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Autoproduction

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Culture Libre. Je suis sur iTunes! Si, depuis l’aube de l’humanité et les percus préhistoriques, la musique n’a rien perdu de son concret, le support discographique tend quant à lui à se dématérialiser : le MP3 remplace peu à peu le CD, les magasins physiques disparaissent pour devenir des sites web et c’est jusqu’au moteur de recherche qui prend progressivement la place du vendeur qui, autrefois, vous indiquait dans quel bac trouver votre disque, et vous conseillait sur tel ou tel album que vous devriez aimer.

Je suis sur iTunes!

Si ce n’est pas encore le cas, il ne fait aucun doute qu’iTunes, Fnac.com et Amazon vendront bientôt de plus gros volumes que les magasins physiques, avec un gros avantage logistique sur ces derniers : plus besoin d’entrepôt pour les caisses de disques, le stock demeurant sur un serveur informatique, duplicable à l’infini. Cette petite évolution n’est pas sans effets sur les grands acteurs de l’industrie et le rôle qu’ils jouent dans la commercialisation d’un album. My Major Company, le revers peu reluisant de la médaille. La promesse était pourtant belle : "My Major Company est lancé avec pour principe fondateur de découvrir les jeunes talents musicaux et de les faire accéder à une production professionnelle en permettant aux internautes d'investir dans la production d'un artiste.

My Major Company, le revers peu reluisant de la médaille

" Et pourtant, ces derniers temps, MMC n'est plus cette rampe de lancement pour les artistes de demain. Le rôle d'un label est de parier sur des artistes en espérant leur réussite. My Major Company, lui, ne prend aucun risque, puisque l'artiste n'est produit qu'une fois 100 000 euros rassemblés grâce à la générosité des internautes. Le label est ainsi payé quoi qu'il arrive, même en cas d'échec, et reverse une partie marginale de l'argent gagné aux investisseurs et à l'artiste. Ce n'est pas lui qui assume les risques, mais les fans du chanteur... Opacité des dépenses Autre critique : le manque de transparence de l'entreprise sur les dépenses.

Colère des coproducteurs Les artistes maltraités. L’AUTOPRODUCTION - CONSEILS POUR S’AUTOPRODUIRE. Aujourd’hui, il est de plus en plus difficile de voir aboutir son projet avec une maison de disques.

L’AUTOPRODUCTION - CONSEILS POUR S’AUTOPRODUIRE

Nombreux sont ceux qui tentent l’aventure Internet et qui trouve dans l’autoproduction une hypothétique solution répondant à leur ambition. Pour d’autres, l’autoproduction sera une solution visant à se démarquer et à affirmer une position indépendante. Depuis l’arrivée du tout numérique, un musicien ou à un groupe, monnayant quelques apports financiers, est en mesure de concrétiser l’enregistrement d’un ou de plusieurs titres avec une qualité sonore acceptable en home-studio. Si la création et l'enregistrement est surtout une affaire d'oreille, une fois ce cap franchi, d’autres étapes plus délicates attendent l’autoproducteur : connaître l’aspect administratif et judiciaire, avoir l’autorisation de pressage, investir dans ce dernier, devenir un vendeur et un homme d'affaire avisé quand la promotion et la distribution s'impose. L’autoproduction ne doit pas se concevoir comme une facilité. Ecole Supérieure d'Art et de Design. Responsable scientifique : Patricia Ribault, docteur en art et sciences de l'art, responsable de la recherche à l'ESAD de Reims.

Ecole Supérieure d'Art et de Design

Equipe de recherche : Rozenn Canevet, historienne de l'art, Laurence Mauderli, théoricienne du design, Gaëlle Gabillet et Véronique Maire, designers, Cécile Le Talec, artiste. Durée : 24 mois Problématiques, méthodologie, réalisations Mettant en cause des modèles de développement, de consommation et de représentation de l'industrie à grande échelle, de plus en plus de designers choisissent - ou sont contraints - de se (ré)approprier le territoire de la production. Diverses et variées, leurs démarches vont du design d'édition à l'autoproduction assistée par ordinateur (Fab Lab), en passant par des unités de production semi-artisanales.

Un colloque international (Autoproduction. Publication Actes du colloque (à paraître) Partenariats académiquesGoldsmiths College, Université de LondresUniversité de Paris I (LETA-CREDE) (sous réserve) Artiste autoproduit et nouvelles technologies. Les coûts de production d’un album ont été réduits avec les nouvelles technologies et Internet.

Artiste autoproduit et nouvelles technologies

De plus en plus d’artistes sont autoproduits, en lien avec la démocratisation des home-studios et des logiciels de MAO (Musique Assistée par Ordinateur), vendus à des prix toujours plus abordables. C’est tout le processus de création, de distribution et de consommation qui a été bouleversé par ce nouveau contexte. Une nouvelle approche dans le processus artistique Un grand nombre d’artistes autoproduits se sont développés en parallèle de l’innovation technologique. Etre artiste à temps plein demande du temps et des sacrifices. L'autoproduction musicale. «After» sort en librairie ou la folle histoire d’un livre lu plus d’un milliard de fois. LITTERATURE Le premier volume de la saga écrite par Anna Todd, consacré aux One Direction, a rencontré un succès phénoménal sur le Web.

«After» sort en librairie ou la folle histoire d’un livre lu plus d’un milliard de fois

Il sort en France ce vendredi... Anne Demoulin Créé le Mis à jour le Mots-clés littérature Un triomphe.