle mission. Pourquoi ça a merdé ? Sheffield Wednesday, inoxydable ? - Angleterre. Pour ce deuxième volet de notre série consacrée aux clubs mythiques anglais actuellement en retrait, partons du côté de Sheffield, berceau du football au XIXe siècle et de la dernière révolution en date de ce sport, en réaction à la tragédie de Hillsborough en 1989. Le populaire club de Sheffield Wednesday épouse l’état de santé de la ville, jadis florissante cité minière, gravement touchée par la crise au siècle dernier et qui essaie aujourd’hui de continuer à exister.
En quoi c’est culte ? Rappelez-vous vos cours d’histoire au lycée, le chapitre consacré à la révolution industrielle au XIXe précisément. La capitale mondiale de l’acier à la mi-temps de ce siècle, quelle était-elle ? Je vous le donne en mille : Sheffield. À l’époque, la ville est en pleine bourre, les machines turbinent, les grosses cheminées crachent et les ouvriers débarquent chaque année par dizaines de milliers pour se faire employer dans des usines mondialement célèbres comme Forgemasters. Pourquoi ça a merdé ? Portsmouth, gloire, décadence… et renaissance ? - Angleterre. Preston North End, à jamais les premiers - Angleterre. Forest en chantier - Angleterre. Ipswich Town, la confédération paysanne - Angleterre.